Culture

La fin du récit voudrait nous faire croire que le gentil Paul a encore voix au chapitre et plaît toujours aux femmes…

La survivance du dictionnaire est à elle seule une curiosité.

La Galerie des Gobelins reconstitue le dernier sacre, celui de Charles X : c’était il y a deux cents ans.

Ted Kotcheff n’avait peut-être réalisé qu’un seul film majeur. Peu importe, c’était le bon.

À défaut de nous faire rire aux éclats, Doux Jésus parvient au moins à nous tirer quelques sourires.

Et si, à Pâques, pour soigner votre âme et votre foie, vous offriez une douceur spirituelle plutôt que du chocolat ?

À l’origine, Robert Plant, un chanteur montant haut dans les aigus, et John Bonham, un batteur jouant très fort.

Un livre vérité à lire absolument pour comprendre les vrais enjeux sécuritaires à venir.

Bien mené, mais naïf dans ses discours, le film est très artificiel et démonstratif.

Pour résumer, sans Kraftwerk, il n’y aurait peut-être jamais eu de David Guetta…

Un grand patron de gauche fustige le rapport de la France au travail, chiffres en main. À lire à gauche. Et à droite !

L’artiste est sorti de sa retraite pour offrir une chanson, sortie ce 10 avril, en hommage aux soldats blessés.

Comment ne pas participer à l’enrichissement de Vincent Bolloré ? La question taraude certains libraires.

L’excuse de l’éco-anxiété ne fonctionne pas, aux États-Unis, et c’est tant mieux pour les œuvres d’art.

Un documentaire en faveur d’Averroès, diffusé par une plate-forme islamique, part en tournée dans plusieurs villes.

Si La Fontaine revenait dans notre société, il dirait sans doute « selon que vous serez de gauche ou de droite »…

Le charme fou d’un vieil album photo chargé de souvenirs dont on cherche encore l’écho dans le présent.

Une œuvre de salubrité publique, puisque nous prévenant à la fois de la démesure et de la jobardise snobinardes.

Un humour corrosif, tapant de plus en plus fort, au fur et à mesure que la société devient de plus en plus inepte.

Le fondateur du Puy du Fou nous confie son émotion, suite à cette décision votée par le conseil municipal le 31 mars.

Il se passe quelque chose. Comme si une partie du public, longtemps sevré, découvrait un autre univers de l’information.

Le Grand Remplacement n’a pas d’existence légale, mais dans le pays réel, il se rappelle sans cesse à nous.

Aujourd’hui, le problème n’est pas tant l’absence de cinéastes de droite que la rareté des grands cinéastes tout court.

Le film a le grand mérite d’aborder une période peu traitée au cinéma et de dépeindre un climat très particulier.

Quel lieu plus digne d’accueillir ces tapisseries que le collège des Bernardins ?

Rachida Dati, ministre de la Culture, vient d’annoncer « l’élargissement du plan fanfare » à grands coups de flonflons.

« Apologie. Autobiographie intellectuelle » : avec un tel titre, on aurait pu s’attendre à « un livre de combat »…

Décidément, cette dame est une grande dame.

La fin du récit voudrait nous faire croire que le gentil Paul a encore voix au chapitre et plaît toujours aux femmes…

La survivance du dictionnaire est à elle seule une curiosité.

La Galerie des Gobelins reconstitue le dernier sacre, celui de Charles X : c’était il y a deux cents ans.

Ted Kotcheff n’avait peut-être réalisé qu’un seul film majeur. Peu importe, c’était le bon.

À défaut de nous faire rire aux éclats, Doux Jésus parvient au moins à nous tirer quelques sourires.

Et si, à Pâques, pour soigner votre âme et votre foie, vous offriez une douceur spirituelle plutôt que du chocolat ?

À l’origine, Robert Plant, un chanteur montant haut dans les aigus, et John Bonham, un batteur jouant très fort.

Un livre vérité à lire absolument pour comprendre les vrais enjeux sécuritaires à venir.

Bien mené, mais naïf dans ses discours, le film est très artificiel et démonstratif.

Pour résumer, sans Kraftwerk, il n’y aurait peut-être jamais eu de David Guetta…

Un grand patron de gauche fustige le rapport de la France au travail, chiffres en main. À lire à gauche. Et à droite !

L’artiste est sorti de sa retraite pour offrir une chanson, sortie ce 10 avril, en hommage aux soldats blessés.

Comment ne pas participer à l’enrichissement de Vincent Bolloré ? La question taraude certains libraires.

L’excuse de l’éco-anxiété ne fonctionne pas, aux États-Unis, et c’est tant mieux pour les œuvres d’art.

Un documentaire en faveur d’Averroès, diffusé par une plate-forme islamique, part en tournée dans plusieurs villes.

Si La Fontaine revenait dans notre société, il dirait sans doute « selon que vous serez de gauche ou de droite »…

Le charme fou d’un vieil album photo chargé de souvenirs dont on cherche encore l’écho dans le présent.

Une œuvre de salubrité publique, puisque nous prévenant à la fois de la démesure et de la jobardise snobinardes.

Un humour corrosif, tapant de plus en plus fort, au fur et à mesure que la société devient de plus en plus inepte.

Le fondateur du Puy du Fou nous confie son émotion, suite à cette décision votée par le conseil municipal le 31 mars.

Il se passe quelque chose. Comme si une partie du public, longtemps sevré, découvrait un autre univers de l’information.

Le Grand Remplacement n’a pas d’existence légale, mais dans le pays réel, il se rappelle sans cesse à nous.

Aujourd’hui, le problème n’est pas tant l’absence de cinéastes de droite que la rareté des grands cinéastes tout court.

Le film a le grand mérite d’aborder une période peu traitée au cinéma et de dépeindre un climat très particulier.

Quel lieu plus digne d’accueillir ces tapisseries que le collège des Bernardins ?

Rachida Dati, ministre de la Culture, vient d’annoncer « l’élargissement du plan fanfare » à grands coups de flonflons.

« Apologie. Autobiographie intellectuelle » : avec un tel titre, on aurait pu s’attendre à « un livre de combat »…

Décidément, cette dame est une grande dame.
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