International

Il ne reste plus rien de lui.

Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.

Merkel aurait tort de se gêner alors qu’Emmanuel Macron ne cesse de plaider, notamment depuis le discours de la Sorbonne, pour une souveraineté européenne.

Dès mars 2001, nous dit-on, la CIA eut connaissance de la présence, sur le sol américain, des djihadistes qui commirent quelques mois plus tard les attentats contre les tours jumelles, et prit soin de ne jamais en avertir le FBI.

Pour comprendre ces reculs, il faut bien prendre conscience du fait que les partis Fidesz et PiS sont deux partis de type démocrate-chrétien et non nationaliste.

Elle saura sans doute dialoguer avec les deux géants, Trump et Poutine, dont dépend l’équilibre politique de la Géorgie.
…les affaires d’espionnage sont souvent plus flamboyantes sur grand écran que dans les petites arrière-cours du pouvoir.

Chacun montre ses muscles tout en bombant le torse. C’est la loi du genre.

Trump, c’est une réincarnation de Jessie James, ce bandit au grand cœur qui pillait les banques pour redonner l’argent aux pauvres.

À l’heure où l’on devient plus attentif à la préservation des espèces animales, ne devrait-on pas s’intéresser un peu plus à l’espèce humaine ?

Ces Sentinelles veillent sur leur vivre ensemble à eux, et rien qu’à eux, loin du progressisme du moment.

L’hystérie médiatique antirusse de certains médias ? Un peu comme une série télévisée à l’américaine, dont les saisons successives se suivent et se ressemblent…

Comme l’observe finement Tesson, l’Occident, aujourd’hui, a institué « une mystique du déplacement ».

Tel Aviv a longtemps vécu dans l’illusion que sa supériorité militaire et technologique lui permettait de sans cesse remettre l’affaire à plus tard.

Il était une fois un royaume écrasé par le soleil et assis sur un paysage martien.

Depuis lors, l’eau a coulé sous les ponts de la Save et de la Seine… Belgrade, décorée de la Légion d’honneur, fut bombardée par la France en 1999.

Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.

Il restera, à tout jamais marqué d’une encre indélébile, qu’à l’occasion de la célébration du centenaire de l’armistice de 1918 à Paris, la Serbie, avec son cortège de 1.200.000 morts, n’avait pas sa place à la tribune où ses agresseurs d’antan avaient pris la leur.

Une armée européenne pour protéger Ankara contre Moscou, peut-être ? Il fallait y penser.

Que faut-il faire pour sauver ce pays du chaos ?
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.

Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.

En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !

Alors, en cette période de commémoration, souvenons-nous qu’aujourd’hui encore, de jeunes Européens meurent dans les tranchées…
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à

Grognon il était, grognon il resterait.

Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…

On y cultive la vigne depuis au moins 2.000 ans et Pline l’Ancien le cite.

Il ne reste plus rien de lui.

Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.

Merkel aurait tort de se gêner alors qu’Emmanuel Macron ne cesse de plaider, notamment depuis le discours de la Sorbonne, pour une souveraineté européenne.

Dès mars 2001, nous dit-on, la CIA eut connaissance de la présence, sur le sol américain, des djihadistes qui commirent quelques mois plus tard les attentats contre les tours jumelles, et prit soin de ne jamais en avertir le FBI.

Pour comprendre ces reculs, il faut bien prendre conscience du fait que les partis Fidesz et PiS sont deux partis de type démocrate-chrétien et non nationaliste.

Elle saura sans doute dialoguer avec les deux géants, Trump et Poutine, dont dépend l’équilibre politique de la Géorgie.
…les affaires d’espionnage sont souvent plus flamboyantes sur grand écran que dans les petites arrière-cours du pouvoir.

Chacun montre ses muscles tout en bombant le torse. C’est la loi du genre.

Trump, c’est une réincarnation de Jessie James, ce bandit au grand cœur qui pillait les banques pour redonner l’argent aux pauvres.

À l’heure où l’on devient plus attentif à la préservation des espèces animales, ne devrait-on pas s’intéresser un peu plus à l’espèce humaine ?

Ces Sentinelles veillent sur leur vivre ensemble à eux, et rien qu’à eux, loin du progressisme du moment.

L’hystérie médiatique antirusse de certains médias ? Un peu comme une série télévisée à l’américaine, dont les saisons successives se suivent et se ressemblent…

Comme l’observe finement Tesson, l’Occident, aujourd’hui, a institué « une mystique du déplacement ».

Tel Aviv a longtemps vécu dans l’illusion que sa supériorité militaire et technologique lui permettait de sans cesse remettre l’affaire à plus tard.

Il était une fois un royaume écrasé par le soleil et assis sur un paysage martien.

Depuis lors, l’eau a coulé sous les ponts de la Save et de la Seine… Belgrade, décorée de la Légion d’honneur, fut bombardée par la France en 1999.

Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.

Il restera, à tout jamais marqué d’une encre indélébile, qu’à l’occasion de la célébration du centenaire de l’armistice de 1918 à Paris, la Serbie, avec son cortège de 1.200.000 morts, n’avait pas sa place à la tribune où ses agresseurs d’antan avaient pris la leur.

Une armée européenne pour protéger Ankara contre Moscou, peut-être ? Il fallait y penser.

Que faut-il faire pour sauver ce pays du chaos ?
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.

Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.

En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !

Alors, en cette période de commémoration, souvenons-nous qu’aujourd’hui encore, de jeunes Européens meurent dans les tranchées…
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à

Grognon il était, grognon il resterait.

Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…

On y cultive la vigne depuis au moins 2.000 ans et Pline l’Ancien le cite.
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