EDITORIAL
Aurore Bergé a-t-elle bien pesé chaque mot de sa très guerrière intervention ?
Déjà, en septembre dernier, la menace avait été brandie.
Que tous ceux qui vendent la France pour trente deniers et les Ponce Pilate qui s’en lavent les mains comptent sur nous pour leur sonner les cloches et leur chanter la messe en breton.
Babette s’en va-t-en guerre avec la morgue que procurent quarante ans de technocratie.
L’affaire confirme ce que tous pressentent : la collusion entre le pouvoir politique et les grands médias.
Le président du parti et ancien candidat à l’élection présidentielle Éric Zemmour était présent, ce matin, gare du Nord.
Marine Tondelier ne se limite pas à stigmatiser les malfaisants à gros portefeuille, elle trouve aussi un moment pour sauver le monde, avec des accents de prédicateur new age.
Les médias qui, par idéologie, paresse, mépris, ont « omis » de couvrir La Marche pour la vie ont commis une faute.
Que ce cher franc-maçon, qui prétend pourtant que « c’est toujours de la confrontation des idées que naît la lumière ! », n’hésite pas à passer le Rubicon, à rejoindre nos rédactions à réaction, plus stimulantes pour ses neurones et ses papiers que la médiocrité de ses arguments éculés…
Ce 17 janvier, Libération enfile la robe d’avocat et vole au secours de notre cher monstre audiovisuel étatique. Il faut dire que l’alerte est au rouge vif.
Le tribunal correctionnel de Paris se penche, ce mardi 17 janvier et jusqu’au 2 février, sur les complots filandreux de treize militants d’extrême droite.
La France tire-t-elle aujourd’hui les leçons du fiasco de sa voisine ? Pensez-vous !
Emmanuel Macron, qui est au pouvoir depuis six ans, n’a pas apporté beaucoup de réponses à ces questions tellement légitimes pour les Français.
La retraite par répartition n’est rien d’autre que le commandement d’honorer son père et sa mère, élargi collectivement à l’ensemble de la société.
Cette phrase, qui se voulait banale, montre à quel point le modèle familial ne signifie plus rien en France, en 2022.
La cancel culture, c’est aussi cela : entre faire vaciller une statue, une église, à grands coups de butoir et la laisser à l’abandon jusqu’à ce qu’elle s’effondre, il n’y a qu’une différence d’horloge.
Le dossier des retraites, flou, variable, plus flexible qu’une canne de bambou au printemps, illustre à nouveau la méthode du Président.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Jeudi, l’Occident des lettres, des moines, des vastes bibliothèques antiques et feutrées, du savoir-vivre et du long dépôt civilisationnel hérité des siècles, l’Occident qui fascina si longtemps le monde s’effacera un peu avec lui.
Nous autres ne crachons pas sur les tombes, et autrefois nos aïeuls se découvraient au passage d’un corbillard…
Empêtrés jusqu’aux oreilles dans l’affaire McKinsey, pour le moins légers à Strasbourg, nos macronistes trouvent encore et toujours les moyens de donner des leçons et de dégager les importuns.
À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.
Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.
Olivier Véran a affirmé que tout était anticipé : le préfet de paris, sous l’égide du ministre de l’Intérieur, est « parfaitement à la tâche ».
Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.
Le roi est nu. Il est donc grand temps qu’il se confectionne un bel habit. Va pour celui de Super Résistant !
Aurore Bergé a-t-elle bien pesé chaque mot de sa très guerrière intervention ?
Déjà, en septembre dernier, la menace avait été brandie.
Que tous ceux qui vendent la France pour trente deniers et les Ponce Pilate qui s’en lavent les mains comptent sur nous pour leur sonner les cloches et leur chanter la messe en breton.
Babette s’en va-t-en guerre avec la morgue que procurent quarante ans de technocratie.
L’affaire confirme ce que tous pressentent : la collusion entre le pouvoir politique et les grands médias.
Le président du parti et ancien candidat à l’élection présidentielle Éric Zemmour était présent, ce matin, gare du Nord.
Marine Tondelier ne se limite pas à stigmatiser les malfaisants à gros portefeuille, elle trouve aussi un moment pour sauver le monde, avec des accents de prédicateur new age.
Les médias qui, par idéologie, paresse, mépris, ont « omis » de couvrir La Marche pour la vie ont commis une faute.
Que ce cher franc-maçon, qui prétend pourtant que « c’est toujours de la confrontation des idées que naît la lumière ! », n’hésite pas à passer le Rubicon, à rejoindre nos rédactions à réaction, plus stimulantes pour ses neurones et ses papiers que la médiocrité de ses arguments éculés…
Ce 17 janvier, Libération enfile la robe d’avocat et vole au secours de notre cher monstre audiovisuel étatique. Il faut dire que l’alerte est au rouge vif.
Le tribunal correctionnel de Paris se penche, ce mardi 17 janvier et jusqu’au 2 février, sur les complots filandreux de treize militants d’extrême droite.
La France tire-t-elle aujourd’hui les leçons du fiasco de sa voisine ? Pensez-vous !
Emmanuel Macron, qui est au pouvoir depuis six ans, n’a pas apporté beaucoup de réponses à ces questions tellement légitimes pour les Français.
La retraite par répartition n’est rien d’autre que le commandement d’honorer son père et sa mère, élargi collectivement à l’ensemble de la société.
Cette phrase, qui se voulait banale, montre à quel point le modèle familial ne signifie plus rien en France, en 2022.
La cancel culture, c’est aussi cela : entre faire vaciller une statue, une église, à grands coups de butoir et la laisser à l’abandon jusqu’à ce qu’elle s’effondre, il n’y a qu’une différence d’horloge.
Le dossier des retraites, flou, variable, plus flexible qu’une canne de bambou au printemps, illustre à nouveau la méthode du Président.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Jeudi, l’Occident des lettres, des moines, des vastes bibliothèques antiques et feutrées, du savoir-vivre et du long dépôt civilisationnel hérité des siècles, l’Occident qui fascina si longtemps le monde s’effacera un peu avec lui.
Nous autres ne crachons pas sur les tombes, et autrefois nos aïeuls se découvraient au passage d’un corbillard…
Empêtrés jusqu’aux oreilles dans l’affaire McKinsey, pour le moins légers à Strasbourg, nos macronistes trouvent encore et toujours les moyens de donner des leçons et de dégager les importuns.
À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.
Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.
Olivier Véran a affirmé que tout était anticipé : le préfet de paris, sous l’égide du ministre de l’Intérieur, est « parfaitement à la tâche ».
Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.
Le roi est nu. Il est donc grand temps qu’il se confectionne un bel habit. Va pour celui de Super Résistant !
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