EDITORIAL
Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
À vrai dire, elle était déjà à terre… Mais ce n’est pas tant la démission de Mme Cayeux en elle-même qui pose question, mais bel et bien le contexte. Pourquoi elle et pas Dupond-Moretti ? Pourquoi pas Alexis Kohler ?
Faire la leçon à Poutine sur le respect de la démocratie et recevoir, ce mardi, en grande pompe et tout miel le très démocrate président du Kazakhstan Tokaïev à l’Élysée après un séjour entre amis au Qatar : la souplesse du macronisme suscite l’admiration.
Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.
« Leur arme, ce sont les métiers en tension, dont la liste sera périodiquement actualisée, décrypte la députée. La gauche, l’extrême gauche et le patronat n’auront de cesse d’élargir cette liste. »
Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.
Ce sera un « Conseil des ministres inversé », peut-on lire dans La Croix : « Ce sont eux qui présenteront des projets de réforme à une brochette de ministres. » C’est follement drôle, qu’est-ce qu’on s’amuse.
Danielle Simonnet aurait pu demander des comptes à l’entreprise et au ministre du Travail pour mettre un terme à ces situations administratives d’embauches abusives qui n’auraient pas lieu d’être dans un État de droit.
En cinq ans, il y avait quand même moyen d’anticiper ? Ce n’est plus de bonnet phrygien qu’il est question, mais de bonnet d’âne.
Le premier âge et le grand âge, les plus fragiles, sont menacés.
Mais pourquoi reproche-t-on aux Occidentaux d’avoir encore trop d’enfants quand ils en ont bien moins que les pays d’origine de nos migrants ?
On serait curieux de découvrir le cheminement intellectuel qui a conduit un chef d’établissement à autoriser une telle intervention.
Qu’aurait-on dit d’un Jean Castex organisant ainsi une réception en non-mixité – en woke, dans le texte – réservée aux hommes ?
Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.
Cet acharnement destructeur sur des enfants innocents, sur une activité familiale qui les fait vivre, « fracasse » définitivement le discours de gauche.
Volontaire ou inspirée par l’Europe (ou les deux), la méthode macronienne est toujours la même. Elle prend la forme d’une valse à trois temps : d’abord, un pas en avant…
Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème c’est qu’ils n’ont pas été expulsés.
La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.
Dans le monde liquide d’Emmanuel Macron, le propriétaire, d’un pavillon de banlieue comme d’un château, a du souci à se faire.
3.501 personnes renvoyées chez elles au premier semestre 2021, soit 5,6 % des OQTF ? Un fiasco, vous me direz. Pas du tout…
Le 19 octobre, SOS Racisme, qui n’a certes plus l’influence d’antan, publie un communiqué sur le meurtre de Lola… une semaine après les faits. Le temps d’une intense réflexion préalable à l’indignation.
Ce n’est qu’une image. Un instant infime de la vie politique française contemporaine. Une poignée de secondes à l’antenne de la petite chaîne qui retransmet les débats de l’Assemblée nationale, La Chaîne parlementaire.
Il avait tout pour devenir une vedette de la gauche anglaise… et française. Ça ne sera pas le cas ! Rishi Sunak est assuré de devenir l’un des Premiers ministres les plus conservateurs et libéraux de Sa Majesté.
Il faut reconnaître que le Président Macron a de quoi être envieux. Alors que la popularité de l’hôte de l’Élysée s’abîme, que son pouvoir vacille à l’Assemblée, le président chinois vient encore de renforcer son autorité, ce dimanche 23 octobre.
Il n’y a pas de raison qu’on refuse à ces femmes ce que l’on accorde à 200.000 étrangers par an : l’accueil inconditionnel et sans vérification.
Le gouvernement et l’extrême gauche donnent donc des leçons de distance… avec un incroyable culot.
Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
À vrai dire, elle était déjà à terre… Mais ce n’est pas tant la démission de Mme Cayeux en elle-même qui pose question, mais bel et bien le contexte. Pourquoi elle et pas Dupond-Moretti ? Pourquoi pas Alexis Kohler ?
Faire la leçon à Poutine sur le respect de la démocratie et recevoir, ce mardi, en grande pompe et tout miel le très démocrate président du Kazakhstan Tokaïev à l’Élysée après un séjour entre amis au Qatar : la souplesse du macronisme suscite l’admiration.
Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.
« Leur arme, ce sont les métiers en tension, dont la liste sera périodiquement actualisée, décrypte la députée. La gauche, l’extrême gauche et le patronat n’auront de cesse d’élargir cette liste. »
Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.
Ce sera un « Conseil des ministres inversé », peut-on lire dans La Croix : « Ce sont eux qui présenteront des projets de réforme à une brochette de ministres. » C’est follement drôle, qu’est-ce qu’on s’amuse.
Danielle Simonnet aurait pu demander des comptes à l’entreprise et au ministre du Travail pour mettre un terme à ces situations administratives d’embauches abusives qui n’auraient pas lieu d’être dans un État de droit.
En cinq ans, il y avait quand même moyen d’anticiper ? Ce n’est plus de bonnet phrygien qu’il est question, mais de bonnet d’âne.
Le premier âge et le grand âge, les plus fragiles, sont menacés.
Mais pourquoi reproche-t-on aux Occidentaux d’avoir encore trop d’enfants quand ils en ont bien moins que les pays d’origine de nos migrants ?
On serait curieux de découvrir le cheminement intellectuel qui a conduit un chef d’établissement à autoriser une telle intervention.
Qu’aurait-on dit d’un Jean Castex organisant ainsi une réception en non-mixité – en woke, dans le texte – réservée aux hommes ?
Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.
Cet acharnement destructeur sur des enfants innocents, sur une activité familiale qui les fait vivre, « fracasse » définitivement le discours de gauche.
Volontaire ou inspirée par l’Europe (ou les deux), la méthode macronienne est toujours la même. Elle prend la forme d’une valse à trois temps : d’abord, un pas en avant…
Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème c’est qu’ils n’ont pas été expulsés.
La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.
Dans le monde liquide d’Emmanuel Macron, le propriétaire, d’un pavillon de banlieue comme d’un château, a du souci à se faire.
3.501 personnes renvoyées chez elles au premier semestre 2021, soit 5,6 % des OQTF ? Un fiasco, vous me direz. Pas du tout…
Le 19 octobre, SOS Racisme, qui n’a certes plus l’influence d’antan, publie un communiqué sur le meurtre de Lola… une semaine après les faits. Le temps d’une intense réflexion préalable à l’indignation.
Ce n’est qu’une image. Un instant infime de la vie politique française contemporaine. Une poignée de secondes à l’antenne de la petite chaîne qui retransmet les débats de l’Assemblée nationale, La Chaîne parlementaire.
Il avait tout pour devenir une vedette de la gauche anglaise… et française. Ça ne sera pas le cas ! Rishi Sunak est assuré de devenir l’un des Premiers ministres les plus conservateurs et libéraux de Sa Majesté.
Il faut reconnaître que le Président Macron a de quoi être envieux. Alors que la popularité de l’hôte de l’Élysée s’abîme, que son pouvoir vacille à l’Assemblée, le président chinois vient encore de renforcer son autorité, ce dimanche 23 octobre.
Il n’y a pas de raison qu’on refuse à ces femmes ce que l’on accorde à 200.000 étrangers par an : l’accueil inconditionnel et sans vérification.
Le gouvernement et l’extrême gauche donnent donc des leçons de distance… avec un incroyable culot.
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