Economie
Un peu de bon sens, un peu de sens collectif français, face à la mondialisation heureuse et financière à tous crins qui n’avait pas prévu la pandémie.
À des fins de profit personnel, alors même que des millions de personnes ont perdu tout ou partie de leur revenu, certains n’hésitent pas à ne pas respecter les plus élémentaires règles sociales.
Au-delà de la crise sanitaire effrayante qui risque malheureusement de conduire à la mort de nombreux Français se profile une crise économique d’envergure provoquée par le confinement et l’arrêt de la production des marchandises non essentielles.
Le coronavirus ne fait que précipiter la crise, annoncée depuis longtemps, de la bulle des actions et de l’hyperendettement
La source du problème vient du fameux « en même temps » d’Emmanuel Macron qui d’un côté parle de guerre et de rester chez soi et de l’autre insiste pour que l’activité continue.
Interrogeons-nous avant de cliquer sur notre panier, sachant que pour se faire livrer tranquillement dans notre canapé, confits et bien au chaud, nous imposerons à d’autres, livreurs, routiers, de sortir travailler.
Fermeture des stations, des WC, des points de ravitaillement… alors que l’État exige que les transports de marchandises assurent l’approvisionnement en médicaments, matériel divers urgent et alimentation.
Le traitement économique de la crise du coronavirus constituera un basculement de la mentalité des Français de la même ampleur que la mise en place
Le naufrage de la mondialisation est illustré par la pénurie de masques et l’incapacité dramatique d’offrir un premier rempart contre le Covid-19 aux Français.
Bien entendu, et tous les chefs d’entreprise le savent, il ne faut pas compter sur les banques.
La crise de 2020 sera pire que celle de 2008 car il y aura d’abord mise à l’arrêt de l’économie réelle.
Toute crise majeure est l’occasion (ou le prétexte), pour notre État jacobin, de resserrer son emprise sur nos vies, et il est douteux qu’il rate celle-ci.
Le coronavirus pousse le monde vers la récession. Le prix de l’or va monter.
Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…
Leur contrat est rompu et, en échange, ils obtiennent une indemnisation.
Un tour d’horizon passionnant avec Charles Gave sur la crise économique, du coronavirus au krach boursier, en passant par l’euro, la Chine, usine du monde,
Saluons la performance : trois inepties majeures en moins d’une minute chrono.
Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.
Comment ne pas mesurer la fragilité de tout ce château de cartes que constitue notre double aliénation productivité/consommation ?
Les cours de marché, ce matin lundi, tournent autour de 30 à 35 dollars le baril selon les qualités, dans un contexte déprimé par la chute de la demande asiatique à cause du coronavirus.
Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?
La présidence de la République du Liban vient d’annoncer que le pays n’honorera pas ses engagements et, donc, que le pays du Cèdre est en cessation de paiements.
Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
Vous l’avez compris, cette satanée épreuve est un obstacle au développement du marché.
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Pour le privé, seuls les couples qui ont des pensions supérieures à la moyenne seront gagnants…
Décidément, nos mammouths nationaux n’ont pas de chance avec l’informatisation.
Un peu de bon sens, un peu de sens collectif français, face à la mondialisation heureuse et financière à tous crins qui n’avait pas prévu la pandémie.
À des fins de profit personnel, alors même que des millions de personnes ont perdu tout ou partie de leur revenu, certains n’hésitent pas à ne pas respecter les plus élémentaires règles sociales.
Au-delà de la crise sanitaire effrayante qui risque malheureusement de conduire à la mort de nombreux Français se profile une crise économique d’envergure provoquée par le confinement et l’arrêt de la production des marchandises non essentielles.
Le coronavirus ne fait que précipiter la crise, annoncée depuis longtemps, de la bulle des actions et de l’hyperendettement
La source du problème vient du fameux « en même temps » d’Emmanuel Macron qui d’un côté parle de guerre et de rester chez soi et de l’autre insiste pour que l’activité continue.
Interrogeons-nous avant de cliquer sur notre panier, sachant que pour se faire livrer tranquillement dans notre canapé, confits et bien au chaud, nous imposerons à d’autres, livreurs, routiers, de sortir travailler.
Fermeture des stations, des WC, des points de ravitaillement… alors que l’État exige que les transports de marchandises assurent l’approvisionnement en médicaments, matériel divers urgent et alimentation.
Le traitement économique de la crise du coronavirus constituera un basculement de la mentalité des Français de la même ampleur que la mise en place
Le naufrage de la mondialisation est illustré par la pénurie de masques et l’incapacité dramatique d’offrir un premier rempart contre le Covid-19 aux Français.
Bien entendu, et tous les chefs d’entreprise le savent, il ne faut pas compter sur les banques.
La crise de 2020 sera pire que celle de 2008 car il y aura d’abord mise à l’arrêt de l’économie réelle.
Toute crise majeure est l’occasion (ou le prétexte), pour notre État jacobin, de resserrer son emprise sur nos vies, et il est douteux qu’il rate celle-ci.
Le coronavirus pousse le monde vers la récession. Le prix de l’or va monter.
Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…
Leur contrat est rompu et, en échange, ils obtiennent une indemnisation.
Un tour d’horizon passionnant avec Charles Gave sur la crise économique, du coronavirus au krach boursier, en passant par l’euro, la Chine, usine du monde,
Saluons la performance : trois inepties majeures en moins d’une minute chrono.
Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.
Comment ne pas mesurer la fragilité de tout ce château de cartes que constitue notre double aliénation productivité/consommation ?
Les cours de marché, ce matin lundi, tournent autour de 30 à 35 dollars le baril selon les qualités, dans un contexte déprimé par la chute de la demande asiatique à cause du coronavirus.
Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?
La présidence de la République du Liban vient d’annoncer que le pays n’honorera pas ses engagements et, donc, que le pays du Cèdre est en cessation de paiements.
Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
Vous l’avez compris, cette satanée épreuve est un obstacle au développement du marché.
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Pour le privé, seuls les couples qui ont des pensions supérieures à la moyenne seront gagnants…
Décidément, nos mammouths nationaux n’ont pas de chance avec l’informatisation.