Economie
Il est le premier chef d’État français à effectuer une visite officielle dans ce petit pays, devenu indépendant en 1991.
Les paradis fiscaux existent parce qu’il y a des enfers fiscaux et nos aviseurs fiscaux font office de diablotins de cet enfer-là.
Outre la suppression des droits de succession sur les entreprises, il faut démultiplier la participation des travailleurs à leur capital afin qu’ils puissent peser efficacement sur sa gestion.
Les Britanniques sans l’Union européenne seraient-ils plus forts que nous, Français, pourtant membres de l’Union européenne ?
Hormis cette vision strictement économique de l’homme, réduite à ses seules facultés de production et de consommation, voilà qui confirme, s’il en était besoin, que le « gendarme du commerce » n’a de l’humanité qu’une simple vision consumériste.
Vous avez de plus en plus de mal à boucler votre budget et ne comprenez pas quand Emmanuel Macron ou Bruno Le Maire vous parlent, dans le poste, d’« inflation maîtrisée », ou de « gains substantiels de pouvoir d’achat » ?
Alors que la Chine est en passe de devenir la première puissance mondiale, un rapport annexé au projet de loi de finances pour 2022 a
L’impôt français, ou le triple effet Kiss Cool ! Je gagne : je paie. Je détiens : je paie. Je transmets : je paie. Impôt sur le revenu. Impôt sur le capital. Impôt sur les successions. La trilogie fiscale.
On ne peut être qu’admiratif devant ces patrons qui se lancent ou reprennent des activités, tant les tracasseries qui les attendent sont pléthore…
Le Président aurait pu évoquer ce qui reste de la filière industrielle française, dangereusement menacée par des lobbies écolos parfaitement irresponsables de l’économie du pays. Qui les défend ?
De même, vient-on d’apprendre que les fameux macarons Ladurée, eux, ne sont même plus français, puisque désormais fabriqués en Suisse.
L’annonce de cette allocation, à cinq mois de l’élection présidentielle, a quelque chose d’hypocrite, d’indécent et de méprisant pour ses bénéficiaires.
Et si les femmes, encore et toujours, se sentaient des prédispositions pour « le care », comme on dit aujourd’hui, c’est-à-dire le soin, l’attention, le maternage ?
Avec les questions du coût de l’immigration, d’attractivité économique, de pénurie de main-d’œuvre, de déclassement général du pays dans toutes les enquêtes internationales, les choses changent et le roi migratoire est nu.
Reste à voir ce que proposera le gouvernement pour que les Français les plus modestes puissent continuer à acheter quotidiennement leur pain et fêter décemment Noël.
Prenant en référence le coût de 500 millions pour un centime de moins au litre à la pompe, on peut en déduire, avec une petite règle de trois, que ces milliards pourraient abaisser le prix du litre de 7,6 centimes.
On veut bien donner de l’argent aux pauvres, mais à condition qu’ils restent sages et votent bien.
Le mérite qu’on ne saurait dénier à cette mesure est d’avoir suscité une quasi-unanimité : la plupart des formations politiques de l’opposition sont contre. Comme quoi Emmanuel Macron et Jean Castex sont encore capables de réunir les Français.
Au printemps 2019, un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».
Un nouveau scénario, le bouclier carburant, apparaît, dont personne ne sait exactement de quoi il s’agit. Macron s’engage à prendre une décision avant la fin de cette semaine.
Un plein gratuit à condition de ne pas sortir la bagnole du garage. Non. Alors, une reconnaissance faciale à la pompe. Tête de smicard : moins 20 %. Baisser l’essence, augmenter le prix du gilet fluo.
Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.
Il ne faut pas seulement distribuer des « chèques énergie » aux plus démunis mais aussi leur permettre d’exploiter à leur profit le plein potentiel des champs énergétiques offerts par le pays.
La marche forcée vers le tout électrique, c’est bien la marche forcée vers le nucléaire.
L’inflation ne sera pas transitoire, contrairement à ce qu’affirment la BCE, la Fed et les banques centrales…
Les chiffres du chômage ne reflètent plus la réalité à laquelle les Français sont confrontés
Ce plan ne règlera pas le mal français : le niveau record de notre fiscalité et des dépenses de fonctionnement de l’Etat.
Il faut reconnaître que le discours était bien maîtrisé et les enjeux ambitieux.
