Economie
La seule chose certaine, c’est que le pacte de stabilité de Maastricht est enterré.
La classe moyenne française est la grande persécutée de cette crise. Elle en sortira lessivée, la proie des grands groupes financiers qui s’enrichiront en ramassant les morceaux à la casse.
Le Premier ministre Jean Castex a annoncé, jeudi 18 mars, de nouvelles mesures de restrictions : un reconfinement pour 16 départements pour au moins quatre
Si nos poilus de 14-18 n’avaient pas fait face à l’ennemi, certes au prix de deux millions de vies, la France eût été envahie. Emamnuel Macron, faute de moyens (hospitaliers), a préféré confiner les Français…
Si la planche à billets et le robinet des dépenses publiques ne sont pas contrôlés, l’inflation et l’augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie sont probables…
Les propriétaires risquent de dépenser pour le supplément de taxe foncière autant et sans doute bien plus que ce qu’ils auront gagné avec la suppression de la taxe d’habitation.
En espérant que la Chine ne se mette pas à taxer nos alcools !
Tôt ou tard, l’euro va fatalement exploser.
La dette américaine (19.539 milliards de dollars, fin 2016) s’est creusée à 27.810 milliards de dollars, le 20 janvier 2021, soit une hausse gigantesque de 8.271 milliards en quatre ans avec Trump !
Le gouvernement veut montrer qu’il tient ferme le manche des réformes, tout en faisant preuve de souplesse.
La facture va encore s’alourdir pour ceux qui se chauffent au gaz.
Avec son plan, Biden joue à quitte ou double !
Rendons hommage à ce diplomate apprécié pour son engagement personnel dans des projets difficiles de développement, ainsi qu’à ses accompagnateurs qui ont partagé les risques de sa mission.
Laxisme, démagogie, socialisme peuvent ainsi continuer à détruire notre moteur productif, personne ne s’en rend compte tant que l’euro se maintient et que l’on peut s’endetter pour soutenir le train de vie des Français.
Les États-Unis sont vent debout contre ce projet qui contrecarre leurs ambitions exportatrices de gaz de schiste.
On estime qu’en moyenne, les ménages de l’Hexagone mettent désormais de côté 276 euros par mois depuis mars 2020 : le double de l’épargne d’avant crise !
Le Bitcoin, canari dans la mine de la folie humaine, a dépassé les 50.000 dollars, galvanisé par Tesla, les grandes banques et tous les spéculateurs avides de la planète.
Le régalien est à l’encan.
Il est temps de redresser la barre et de reprendre goût à la vie en réaffirmant avec fierté l’identité et les valeurs profondes de la France, sous peine de nous étouffer avec les cendres de nos traditions.
Aussi, on joue de la sémantique en ce qu’il serait sanitaire ou vaccinal, on réfléchit s’il ne conditionnerait que les voyages ou bien l’accès aux lieux culturels…
Tout vient des normes édictées par le BIT pour définir un chômeur…
« Sauver les vies des vieux, oui, bien sûr. Les faire payer, oui, aussi… »
La vérité, ce ne sont pas les vaccins salvateurs mais un monde qui repose sur un volcan de dettes et de taux d’intérêt.
En partisan avoué de la décroissance, François Ruffin a toutefois une raison de se réjouir de l’épidémie : de confinements en couvre-feux, elle arrive…
M. Bayrou, en estimant qu’on appartient aux classes moyennes à 4.000 euros par mois (en couple), a provoqué un tollé.
Une forte et très prochaine correction boursière est malgré tout probable car les arbres ne montent pas jusqu’au ciel.
Hormis quelques secteurs de pointe, comme le luxe ou l’aéronautique, l’économie française repose désormais essentiellement sur la finance, les assurances, les services et le tourisme.
Il semblerait que l’État se serve de cette enveloppe à des fins beaucoup moins sanitaires ou sociales, voire pour résoudre des problèmes non liés au Covid-19.
