Discours
Désormais, l’enjeu, ce n’est plus l’école, la crèche, la salle des fêtes du village. L’enjeu, c’est la France qu’ils vont laisser à leurs enfants.
C’est une bonne chose, qu’un banquier soit à la tête de l’État, le jour où la fausse économie créée par la sphère bancaire s’effondrera.
Il se pourrait que le nouveau Président renoue avec la tradition et endosse les rôles que l’Histoire lui confère.
Jean Sévillia replace le discours de Hollande sur l’esclavage dans le contexte de la loi qui a reconnu la traité négrière comme un crime contre l’humanité.
Guillaume Bernard analyse les conditions et les conséquences politiques du départ de Marion Maréchal-Le Pen.
Cette droite, désormais antinationale, est en cours de disparition rapide car elle s’est coupée d’une valeur essentielle de la vraie droite : la Nation.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
Qui dit Macron dimanche dit manifs dès lundi… On prend les mêmes et on recommence. Casseurs, zadistes, la haine vociférée place de la République.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.
Encore six semaines et on saura si ce Président disposera pour son action d’une majorité cohérente et structurée ou s’il devra composer.
Les analyses sur la « France des oubliés » doivent être affinées, corrigées et mieux appréhendées.
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…
Il y a une déception de la part des patriotes. Pourquoi ?
Notre nation et notre République sont toutes deux en train de disparaître.
Le programme du FN est le seul qui, fondamentalement, permettra l’application et surtout le développement des idées et idéaux chrétiens.
L’amalgame que le candidat Macron essaye de faire pénétrer dans nos têtes ne peut pas avoir l’effet qu’il espère en retirer.
Que nous dit réellement cette expo ? Que l’Europe est plus qu’une illusion : c’est un fiasco !
Marine Le Pen aurait plagié un discours de François Fillon tenu au Puy-en-Velay le 15 avril dernier…
Le gauchiste moyen n’a pas encore réalisé que nous étions en 2017. Dans sa cuisine, un calendrier des postes de 1943 trône au-dessus de la cuisinière.
La fracture nationale et la fracture sociale se renforcent.
Vous êtes de gauche, c’est-à-dire, selon le bréviaire médiatique, du côté des faibles, des opprimés…
Désormais, l’enjeu, ce n’est plus l’école, la crèche, la salle des fêtes du village. L’enjeu, c’est la France qu’ils vont laisser à leurs enfants.
C’est une bonne chose, qu’un banquier soit à la tête de l’État, le jour où la fausse économie créée par la sphère bancaire s’effondrera.
Il se pourrait que le nouveau Président renoue avec la tradition et endosse les rôles que l’Histoire lui confère.
Jean Sévillia replace le discours de Hollande sur l’esclavage dans le contexte de la loi qui a reconnu la traité négrière comme un crime contre l’humanité.
Guillaume Bernard analyse les conditions et les conséquences politiques du départ de Marion Maréchal-Le Pen.
Cette droite, désormais antinationale, est en cours de disparition rapide car elle s’est coupée d’une valeur essentielle de la vraie droite : la Nation.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
Qui dit Macron dimanche dit manifs dès lundi… On prend les mêmes et on recommence. Casseurs, zadistes, la haine vociférée place de la République.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.
Encore six semaines et on saura si ce Président disposera pour son action d’une majorité cohérente et structurée ou s’il devra composer.
Les analyses sur la « France des oubliés » doivent être affinées, corrigées et mieux appréhendées.
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…
Il y a une déception de la part des patriotes. Pourquoi ?
Notre nation et notre République sont toutes deux en train de disparaître.
Le programme du FN est le seul qui, fondamentalement, permettra l’application et surtout le développement des idées et idéaux chrétiens.
L’amalgame que le candidat Macron essaye de faire pénétrer dans nos têtes ne peut pas avoir l’effet qu’il espère en retirer.
Que nous dit réellement cette expo ? Que l’Europe est plus qu’une illusion : c’est un fiasco !
Marine Le Pen aurait plagié un discours de François Fillon tenu au Puy-en-Velay le 15 avril dernier…
Le gauchiste moyen n’a pas encore réalisé que nous étions en 2017. Dans sa cuisine, un calendrier des postes de 1943 trône au-dessus de la cuisinière.
La fracture nationale et la fracture sociale se renforcent.
Vous êtes de gauche, c’est-à-dire, selon le bréviaire médiatique, du côté des faibles, des opprimés…