Economie
Il importe donc de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations.
Ainsi, l’économie et l’écologie, qui semblent irréconciliables à des Français acculés, pourraient leur offrir un horizon qui ne serait pas fait d’aumônes ni de subventions…
Deux vrais thèmes ne sont pas abordés : l’immigration et le rôle des banques dans le financement des TPE/PME/PMI, là où il y a de réels gisements d’emplois…
Les discussions des gilets jaunes portaient plus sur les cadeaux gouvernementaux que sur ceux mis au bas du sapin.
La Bastille de la France actuelle n’est certainement pas l’Élysée (qui n’a pas de pouvoir), mais Bercy.
Rien ne dit que la grogne sociale ne reprendra pas en janvier…
Les investisseurs broient à nouveau du noir et anticipent un scénario très négatif de ralentissement de la croissance mondiale.
François Gervais rappelle que le CO2 n’est pas un poison mais un composant essentiel du cycle de la vie.
Notre budget, avant ces annonces, connaissait déjà un déficit dramatique : désormais, il est épouvantable !
Après les mesures annoncées par Emmanuel Macron et le jour d’une nouvelle manifestation des gilets jaunes, Eudes Baufreton, directeur général de Contribuables associés, réagit au
Il importe donc de procéder, en France, à une révolution conservatrice conduisant à une baisse globale des impôts pour tous, qu’ils soient pauvres ou riches.
De droite comme de gauche, pourtant de caractères et de personnalités différents, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, aujourd’hui Macron, tous les Présidents depuis la fin des Trente Glorieuses n’ont pas répondu aux attentes et ne pourront jamais y répondre.
On est chez Racine : les issues sont fermées et les personnages ne peuvent que mourir à la fin.
Seule une baisse drastique des dépenses publiques permettrait de dégager des marges suffisantes.
Un krach, c’est comme la mort ou une bombe à retardement. L’événement est certain, mais personne ne connaît l’heure fatidique.
L’indice des prix à la consommation calculé tous les ans par l’Institut national des statistiques et des études économiques est minoré.
Le pays est ruiné par des générations d’énarques qui ont même réussi à ruiner leur propre école…
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie.
C’est ailleurs qu’il faut faire porter les restrictions. Petit inventaire…
On peut ignorer le montant du SMIC… à quelques dizaines d’euros près, peut-être…
Monsieur Macron ne pense que macro. Les Français, dans leur grande majorité, pensent à ce qu’ils vont mettre dans leur assiette à midi et dans leur voiture le soir.
Les dépenses liées aux arrêts-maladie explosent.
Ce n’est pas la faute à Bibi mais cela va s’ajouter aux hausses de taxes qui, elles, sont de sa faute.
Il ne s’agit évidemment pas de dire ce qu’il doit ou devrait faire, seulement d’apprécier sa marge de manœuvre.
Le souci de la prise en charge de leurs dernières années de vie est un grand sujet d’angoisse pour une majorité de Français.
Quelle ville française équivalente peut revendiquer un approvisionnement 100 % naturel ?
Trump, c’est une réincarnation de Jessie James, ce bandit au grand cœur qui pillait les banques pour redonner l’argent aux pauvres.
Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.
Il importe donc de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations.
Ainsi, l’économie et l’écologie, qui semblent irréconciliables à des Français acculés, pourraient leur offrir un horizon qui ne serait pas fait d’aumônes ni de subventions…
Deux vrais thèmes ne sont pas abordés : l’immigration et le rôle des banques dans le financement des TPE/PME/PMI, là où il y a de réels gisements d’emplois…
Les discussions des gilets jaunes portaient plus sur les cadeaux gouvernementaux que sur ceux mis au bas du sapin.
La Bastille de la France actuelle n’est certainement pas l’Élysée (qui n’a pas de pouvoir), mais Bercy.
Rien ne dit que la grogne sociale ne reprendra pas en janvier…
Les investisseurs broient à nouveau du noir et anticipent un scénario très négatif de ralentissement de la croissance mondiale.
François Gervais rappelle que le CO2 n’est pas un poison mais un composant essentiel du cycle de la vie.
Notre budget, avant ces annonces, connaissait déjà un déficit dramatique : désormais, il est épouvantable !
Après les mesures annoncées par Emmanuel Macron et le jour d’une nouvelle manifestation des gilets jaunes, Eudes Baufreton, directeur général de Contribuables associés, réagit au
Il importe donc de procéder, en France, à une révolution conservatrice conduisant à une baisse globale des impôts pour tous, qu’ils soient pauvres ou riches.
De droite comme de gauche, pourtant de caractères et de personnalités différents, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, aujourd’hui Macron, tous les Présidents depuis la fin des Trente Glorieuses n’ont pas répondu aux attentes et ne pourront jamais y répondre.
On est chez Racine : les issues sont fermées et les personnages ne peuvent que mourir à la fin.
Seule une baisse drastique des dépenses publiques permettrait de dégager des marges suffisantes.
Un krach, c’est comme la mort ou une bombe à retardement. L’événement est certain, mais personne ne connaît l’heure fatidique.
L’indice des prix à la consommation calculé tous les ans par l’Institut national des statistiques et des études économiques est minoré.
Le pays est ruiné par des générations d’énarques qui ont même réussi à ruiner leur propre école…
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie.
C’est ailleurs qu’il faut faire porter les restrictions. Petit inventaire…
On peut ignorer le montant du SMIC… à quelques dizaines d’euros près, peut-être…
Monsieur Macron ne pense que macro. Les Français, dans leur grande majorité, pensent à ce qu’ils vont mettre dans leur assiette à midi et dans leur voiture le soir.
Les dépenses liées aux arrêts-maladie explosent.
Ce n’est pas la faute à Bibi mais cela va s’ajouter aux hausses de taxes qui, elles, sont de sa faute.
Il ne s’agit évidemment pas de dire ce qu’il doit ou devrait faire, seulement d’apprécier sa marge de manœuvre.
Le souci de la prise en charge de leurs dernières années de vie est un grand sujet d’angoisse pour une majorité de Français.
Quelle ville française équivalente peut revendiquer un approvisionnement 100 % naturel ?
Trump, c’est une réincarnation de Jessie James, ce bandit au grand cœur qui pillait les banques pour redonner l’argent aux pauvres.
Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.