La seule chose certaine, c’est que le pacte de stabilité de Maastricht est enterré.
La classe moyenne française est la grande persécutée de cette crise. Elle en sortira lessivée, la proie des grands groupes financiers qui s’enrichiront en ramassant les morceaux à la casse.
Le Premier ministre Jean Castex a annoncé, jeudi 18 mars, de nouvelles mesures de restrictions : un reconfinement pour 16 départements pour au moins quatre
Si nos poilus de 14-18 n’avaient pas fait face à l’ennemi, certes au prix de deux millions de vies, la France eût été envahie. Emamnuel Macron, faute de moyens (hospitaliers), a préféré confiner les Français…
Si la planche à billets et le robinet des dépenses publiques ne sont pas contrôlés, l’inflation et l’augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie sont probables…
Les propriétaires risquent de dépenser pour le supplément de taxe foncière autant et sans doute bien plus que ce qu’ils auront gagné avec la suppression de la taxe d’habitation.
En espérant que la Chine ne se mette pas à taxer nos alcools !
Tôt ou tard, l’euro va fatalement exploser.
La dette américaine (19.539 milliards de dollars, fin 2016) s’est creusée à 27.810 milliards de dollars, le 20 janvier 2021, soit une hausse gigantesque de 8.271 milliards en quatre ans avec Trump !
Le gouvernement veut montrer qu’il tient ferme le manche des réformes, tout en faisant preuve de souplesse.
La facture va encore s’alourdir pour ceux qui se chauffent au gaz.
Avec son plan, Biden joue à quitte ou double !
Rendons hommage à ce diplomate apprécié pour son engagement personnel dans des projets difficiles de développement, ainsi qu’à ses accompagnateurs qui ont partagé les risques de sa mission.
Laxisme, démagogie, socialisme peuvent ainsi continuer à détruire notre moteur productif, personne ne s’en rend compte tant que l’euro se maintient et que l’on peut s’endetter pour soutenir le train de vie des Français.
Les États-Unis sont vent debout contre ce projet qui contrecarre leurs ambitions exportatrices de gaz de schiste.
On estime qu’en moyenne, les ménages de l’Hexagone mettent désormais de côté 276 euros par mois depuis mars 2020 : le double de l’épargne d’avant crise !
Le Bitcoin, canari dans la mine de la folie humaine, a dépassé les 50.000 dollars, galvanisé par Tesla, les grandes banques et tous les spéculateurs avides de la planète.
Le régalien est à l’encan.
Il est temps de redresser la barre et de reprendre goût à la vie en réaffirmant avec fierté l’identité et les valeurs profondes de la France, sous peine de nous étouffer avec les cendres de nos traditions.
Aussi, on joue de la sémantique en ce qu’il serait sanitaire ou vaccinal, on réfléchit s’il ne conditionnerait que les voyages ou bien l’accès aux lieux culturels…
Tout vient des normes édictées par le BIT pour définir un chômeur…
« Sauver les vies des vieux, oui, bien sûr. Les faire payer, oui, aussi… »
La vérité, ce ne sont pas les vaccins salvateurs mais un monde qui repose sur un volcan de dettes et de taux d’intérêt.
En partisan avoué de la décroissance, François Ruffin a toutefois une raison de se réjouir de l’épidémie : de confinements en couvre-feux, elle arrive…
M. Bayrou, en estimant qu’on appartient aux classes moyennes à 4.000 euros par mois (en couple), a provoqué un tollé.
Une forte et très prochaine correction boursière est malgré tout probable car les arbres ne montent pas jusqu’au ciel.
Hormis quelques secteurs de pointe, comme le luxe ou l’aéronautique, l’économie française repose désormais essentiellement sur la finance, les assurances, les services et le tourisme.
Il semblerait que l’État se serve de cette enveloppe à des fins beaucoup moins sanitaires ou sociales, voire pour résoudre des problèmes non liés au Covid-19.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
ZFE : quand les écolos font la guerre aux pauvres