Economie
Le Président Macron croit-il que l’oligarchie financière va entendre son appel à l’harmonie, à la responsabilité, à la générosité envers l’humanité ?
Le client doit pouvoir croire que payer est une option, que l’achat est un hobby comme un autre, qui ne mérite ni réflexion ni contrainte.
Le déficit structurel de la balance commerciale États-Unis/Chine perdure depuis des dizaines d’années avec des chiffres gigantesques.
Finalement, lorsqu’on les étudie dans le détail, les résultats de cette réunion sont modestes malgré les efforts de l’Élysée.
Le principal danger réside dans le secteur des entreprises d’Etat qui représente plus d’un tiers du PIB chinois et dont la plupart sont de véritables droguées par le crédit facile des banques publiques.
Le drame, c’est que la feuille de paie des fonctionnaires, c’est en réalité la feuille d’impôt des Français.
M. Le Maire se trouve devant un casse-tête pour lequel il n’y a que des mauvaises solutions.
On vient d’apprendre que le déficit commercial en France pour les 11 premiers mois de 2017 s’élève à 60 milliards d’euros.
La meilleure réponse est sans doute d’ordre éthique et elle devrait être collective, dans nos modes de consommation.
Ces annonces semblent plus une posture destinée à séduire l’électorat LR qu’à un réel durcissement.
Le Droit est la traduction pratique d’options morales dont l’origine est l’expérience accumulée par l’espèce humaine.
Ne nous leurrons pas : nos résultats économiques sont tout bonnement pitoyables.
Les clignotants sont au rouge avec une croissance économique artificielle, instable et fragile.
Point n’était besoin d’asséner pendant des mois aux Français que leur pouvoir d’achat augmenterait, puisqu’il n’en sera rien.
M. Macron souhaite booster le pouvoir d’achat des travailleurs en redistribuant des sommes qu’il a préalablement volées aux retraités.
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI), qui remplace l’ISF et taxe uniquement les biens immobiliers, a été adopté la semaine dernière.
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
Le circuit économique français ne tient que parce que la dette publique se refinance à très bas coût. Or, cette situation est fragile.
Les intérêts sont trop importants, sans jeu de mots.
Il y a, dans notre beau pays, un « réseau Recherches et Solidarités » qui se charge d’examiner nos comportements et d’éplucher nos comptes.
Une politique nataliste est donc sensée d’un point de vue économique et chaque euro donné aux familles est utilisé à 100 %.
La dette mondiale atteint 135.000 milliards de dollars (soit deux années de PIB mondial), selon le FMI, qui tire le signal d’alarme.
Ne seraient exonérés que les sans genre et autres nosexuels. À la condition qu’ils soient abstinents en bagatelle bien sûr.
La monnaie pleine n’aura plus besoin de couverture, car il n’y aura plus qu’une sorte de monnaie : celle de la banque centrale.
Dans l’écoulement historique, un jour les choses anciennes cessent ; un autre jour, des choses nouvelles surgissent.
Préparez-vous, braves gens, ça va assurément nous retomber dessus…
Sauf cataclysme économique ou politique (que je ne souhaite évidemment pas), le prélèvement à la source se fera en 2019.
« C’est le grand retour de la taxe aux frontières », s’alarme un fiscaliste français.
Le Président Macron croit-il que l’oligarchie financière va entendre son appel à l’harmonie, à la responsabilité, à la générosité envers l’humanité ?
Le client doit pouvoir croire que payer est une option, que l’achat est un hobby comme un autre, qui ne mérite ni réflexion ni contrainte.
Le déficit structurel de la balance commerciale États-Unis/Chine perdure depuis des dizaines d’années avec des chiffres gigantesques.
Finalement, lorsqu’on les étudie dans le détail, les résultats de cette réunion sont modestes malgré les efforts de l’Élysée.
Le principal danger réside dans le secteur des entreprises d’Etat qui représente plus d’un tiers du PIB chinois et dont la plupart sont de véritables droguées par le crédit facile des banques publiques.
Le drame, c’est que la feuille de paie des fonctionnaires, c’est en réalité la feuille d’impôt des Français.
M. Le Maire se trouve devant un casse-tête pour lequel il n’y a que des mauvaises solutions.
On vient d’apprendre que le déficit commercial en France pour les 11 premiers mois de 2017 s’élève à 60 milliards d’euros.
La meilleure réponse est sans doute d’ordre éthique et elle devrait être collective, dans nos modes de consommation.
Ces annonces semblent plus une posture destinée à séduire l’électorat LR qu’à un réel durcissement.
Le Droit est la traduction pratique d’options morales dont l’origine est l’expérience accumulée par l’espèce humaine.
Ne nous leurrons pas : nos résultats économiques sont tout bonnement pitoyables.
Les clignotants sont au rouge avec une croissance économique artificielle, instable et fragile.
Point n’était besoin d’asséner pendant des mois aux Français que leur pouvoir d’achat augmenterait, puisqu’il n’en sera rien.
M. Macron souhaite booster le pouvoir d’achat des travailleurs en redistribuant des sommes qu’il a préalablement volées aux retraités.
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI), qui remplace l’ISF et taxe uniquement les biens immobiliers, a été adopté la semaine dernière.
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
Le circuit économique français ne tient que parce que la dette publique se refinance à très bas coût. Or, cette situation est fragile.
Les intérêts sont trop importants, sans jeu de mots.
Il y a, dans notre beau pays, un « réseau Recherches et Solidarités » qui se charge d’examiner nos comportements et d’éplucher nos comptes.
Une politique nataliste est donc sensée d’un point de vue économique et chaque euro donné aux familles est utilisé à 100 %.
La dette mondiale atteint 135.000 milliards de dollars (soit deux années de PIB mondial), selon le FMI, qui tire le signal d’alarme.
Ne seraient exonérés que les sans genre et autres nosexuels. À la condition qu’ils soient abstinents en bagatelle bien sûr.
La monnaie pleine n’aura plus besoin de couverture, car il n’y aura plus qu’une sorte de monnaie : celle de la banque centrale.
Dans l’écoulement historique, un jour les choses anciennes cessent ; un autre jour, des choses nouvelles surgissent.
Préparez-vous, braves gens, ça va assurément nous retomber dessus…
Sauf cataclysme économique ou politique (que je ne souhaite évidemment pas), le prélèvement à la source se fera en 2019.
« C’est le grand retour de la taxe aux frontières », s’alarme un fiscaliste français.