Economie
L’impact de l’épidémie sur la « croissance » va être important.
Alors que l’ensemble de la zone euro (hors la France et l’Allemagne) a, en moyenne, réussi, en cinq ans, à baisser de 9 points du PIB la dette publique, la nôtre a continué de filer, pour atteindre 98,8 % du PIB, en décembre dernier.
Le problème est de savoir si l’épidémie aura des effets maîtrisables, temporaires et réversibles. Si ce n’est pas le cas, un hyper krach dans une économie mondiale aussi fragile, interconnectée et hyper-endettée, serait inévitable.
L’or vient à nouveau de battre un record, à 1.600 dollars l’once, du jamais-vu depuis 2013…
On ne peut redistribuer que ce que l’on a auparavant produit, ce qu’a oublié une France surendettée qui vit au-dessus de ses moyens, faute de produire au moins autant que ce qu’elle dépense.
27 % des transactions mondiales sont libellées en euros, 65 % en dollars…
En multipliant les exceptions après la police et l’armée, la réforme proposée par M. Macron devient illisible.
Une rançon électorale à 10 milliards d’euros mettant de surcroît à mal la stabilité du système électrique.
En fait, personne n’est actuellement en mesure d’évaluer la gravité de l’épidémie, et encore moins ses effets à venir sur l’économie et les Bourses mondiales.
Comme il faut sauver nos boulangers et nos arboriculteurs, il faut sauver nos éleveurs.
Pas étonnant, donc, si le cours de l’or se rapproche des 1.600 dollars l’once, si 26 millions d’Allemands possèdent désormais de l’or, soit 8.918 tonnes, soit 4 fois les réserves d’or de la Banque de France.
Le seul aspect positif de la politique de M. Macron, une croissance plus forte que la zone euro, vient de disparaître tandis que notre déficit et notre chômage restent plus élevés que ceux de nos voisins.
Force est de constater que de nombreux pays font mieux que nous…
Il suffirait d’une petite bourrasque… pour que l’économie mondiale s’effondre.
Un groupe d’« experts » vient de remettre au garde des Sceaux, Nicole Belloubet, un rapport qualifié de volcanique par le magazine Capital, ce 22 janvier.
Le « made in France » devient attractif car nous, consommateurs, avons besoin d’une traçabilité des produits.
Le Premier ministre vient d’annoncer, mercredi, l’arrêt d’un réacteur de Fessenheim le 22 février. En juin 2020, la centrale nucléaire aura cessé de fonctionner : les Verts auront gagné…
L’or ne ment pas…0000
Le régime des avocats n’est pas un régime spécial. Il est géré de manière indépendante, efficace, économique, prudente et pertinente par notre caisse professionnelle, la CNBF.
Après nous, le déluge. Tabula rasa, c’est, depuis des lustres, la devise de la gauche obtuse.
Nous avons connu des époques où le livret A était, par principe, supérieur à l’inflation, mais ce temps-là est bien terminé.
Et la prophétie de Michel Audiard continue de se profiler à l’horizon : « Le jour est proche où nous n’aurons plus que “l’impôt” sur les os. »
L’arboriculture française a perdu 40 % de ses vergers en vingt ans !
Six cents chefs de service et près de cinq cents responsables d’unités viennent donc d’annoncer leur démission de leurs « fonctions d’administration, de gestion et de représentation ».
À Paris, les grèves sont en train d’avoir raison de lui : annulations, reports, remboursements s’accommodent mal de l’économie fragile du spectacle vivant
Une perte de 20.000 euros de chiffres d’affaires, des salariés contraints de dormir sur place et des dizaines de réservations annulées…
Nous vivons dans le monde merveilleux de l’argent gratuit en quantité illimitée…
Les sponsors du régime ont de quoi être reconnaissants.
L’impact de l’épidémie sur la « croissance » va être important.
Alors que l’ensemble de la zone euro (hors la France et l’Allemagne) a, en moyenne, réussi, en cinq ans, à baisser de 9 points du PIB la dette publique, la nôtre a continué de filer, pour atteindre 98,8 % du PIB, en décembre dernier.
Le problème est de savoir si l’épidémie aura des effets maîtrisables, temporaires et réversibles. Si ce n’est pas le cas, un hyper krach dans une économie mondiale aussi fragile, interconnectée et hyper-endettée, serait inévitable.
L’or vient à nouveau de battre un record, à 1.600 dollars l’once, du jamais-vu depuis 2013…
On ne peut redistribuer que ce que l’on a auparavant produit, ce qu’a oublié une France surendettée qui vit au-dessus de ses moyens, faute de produire au moins autant que ce qu’elle dépense.
27 % des transactions mondiales sont libellées en euros, 65 % en dollars…
En multipliant les exceptions après la police et l’armée, la réforme proposée par M. Macron devient illisible.
Une rançon électorale à 10 milliards d’euros mettant de surcroît à mal la stabilité du système électrique.
En fait, personne n’est actuellement en mesure d’évaluer la gravité de l’épidémie, et encore moins ses effets à venir sur l’économie et les Bourses mondiales.
Comme il faut sauver nos boulangers et nos arboriculteurs, il faut sauver nos éleveurs.
Pas étonnant, donc, si le cours de l’or se rapproche des 1.600 dollars l’once, si 26 millions d’Allemands possèdent désormais de l’or, soit 8.918 tonnes, soit 4 fois les réserves d’or de la Banque de France.
Le seul aspect positif de la politique de M. Macron, une croissance plus forte que la zone euro, vient de disparaître tandis que notre déficit et notre chômage restent plus élevés que ceux de nos voisins.
Force est de constater que de nombreux pays font mieux que nous…
Il suffirait d’une petite bourrasque… pour que l’économie mondiale s’effondre.
Un groupe d’« experts » vient de remettre au garde des Sceaux, Nicole Belloubet, un rapport qualifié de volcanique par le magazine Capital, ce 22 janvier.
Le « made in France » devient attractif car nous, consommateurs, avons besoin d’une traçabilité des produits.
Le Premier ministre vient d’annoncer, mercredi, l’arrêt d’un réacteur de Fessenheim le 22 février. En juin 2020, la centrale nucléaire aura cessé de fonctionner : les Verts auront gagné…
L’or ne ment pas…0000
Le régime des avocats n’est pas un régime spécial. Il est géré de manière indépendante, efficace, économique, prudente et pertinente par notre caisse professionnelle, la CNBF.
Après nous, le déluge. Tabula rasa, c’est, depuis des lustres, la devise de la gauche obtuse.
Nous avons connu des époques où le livret A était, par principe, supérieur à l’inflation, mais ce temps-là est bien terminé.
Et la prophétie de Michel Audiard continue de se profiler à l’horizon : « Le jour est proche où nous n’aurons plus que “l’impôt” sur les os. »
L’arboriculture française a perdu 40 % de ses vergers en vingt ans !
Six cents chefs de service et près de cinq cents responsables d’unités viennent donc d’annoncer leur démission de leurs « fonctions d’administration, de gestion et de représentation ».
À Paris, les grèves sont en train d’avoir raison de lui : annulations, reports, remboursements s’accommodent mal de l’économie fragile du spectacle vivant
Une perte de 20.000 euros de chiffres d’affaires, des salariés contraints de dormir sur place et des dizaines de réservations annulées…
Nous vivons dans le monde merveilleux de l’argent gratuit en quantité illimitée…
Les sponsors du régime ont de quoi être reconnaissants.