Economie
L’IFI chéri est encore une jolie nique à la France périphérique. Et aussi à tout son patrimoine magnifique.
Décidément, la France d’en haut n’a qu’un outil : le fiscalisme.
Notre modernité bourgeoise, rationaliste et libérale a rejeté, la qualifiant de paternaliste, cette conception des choses, validant plutôt la réponse pleine de morgue de Caïn : « Suis-je le gardien de mon frère ? »
Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019…
Il est en effet bien intéressant de regarder qui, cette année, ne va pas à Davos et laissera des trous dans la très chic photo de famille…
De plus en plus de Français se retrouvent désormais relégués dans ce que ces mêmes gouvernants surnomment aujourd’hui les « territoires », comme s’il s’agissait de réserves pour espèces en voie d’extinction.
L’or est la seule valeur refuge qui se moque de la folie humaine, ce que vient de reconnaître Russ Koesterich…
En fait, les États-Unis sont un pays virtuellement en faillite, qui ne peut plus survivre qu’en s’endettant à un rythme de plus en plus rapide.
L’empire du Milieu, dépourvu de passé colonial en Afrique et observateur dans le mouvement des non-alignés, bénéficie d’une image positive sur le continent noir.
Or, notre pays est toujours à court d’argent. Il doit sans cesse emprunter : 200 milliards en 2019 !
Si, cependant, le coup est tenté par le mouvement, et d’une façon importante, cela sera sans doute un signe qu’il se radicalise et se « mélenchonise ».
Bic prend ses cliques et ses claques pour se délocaliser en Tunisie.
Madame Hidalgo a annoncé pour 2019 tout un tas de choses mirobolantes.
Le nucléaire supprimé, il faudra payer cash le surcoût : ce n’est pas dans l’air du temps !
En 2018, les détenteurs des titres cotés au CAC 40 ont touché 57,4 milliards au total (en hausse de 12,8 %) pour une valorisation de 1.500 milliards, soit un rendement de 3,8 % avant impôts.
Quoi qu’il en soit, on nage momentanément dans la confusion la plus totale…
La hausse des taux d’intérêt et le ralentissement de la croissance mènent l’Italie à la banqueroute.
Ils sont plus qu’alarmants. En huit semaines, l’activité économique du pays en a pris un grand coup dans le buffet…
Les grands gagnants seront les hypermarchés et les supermarchés.
Le libre-échange mondialiste, avec sa course incessante aux bas salaires et aux délocalisations, doit être mis à bas dans une Europe-puissance protectionniste.
Le gouvernement éprouve le besoin de justifier son refus de réintroduire l’ISF. Aussi, il montre ses muscles et enjoint aux patrons de payer leurs impôts en France.
L’année 2019 s’annonce comme l’année de tous les dangers pour le pouvoir macronien.
Quelle est la situation réelle de la France ?
Ces recettes fiscales devaient permettre de financer une baisse des cotisations patronales pour les salaires allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC.
La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB.
Il est, d’ailleurs, symptomatique que la France n’ait pas de ministre de l’Industrie !
Se pourrait-il que nos invités fraudassent, Boniface ?
L’IFI chéri est encore une jolie nique à la France périphérique. Et aussi à tout son patrimoine magnifique.
Décidément, la France d’en haut n’a qu’un outil : le fiscalisme.
Notre modernité bourgeoise, rationaliste et libérale a rejeté, la qualifiant de paternaliste, cette conception des choses, validant plutôt la réponse pleine de morgue de Caïn : « Suis-je le gardien de mon frère ? »
Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019…
Il est en effet bien intéressant de regarder qui, cette année, ne va pas à Davos et laissera des trous dans la très chic photo de famille…
De plus en plus de Français se retrouvent désormais relégués dans ce que ces mêmes gouvernants surnomment aujourd’hui les « territoires », comme s’il s’agissait de réserves pour espèces en voie d’extinction.
L’or est la seule valeur refuge qui se moque de la folie humaine, ce que vient de reconnaître Russ Koesterich…
En fait, les États-Unis sont un pays virtuellement en faillite, qui ne peut plus survivre qu’en s’endettant à un rythme de plus en plus rapide.
L’empire du Milieu, dépourvu de passé colonial en Afrique et observateur dans le mouvement des non-alignés, bénéficie d’une image positive sur le continent noir.
Or, notre pays est toujours à court d’argent. Il doit sans cesse emprunter : 200 milliards en 2019 !
Si, cependant, le coup est tenté par le mouvement, et d’une façon importante, cela sera sans doute un signe qu’il se radicalise et se « mélenchonise ».
Bic prend ses cliques et ses claques pour se délocaliser en Tunisie.
Madame Hidalgo a annoncé pour 2019 tout un tas de choses mirobolantes.
Le nucléaire supprimé, il faudra payer cash le surcoût : ce n’est pas dans l’air du temps !
En 2018, les détenteurs des titres cotés au CAC 40 ont touché 57,4 milliards au total (en hausse de 12,8 %) pour une valorisation de 1.500 milliards, soit un rendement de 3,8 % avant impôts.
Quoi qu’il en soit, on nage momentanément dans la confusion la plus totale…
La hausse des taux d’intérêt et le ralentissement de la croissance mènent l’Italie à la banqueroute.
Ils sont plus qu’alarmants. En huit semaines, l’activité économique du pays en a pris un grand coup dans le buffet…
Les grands gagnants seront les hypermarchés et les supermarchés.
Le libre-échange mondialiste, avec sa course incessante aux bas salaires et aux délocalisations, doit être mis à bas dans une Europe-puissance protectionniste.
Le gouvernement éprouve le besoin de justifier son refus de réintroduire l’ISF. Aussi, il montre ses muscles et enjoint aux patrons de payer leurs impôts en France.
L’année 2019 s’annonce comme l’année de tous les dangers pour le pouvoir macronien.
Quelle est la situation réelle de la France ?
Ces recettes fiscales devaient permettre de financer une baisse des cotisations patronales pour les salaires allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC.
La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB.
Il est, d’ailleurs, symptomatique que la France n’ait pas de ministre de l’Industrie !
Se pourrait-il que nos invités fraudassent, Boniface ?