Economie
Ils bâtirent leur puissance dans le vide juridique… en une vitesse supra-luminique…
Dans les années 50, chaque dollar emprunté générait 70 centimes de croissance du PIB. Aujourd’hui, un dollar de dette génère seulement 30 centimes de PIB.
Selon un sondage récent de Fox News, 80 % des Américains pensent que la Bourse a perdu les pédales.
Selon l’INSEE, notre PIB pourrait, pour finir, s’effondrer de 14 % en 2020, ce qui serait un triste record dans le monde, seulement approché par l’Espagne et l’Italie.
Comme pour toutes les autres crises dont la société française est rongée, l’appel martial à la mobilisation civique a cédé la place à une démobilisation morale généralisée, puis à une contestation sociale communautarisée.
Malgré tout, le département affiche un taux de chômage de 13,3 %.
La France, pionnière de l’aviation, ne saurait voir se « planter » une industrie, fleuron du savoir-faire tricolore.
À l’heure des premières fermetures d’entreprises et des premiers licenciements, comment envisager la reprise économique en préservant l’humain ? Réponse de Joseph Thouvenel au micro
Entre un ingénieur domicilié dans la Creuse, qu’il faut payer 3.000 € par mois, et un confrère indien qui ne demande que 200 €…
En 1931, l’Allemagne, alors sous le régime de Weimar, avait enregistrée une récession de 12 % qui avait plongé le pays dans une crise économique et sociale dramatique.
Bien sûr, pour passer à la caisse, il convient d’habiter Paris et ses proches environs, sachant que la sauvegarde de la planète est un exercice moins couru dans la France périphérique…
Notre ministre, « responsable » de l’économie, donc a priori au fait des problèmes de ce secteur, semble courir inlassablement après la chute du PIB.
71 éoliennes seront installées au large de Fécamp, dans un rayon de 13 à 22 kilomètres des côtes.
L’Amérique de Trump se remet tout de suite au travail, repart au combat vite et bien.
Le bateau ivre « BCE » continue sa folle marche en avant tout droit dans le mur avec, à la clé, la perte de confiance dans l’euro, nouvelle monnaie de singe, style Zimbabwe et Venezuela.
Les mesures gouvernementales ont gelé les problèmes et anesthésié l’économie française, mais celle-ci sort peu à peu de son coma.
Cette politique est à courte vue. Les plus aisés risquent, certes, de se détourner du marché locatif, mais ce sont les plus pauvres qui paieront les pots cassés en n’arrivant plus à se loger à des prix convenables.
Il est probable que toutes ces gesticulations médiatiques autour de cet emprunt fédéraliste par l’UE nous apparaîtront, un jour, comme un élément parmi tant d’autres du rideau de fumées…
Ne serait-il pas préférable de maintenir le nucléaire et soutenir la recherche pour des énergies moins polluantes et éphémères que les éoliennes ?
Nos fleurons économiques, comme nos politiques, ont choisi non pas une mais deux soumissions : face à l’islam conquérant et face à la loi de l’argent.
La répartition des sommes allouées ne correspond donc pas aux besoins réels de chaque pays mais à la menace que chacun fait peser sur la Commission quant à une éventuelle sortie de l’Union.
La crise sera d’autant plus terrible que la crainte du lendemain poussera les Français qui peuvent encore dépenser à privilégier l’épargne au détriment de la consommation.
Tout cela ne peut se terminer que par une immense explosion à venir et un nouvel ordre monétaire international fondé exclusivement sur l’or, contrairement à ce qui avait été décidé en 1945 à Bretton Woods
Je ne vois pas comment vous pourrez financer tous ces milliards que vous jetez au vent mauvais, sinon en ponctionnant jusqu’à l’os nos maigres économies et nos pauvres retraites.
Les entreprises françaises ont, jusque-là, limité la casse, du fait du chômage partiel, du report de charge et des prêts garantis par l’État. Mais ces dispositifs d’aide vont prendre fin.
L’Europe démontre donc, s’il en était encore besoin, que face à des crises majeures, c’est le réflexe nationaliste qui reprend le dessus.
