EDITORIAL

La France a gagné. Deux buts à zéro.

À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.

Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.

Olivier Véran a affirmé que tout était anticipé : le préfet de paris, sous l’égide du ministre de l’Intérieur, est « parfaitement à la tâche ».

Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.

Le roi est nu. Il est donc grand temps qu’il se confectionne un bel habit. Va pour celui de Super Résistant !

Q’un ensemble de juges soit politiquement marqué est en soi incompréhensible. Qu’ils revendiquent sans complexe leur partialité l’est encore plus.

Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…

La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.

À vrai dire, elle était déjà à terre… Mais ce n’est pas tant la démission de Mme Cayeux en elle-même qui pose question, mais bel et bien le contexte. Pourquoi elle et pas Dupond-Moretti ? Pourquoi pas Alexis Kohler ?

Dommage, il ne fait pas le repassage.

Faire la leçon à Poutine sur le respect de la démocratie et recevoir, ce mardi, en grande pompe et tout miel le très démocrate président du Kazakhstan Tokaïev à l’Élysée après un séjour entre amis au Qatar : la souplesse du macronisme suscite l’admiration.

Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.

« Leur arme, ce sont les métiers en tension, dont la liste sera périodiquement actualisée, décrypte la députée. La gauche, l’extrême gauche et le patronat n’auront de cesse d’élargir cette liste. »

Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.

Ce sera un « Conseil des ministres inversé », peut-on lire dans La Croix : « Ce sont eux qui présenteront des projets de réforme à une brochette de ministres. » C’est follement drôle, qu’est-ce qu’on s’amuse.

Danielle Simonnet aurait pu demander des comptes à l’entreprise et au ministre du Travail pour mettre un terme à ces situations administratives d’embauches abusives qui n’auraient pas lieu d’être dans un État de droit.

En cinq ans, il y avait quand même moyen d’anticiper ? Ce n’est plus de bonnet phrygien qu’il est question, mais de bonnet d’âne.

Le premier âge et le grand âge, les plus fragiles, sont menacés.

Mais pourquoi reproche-t-on aux Occidentaux d’avoir encore trop d’enfants quand ils en ont bien moins que les pays d’origine de nos migrants ?

On serait curieux de découvrir le cheminement intellectuel qui a conduit un chef d’établissement à autoriser une telle intervention.

Qu’aurait-on dit d’un Jean Castex organisant ainsi une réception en non-mixité – en woke, dans le texte – réservée aux hommes ?

Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.

Cet acharnement destructeur sur des enfants innocents, sur une activité familiale qui les fait vivre, « fracasse » définitivement le discours de gauche.

Volontaire ou inspirée par l’Europe (ou les deux), la méthode macronienne est toujours la même. Elle prend la forme d’une valse à trois temps : d’abord, un pas en avant…

Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème c’est qu’ils n’ont pas été expulsés.

La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.

Dans le monde liquide d’Emmanuel Macron, le propriétaire, d’un pavillon de banlieue comme d’un château, a du souci à se faire.

La France a gagné. Deux buts à zéro.

À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.

Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.

Olivier Véran a affirmé que tout était anticipé : le préfet de paris, sous l’égide du ministre de l’Intérieur, est « parfaitement à la tâche ».

Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.

Le roi est nu. Il est donc grand temps qu’il se confectionne un bel habit. Va pour celui de Super Résistant !

Q’un ensemble de juges soit politiquement marqué est en soi incompréhensible. Qu’ils revendiquent sans complexe leur partialité l’est encore plus.

Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…

La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.

À vrai dire, elle était déjà à terre… Mais ce n’est pas tant la démission de Mme Cayeux en elle-même qui pose question, mais bel et bien le contexte. Pourquoi elle et pas Dupond-Moretti ? Pourquoi pas Alexis Kohler ?

Dommage, il ne fait pas le repassage.

Faire la leçon à Poutine sur le respect de la démocratie et recevoir, ce mardi, en grande pompe et tout miel le très démocrate président du Kazakhstan Tokaïev à l’Élysée après un séjour entre amis au Qatar : la souplesse du macronisme suscite l’admiration.

Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.

« Leur arme, ce sont les métiers en tension, dont la liste sera périodiquement actualisée, décrypte la députée. La gauche, l’extrême gauche et le patronat n’auront de cesse d’élargir cette liste. »

Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.

Ce sera un « Conseil des ministres inversé », peut-on lire dans La Croix : « Ce sont eux qui présenteront des projets de réforme à une brochette de ministres. » C’est follement drôle, qu’est-ce qu’on s’amuse.

Danielle Simonnet aurait pu demander des comptes à l’entreprise et au ministre du Travail pour mettre un terme à ces situations administratives d’embauches abusives qui n’auraient pas lieu d’être dans un État de droit.

En cinq ans, il y avait quand même moyen d’anticiper ? Ce n’est plus de bonnet phrygien qu’il est question, mais de bonnet d’âne.

Le premier âge et le grand âge, les plus fragiles, sont menacés.

Mais pourquoi reproche-t-on aux Occidentaux d’avoir encore trop d’enfants quand ils en ont bien moins que les pays d’origine de nos migrants ?

On serait curieux de découvrir le cheminement intellectuel qui a conduit un chef d’établissement à autoriser une telle intervention.

Qu’aurait-on dit d’un Jean Castex organisant ainsi une réception en non-mixité – en woke, dans le texte – réservée aux hommes ?

Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.

Cet acharnement destructeur sur des enfants innocents, sur une activité familiale qui les fait vivre, « fracasse » définitivement le discours de gauche.

Volontaire ou inspirée par l’Europe (ou les deux), la méthode macronienne est toujours la même. Elle prend la forme d’une valse à trois temps : d’abord, un pas en avant…

Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème c’est qu’ils n’ont pas été expulsés.

La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.

Dans le monde liquide d’Emmanuel Macron, le propriétaire, d’un pavillon de banlieue comme d’un château, a du souci à se faire.
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