Economie
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
Spécialiste de la fraude sociale, le magistrat Charles Prats analyse pour Boulevard Voltaire les prestations à près de 6.000 euros reçues par une famille pour le seul mois d’août.
Le nœud du débat, l’éléphant dans le magasin de porcelaine, le grand tabou est bien le coût de cette immigration qui, de surcroît, ne veut plus s’intégrer à la France.
Le gouvernement planche sur une réforme des conditions d’obtention du revenu de solidarité active (RSA). Des tests doivent débuter en janvier 2023, rapporte CNews. Les
Si les Suisses ne font pas partie de l’Union européenne, je crains fort que leur politique ne fasse école et que fleurissent partout les brigades de la répression du vice et de la promotion de la vertu énergétique.
Il ne manque donc pas seulement de la moutarde dans les rayons de chez Carrefour. Il manque aussi du gaz et de l’électricité pour faire fonctionner nos fleurons.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
La lancinante question revient au galop : qui paiera la facture ? Comme ce fut le cas pour le Covid, il est fort possible que le contribuable en ait pour son argent…
Voici qu’aujourd’hui la Californie, Mecque de la high-tech, vient de voter l’interdiction des véhicules thermiques en 2035, mais aussi… celle du rechargement des véhicules électriques entre 16 h et 21 h.
La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.
Avec la flambée des prix énergétiques, la viabilité de certaines PME s’annonce en jeu. Comment vont-elles passer l’hiver, entre coupures de courant et hausse des prix ?
On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !
Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Retour sur les 10 ans qui ont tué l’industrie nucléaire.
Il est temps que la ménagère et le ménager lâchent leur smartphone et réapprennent à lire les étiquettes.
Les Français devront se serrer la ceinture pour que les Allemands, les Italiens ou autres Tchèques puissent éviter un hiver cataclysmique.
Au début du premier mandat d’Emmanuel Macron, il fallait « penser printemps ». Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui nous disent, avec la même assurance, qu’il va falloir penser, non pas hiver, mais à l’hiver qui vient…
Le fondateur d’ACDEFI est un homme qui ne cesse d’alerter sur nos dérives.
Qu’on y songe, la Russie, l’Iran et le Qatar représentent, ensemble, la bagatelle de 60 % des réserves mondiales de gaz…
Beaucoup pensent pourtant que la visite du Président est principalement motivée par le gaz algérien, substitut possible au gaz russe aujourd’hui très courtisé. Est-ce vraiment raisonnable ?
« La Grèce d’aujourd’hui est une Grèce différente », affirme encore le Premier ministre grec. Oui, mais dans quel état et à quel prix !
Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.
Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.
Ce qui fait la fortune du secteur minier, « l’un des plus pollueurs au monde », transforme la vie des populations des régions productrices en véritable enfer.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Une accélération du prix des services, de l’alimentation et des produits manufacturés se confirme.
Les mesures incohérentes du gouvernement vont leur coûter cher.
Vladimir Poutine, de son côté, a su très vite repérer le potentiel de la situation afin d’en tirer profit. Les hydrocarbures constituant la zone de vulnérabilité des Européens, il a alors, en bon judoka, utilisé la force de ses adversaires pour la retourner contre eux.
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
Spécialiste de la fraude sociale, le magistrat Charles Prats analyse pour Boulevard Voltaire les prestations à près de 6.000 euros reçues par une famille pour le seul mois d’août.
Le nœud du débat, l’éléphant dans le magasin de porcelaine, le grand tabou est bien le coût de cette immigration qui, de surcroît, ne veut plus s’intégrer à la France.
Le gouvernement planche sur une réforme des conditions d’obtention du revenu de solidarité active (RSA). Des tests doivent débuter en janvier 2023, rapporte CNews. Les
Si les Suisses ne font pas partie de l’Union européenne, je crains fort que leur politique ne fasse école et que fleurissent partout les brigades de la répression du vice et de la promotion de la vertu énergétique.
Il ne manque donc pas seulement de la moutarde dans les rayons de chez Carrefour. Il manque aussi du gaz et de l’électricité pour faire fonctionner nos fleurons.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
La lancinante question revient au galop : qui paiera la facture ? Comme ce fut le cas pour le Covid, il est fort possible que le contribuable en ait pour son argent…
Voici qu’aujourd’hui la Californie, Mecque de la high-tech, vient de voter l’interdiction des véhicules thermiques en 2035, mais aussi… celle du rechargement des véhicules électriques entre 16 h et 21 h.
La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.
Avec la flambée des prix énergétiques, la viabilité de certaines PME s’annonce en jeu. Comment vont-elles passer l’hiver, entre coupures de courant et hausse des prix ?
On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !
Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Retour sur les 10 ans qui ont tué l’industrie nucléaire.
Il est temps que la ménagère et le ménager lâchent leur smartphone et réapprennent à lire les étiquettes.
Les Français devront se serrer la ceinture pour que les Allemands, les Italiens ou autres Tchèques puissent éviter un hiver cataclysmique.
Au début du premier mandat d’Emmanuel Macron, il fallait « penser printemps ». Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui nous disent, avec la même assurance, qu’il va falloir penser, non pas hiver, mais à l’hiver qui vient…
Le fondateur d’ACDEFI est un homme qui ne cesse d’alerter sur nos dérives.
Qu’on y songe, la Russie, l’Iran et le Qatar représentent, ensemble, la bagatelle de 60 % des réserves mondiales de gaz…
Beaucoup pensent pourtant que la visite du Président est principalement motivée par le gaz algérien, substitut possible au gaz russe aujourd’hui très courtisé. Est-ce vraiment raisonnable ?
« La Grèce d’aujourd’hui est une Grèce différente », affirme encore le Premier ministre grec. Oui, mais dans quel état et à quel prix !
Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.
Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.
Ce qui fait la fortune du secteur minier, « l’un des plus pollueurs au monde », transforme la vie des populations des régions productrices en véritable enfer.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Une accélération du prix des services, de l’alimentation et des produits manufacturés se confirme.
Les mesures incohérentes du gouvernement vont leur coûter cher.
Vladimir Poutine, de son côté, a su très vite repérer le potentiel de la situation afin d’en tirer profit. Les hydrocarbures constituant la zone de vulnérabilité des Européens, il a alors, en bon judoka, utilisé la force de ses adversaires pour la retourner contre eux.