Il est le premier chef d’État français à effectuer une visite officielle dans ce petit pays, devenu indépendant en 1991.
Les paradis fiscaux existent parce qu’il y a des enfers fiscaux et nos aviseurs fiscaux font office de diablotins de cet enfer-là.
Outre la suppression des droits de succession sur les entreprises, il faut démultiplier la participation des travailleurs à leur capital afin qu’ils puissent peser efficacement sur sa gestion.
Les Britanniques sans l’Union européenne seraient-ils plus forts que nous, Français, pourtant membres de l’Union européenne ?
Hormis cette vision strictement économique de l’homme, réduite à ses seules facultés de production et de consommation, voilà qui confirme, s’il en était besoin, que le « gendarme du commerce » n’a de l’humanité qu’une simple vision consumériste.
Vous avez de plus en plus de mal à boucler votre budget et ne comprenez pas quand Emmanuel Macron ou Bruno Le Maire vous parlent, dans le poste, d’« inflation maîtrisée », ou de « gains substantiels de pouvoir d’achat » ?
Alors que la Chine est en passe de devenir la première puissance mondiale, un rapport annexé au projet de loi de finances pour 2022 a
L’impôt français, ou le triple effet Kiss Cool ! Je gagne : je paie. Je détiens : je paie. Je transmets : je paie. Impôt sur le revenu. Impôt sur le capital. Impôt sur les successions. La trilogie fiscale.
On ne peut être qu’admiratif devant ces patrons qui se lancent ou reprennent des activités, tant les tracasseries qui les attendent sont pléthore…
Le Président aurait pu évoquer ce qui reste de la filière industrielle française, dangereusement menacée par des lobbies écolos parfaitement irresponsables de l’économie du pays. Qui les défend ?
De même, vient-on d’apprendre que les fameux macarons Ladurée, eux, ne sont même plus français, puisque désormais fabriqués en Suisse.
L’annonce de cette allocation, à cinq mois de l’élection présidentielle, a quelque chose d’hypocrite, d’indécent et de méprisant pour ses bénéficiaires.
Et si les femmes, encore et toujours, se sentaient des prédispositions pour « le care », comme on dit aujourd’hui, c’est-à-dire le soin, l’attention, le maternage ?
Avec les questions du coût de l’immigration, d’attractivité économique, de pénurie de main-d’œuvre, de déclassement général du pays dans toutes les enquêtes internationales, les choses changent et le roi migratoire est nu.
Reste à voir ce que proposera le gouvernement pour que les Français les plus modestes puissent continuer à acheter quotidiennement leur pain et fêter décemment Noël.
Prenant en référence le coût de 500 millions pour un centime de moins au litre à la pompe, on peut en déduire, avec une petite règle de trois, que ces milliards pourraient abaisser le prix du litre de 7,6 centimes.
On veut bien donner de l’argent aux pauvres, mais à condition qu’ils restent sages et votent bien.
Le mérite qu’on ne saurait dénier à cette mesure est d’avoir suscité une quasi-unanimité : la plupart des formations politiques de l’opposition sont contre. Comme quoi Emmanuel Macron et Jean Castex sont encore capables de réunir les Français.
Au printemps 2019, un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».
Un nouveau scénario, le bouclier carburant, apparaît, dont personne ne sait exactement de quoi il s’agit. Macron s’engage à prendre une décision avant la fin de cette semaine.
Un plein gratuit à condition de ne pas sortir la bagnole du garage. Non. Alors, une reconnaissance faciale à la pompe. Tête de smicard : moins 20 %. Baisser l’essence, augmenter le prix du gilet fluo.
Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.
Il ne faut pas seulement distribuer des « chèques énergie » aux plus démunis mais aussi leur permettre d’exploiter à leur profit le plein potentiel des champs énergétiques offerts par le pays.
La marche forcée vers le tout électrique, c’est bien la marche forcée vers le nucléaire.
L’inflation ne sera pas transitoire, contrairement à ce qu’affirment la BCE, la Fed et les banques centrales…
Les chiffres du chômage ne reflètent plus la réalité à laquelle les Français sont confrontés
Ce plan ne règlera pas le mal français : le niveau record de notre fiscalité et des dépenses de fonctionnement de l’Etat.
Il faut reconnaître que le discours était bien maîtrisé et les enjeux ambitieux.
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