EDITORIAL
« Les intervenants comptent parmi les pires racistes et négationnistes connus », attaque Mélenchon. Vraiment ?
En France, Jean-Michel Aphatie ne risque pas dix ans de prison, comme Boualem Sansal en Algérie.
Depuis que Sophie Primas a évoqué un « racisme » vis-à-vis de sa fille, la gauche délire, avec la complicité des médias.
On a envie de pleurer en constatant le niveau de caniveau de certains slogans entendus lors de cette manif.
À condition que cette « opportunité monumentale » ne se transforme pas en grande braderie du patrimoine national.
Pour lancer sa nouvelle émission, CNews a misé sur Philippe de Villiers, devenu un phénomène d’audience.
Mélenchon fera la démonstration de sa force ou celle de sa marginalité.
C’était il y a cinq ans, mais ils ne s’en remettent pas.
Le vieil acteur a fait ce qu’il sait faire à merveille : du Mélenchon.
Avec lui, l’électeur centriste malmené en ce moment chaparde aux extrêmes les frissons de la radicalisation.
La commission d’expulsion de l’Hérault autorise le départ de l’influenceur algérien Doualemn. Mais on n’y est pas…
On reproche à Macron de surfer sur les peurs pour revenir au centre du jeu. Visiblement, il n’est pas le seul.
La cour martiale, d’une efficacité redoutable, a déjà prononcé ses premières condamnations.
Plus de six Français sur dix sont favorables au « rétablissement d’une forme de service militaire obligatoire ».
C8 s’est éteinte fin février mais, depuis le début de la semaine, Hanouna fait de la résistance. Avec succès.
Ce 5 mars au soir, Emmanuel Macron a subtilement tenté de tirer avantage d’une séquence douloureuse.
Ils sont, en toutes circonstances, le baromètre de la bien-pensance et de la bienséance.
En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats.
Le sentiment que nous n’avons jamais été aussi près de la paix que de la guerre…
Pendant que Macron était dans le Bureau ovale, à l’ONU, Américains et Russes se sont entendus par-dessus les Européens.
Entre nous, ce fameux bras de fer qu’on nous promet avec l’Algérie n’est pas gagné !
Allô, l’Arcom ?
Les positions de Macron et de l’UE, de plus en plus surréalistes, balayées par la pax americana imposée par les USA.
Une fois de plus, doit-on s’étonner de ce vocabulaire choisi ?
Hanouna a sa petite idée…
Les propos de Vance à Munich sur la liberté d’expression avaient provoqué les cris d’orfraie du « système ».
Au moment de grimper les marches de l’avion, il confie sa fille à son épouse et se dirige soudain vers les gendarmes.
Mediapart a consacré, ce 17 février au soir, pas moins de 8 articles à l’affaire. Le site d’Edwy Plenel feuilletonne.
« Les intervenants comptent parmi les pires racistes et négationnistes connus », attaque Mélenchon. Vraiment ?
En France, Jean-Michel Aphatie ne risque pas dix ans de prison, comme Boualem Sansal en Algérie.
Depuis que Sophie Primas a évoqué un « racisme » vis-à-vis de sa fille, la gauche délire, avec la complicité des médias.
On a envie de pleurer en constatant le niveau de caniveau de certains slogans entendus lors de cette manif.
À condition que cette « opportunité monumentale » ne se transforme pas en grande braderie du patrimoine national.
Pour lancer sa nouvelle émission, CNews a misé sur Philippe de Villiers, devenu un phénomène d’audience.
Mélenchon fera la démonstration de sa force ou celle de sa marginalité.
C’était il y a cinq ans, mais ils ne s’en remettent pas.
Le vieil acteur a fait ce qu’il sait faire à merveille : du Mélenchon.
Avec lui, l’électeur centriste malmené en ce moment chaparde aux extrêmes les frissons de la radicalisation.
La commission d’expulsion de l’Hérault autorise le départ de l’influenceur algérien Doualemn. Mais on n’y est pas…
On reproche à Macron de surfer sur les peurs pour revenir au centre du jeu. Visiblement, il n’est pas le seul.
La cour martiale, d’une efficacité redoutable, a déjà prononcé ses premières condamnations.
Plus de six Français sur dix sont favorables au « rétablissement d’une forme de service militaire obligatoire ».
C8 s’est éteinte fin février mais, depuis le début de la semaine, Hanouna fait de la résistance. Avec succès.
Ce 5 mars au soir, Emmanuel Macron a subtilement tenté de tirer avantage d’une séquence douloureuse.
Ils sont, en toutes circonstances, le baromètre de la bien-pensance et de la bienséance.
En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats.
Le sentiment que nous n’avons jamais été aussi près de la paix que de la guerre…
Pendant que Macron était dans le Bureau ovale, à l’ONU, Américains et Russes se sont entendus par-dessus les Européens.
Entre nous, ce fameux bras de fer qu’on nous promet avec l’Algérie n’est pas gagné !
Allô, l’Arcom ?
Les positions de Macron et de l’UE, de plus en plus surréalistes, balayées par la pax americana imposée par les USA.
Une fois de plus, doit-on s’étonner de ce vocabulaire choisi ?
Hanouna a sa petite idée…
Les propos de Vance à Munich sur la liberté d’expression avaient provoqué les cris d’orfraie du « système ».
Au moment de grimper les marches de l’avion, il confie sa fille à son épouse et se dirige soudain vers les gendarmes.
Mediapart a consacré, ce 17 février au soir, pas moins de 8 articles à l’affaire. Le site d’Edwy Plenel feuilletonne.
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