Economie
Alors toujours plus d’impôts pour quels résultats, me direz-vous ? Une nation apaisée, frugale dans sa gestion, soucieuse du bien commun, dotée de services publics modernes et efficaces ?
La Réunion est comme la Guyane : un déversoir. Prenons garde à ce que cela ne devienne pas un laboratoire, dramatique préfiguration de ce qui nous attend.
Les géants du commerce numérique (Amazon et Alibaba) vont, une nouvelle fois, enregistrer des records massifs de commandes et de bénéfices.
C’est l’histoire de la grenouille française qui veut se faire plus grosse que le bœuf carboné mondial.
Les Français, en allant s’approvisionner en essence, contribuent donc à l’augmentation exponentielle des bénéfices déjà considérables des sociétés de production d’électricité d’origine éolienne…
Mais voici qu’il est tombé de son piédestal. Peut-être l’y a-t-on aidé, en le poussant un peu.
Les plus grands risques immédiats semblent être la Deutsche Bank et le système bancaire italien.
Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.
Ainsi donc, Jupiter-Narcisse devient Neptune : il a pris le large sur un porte-avions…
Cela commence à sentir le roussi, non ?
On est nettement plus étonné devant les dépenses en personnel concernant « l’intendance », à savoir cuisine et hôtellerie.
La mort, comme nous l’a si magnifiquement montré Bergman dans Le Septième Sceau, ne fait pas crédit éternellement…
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
Pauvre Lorelei, elle aussi est au chômage, elle pourra rejoindre Angela en retraite.
Les grandes chaînes de distribution ont surfé sur la vague de ras-le-bol fiscal qui submerge les Français et se font, du coup, de la publicité à moindres frais.
M. Macron a promis du vent et son gouvernement est à son image…
Mais il fallait y penser avant la mondialisation et ses délocalisations…
Arlésienne de l’histoire des idées, la « troisième voie », oscillant entre instrumentalisation partisane et slogan déclaratif, est aussi insaisissable qu’indéfinissable. À en croire la
Que le carburant soit mondialiste ou identitaire, il constitue l’un des principaux points de tension d’une société à la dérive.
L’Allemagne se révèle être l’un des principaux bénéficiaires de la crise grecque.
Certes, de « petites jacqueries » ici et là ne font pas une révolution.
S’il est impossible de prévoir l’avenir, l’Italie paraît de mieux en mieux placée pour mettre le feu aux poudres.
Cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…
Édouard Philippe pourra toujours jouer le combat du progressisme – selon la feuille de route du Président – et de la fiscalité écologique…
Si aucune crise économique ne se produit, nous resterons à 9,8 % de chômeurs.
Il faut rendre hommage à Hervé Morin, président de la région Normandie, qui a décidé de reprendre le flambeau en faisant fi des décisions « venues d’en haut ».
La prétendue « agence » Moody’s est, en réalité, une société à but lucratif d’estimation des risques économiques qui travaille pour les banques.
Rien ne change en France, sauf la continuelle aggravation de la situation.
Alors toujours plus d’impôts pour quels résultats, me direz-vous ? Une nation apaisée, frugale dans sa gestion, soucieuse du bien commun, dotée de services publics modernes et efficaces ?
La Réunion est comme la Guyane : un déversoir. Prenons garde à ce que cela ne devienne pas un laboratoire, dramatique préfiguration de ce qui nous attend.
Les géants du commerce numérique (Amazon et Alibaba) vont, une nouvelle fois, enregistrer des records massifs de commandes et de bénéfices.
C’est l’histoire de la grenouille française qui veut se faire plus grosse que le bœuf carboné mondial.
Les Français, en allant s’approvisionner en essence, contribuent donc à l’augmentation exponentielle des bénéfices déjà considérables des sociétés de production d’électricité d’origine éolienne…
Mais voici qu’il est tombé de son piédestal. Peut-être l’y a-t-on aidé, en le poussant un peu.
Les plus grands risques immédiats semblent être la Deutsche Bank et le système bancaire italien.
Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.
Ainsi donc, Jupiter-Narcisse devient Neptune : il a pris le large sur un porte-avions…
Cela commence à sentir le roussi, non ?
On est nettement plus étonné devant les dépenses en personnel concernant « l’intendance », à savoir cuisine et hôtellerie.
La mort, comme nous l’a si magnifiquement montré Bergman dans Le Septième Sceau, ne fait pas crédit éternellement…
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
Pauvre Lorelei, elle aussi est au chômage, elle pourra rejoindre Angela en retraite.
Les grandes chaînes de distribution ont surfé sur la vague de ras-le-bol fiscal qui submerge les Français et se font, du coup, de la publicité à moindres frais.
M. Macron a promis du vent et son gouvernement est à son image…
Mais il fallait y penser avant la mondialisation et ses délocalisations…
Arlésienne de l’histoire des idées, la « troisième voie », oscillant entre instrumentalisation partisane et slogan déclaratif, est aussi insaisissable qu’indéfinissable. À en croire la
Que le carburant soit mondialiste ou identitaire, il constitue l’un des principaux points de tension d’une société à la dérive.
L’Allemagne se révèle être l’un des principaux bénéficiaires de la crise grecque.
Certes, de « petites jacqueries » ici et là ne font pas une révolution.
S’il est impossible de prévoir l’avenir, l’Italie paraît de mieux en mieux placée pour mettre le feu aux poudres.
Cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…
Édouard Philippe pourra toujours jouer le combat du progressisme – selon la feuille de route du Président – et de la fiscalité écologique…
Si aucune crise économique ne se produit, nous resterons à 9,8 % de chômeurs.
Il faut rendre hommage à Hervé Morin, président de la région Normandie, qui a décidé de reprendre le flambeau en faisant fi des décisions « venues d’en haut ».
La prétendue « agence » Moody’s est, en réalité, une société à but lucratif d’estimation des risques économiques qui travaille pour les banques.
Rien ne change en France, sauf la continuelle aggravation de la situation.