Ils bâtirent leur puissance dans le vide juridique… en une vitesse supra-luminique…
Dans les années 50, chaque dollar emprunté générait 70 centimes de croissance du PIB. Aujourd’hui, un dollar de dette génère seulement 30 centimes de PIB.
Selon un sondage récent de Fox News, 80 % des Américains pensent que la Bourse a perdu les pédales.
Selon l’INSEE, notre PIB pourrait, pour finir, s’effondrer de 14 % en 2020, ce qui serait un triste record dans le monde, seulement approché par l’Espagne et l’Italie.
Comme pour toutes les autres crises dont la société française est rongée, l’appel martial à la mobilisation civique a cédé la place à une démobilisation morale généralisée, puis à une contestation sociale communautarisée.
Malgré tout, le département affiche un taux de chômage de 13,3 %.
La France, pionnière de l’aviation, ne saurait voir se « planter » une industrie, fleuron du savoir-faire tricolore.
À l’heure des premières fermetures d’entreprises et des premiers licenciements, comment envisager la reprise économique en préservant l’humain ? Réponse de Joseph Thouvenel au micro
Entre un ingénieur domicilié dans la Creuse, qu’il faut payer 3.000 € par mois, et un confrère indien qui ne demande que 200 €…
En 1931, l’Allemagne, alors sous le régime de Weimar, avait enregistrée une récession de 12 % qui avait plongé le pays dans une crise économique et sociale dramatique.
Bien sûr, pour passer à la caisse, il convient d’habiter Paris et ses proches environs, sachant que la sauvegarde de la planète est un exercice moins couru dans la France périphérique…
Notre ministre, « responsable » de l’économie, donc a priori au fait des problèmes de ce secteur, semble courir inlassablement après la chute du PIB.
71 éoliennes seront installées au large de Fécamp, dans un rayon de 13 à 22 kilomètres des côtes.
L’Amérique de Trump se remet tout de suite au travail, repart au combat vite et bien.
Le bateau ivre « BCE » continue sa folle marche en avant tout droit dans le mur avec, à la clé, la perte de confiance dans l’euro, nouvelle monnaie de singe, style Zimbabwe et Venezuela.
Les mesures gouvernementales ont gelé les problèmes et anesthésié l’économie française, mais celle-ci sort peu à peu de son coma.
Cette politique est à courte vue. Les plus aisés risquent, certes, de se détourner du marché locatif, mais ce sont les plus pauvres qui paieront les pots cassés en n’arrivant plus à se loger à des prix convenables.
Il est probable que toutes ces gesticulations médiatiques autour de cet emprunt fédéraliste par l’UE nous apparaîtront, un jour, comme un élément parmi tant d’autres du rideau de fumées…
Ne serait-il pas préférable de maintenir le nucléaire et soutenir la recherche pour des énergies moins polluantes et éphémères que les éoliennes ?
Nos fleurons économiques, comme nos politiques, ont choisi non pas une mais deux soumissions : face à l’islam conquérant et face à la loi de l’argent.
La répartition des sommes allouées ne correspond donc pas aux besoins réels de chaque pays mais à la menace que chacun fait peser sur la Commission quant à une éventuelle sortie de l’Union.
La crise sera d’autant plus terrible que la crainte du lendemain poussera les Français qui peuvent encore dépenser à privilégier l’épargne au détriment de la consommation.
Tout cela ne peut se terminer que par une immense explosion à venir et un nouvel ordre monétaire international fondé exclusivement sur l’or, contrairement à ce qui avait été décidé en 1945 à Bretton Woods
Je ne vois pas comment vous pourrez financer tous ces milliards que vous jetez au vent mauvais, sinon en ponctionnant jusqu’à l’os nos maigres économies et nos pauvres retraites.
Les entreprises françaises ont, jusque-là, limité la casse, du fait du chômage partiel, du report de charge et des prêts garantis par l’État. Mais ces dispositifs d’aide vont prendre fin.
L’Europe démontre donc, s’il en était encore besoin, que face à des crises majeures, c’est le réflexe nationaliste qui reprend le dessus.