International

Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.

Ce 23 décembre, donc, le patron de Radio M et du site d’information Maghreb émergent est arrêté à son domicile et embarqué dès le lendemain pour une perquisition au siège de ses médias, menottes aux poignets.

La Suisse a été victime de son succès. Le pays est l’un des plus attractifs d’Europe à plusieurs niveaux.

Il est des causes qu’on ne veut pas entendre. Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop.

Et la France, dans tout ça ? On a peine à entendre sa voix.

Le Congrès américain s’est prononcé favorablement pour une aide massive à l’Ukraine : 45 milliards de dollars, sur les 1.700 milliards du budget fédéral.

Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.

Le ministre de l’Intérieur ne connaît pas la trêve des confiseurs. Mais il a quand même la hotte du père Noël. Remplie de visas.

Officieusement, Joe Biden devrait aussi faire comprendre à son homologue que cette aide n’est pas non plus inconditionnelle. Plus officieusement encore, il s’agit de tordre le bras de Zelensky et de l’obliger à s’asseoir à la table des négociations.

Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.

Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.

Si l’Europe est absente, la France, on s’en doute, ne lèvera pas le petit doigt pour l’Arménie.

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

L’assistant parlementaire de 35 ans reconnaît être membre d’un réseau d’influence en faveur du Qatar et des services de renseignement marocains.

La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?

Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.

Il est reproché à la Justice hongroise d’être trop proche du pouvoir politique en place. Il est un fait que ce n’est pas en France qu’on assisterait à de telles dérives…

Pénitente décoloniale masochiste, la France est le catalyseur naturel des frustrations populaires légitimes, dont les causes réelles sont liées avant tout à la mauvaise gouvernance locale, couverte par la communauté internationale.

Mais cette fois-ci, ces eurodéputés, adeptes du rôle d’accusateurs, risquent bien de se retrouver sur le banc des accusés.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

Pendant que ces évolutions majeures se dessinent, Emmanuel Macron, lui, ne s’intéresse guère aux Français mais à lui…

Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.

Le citoyen européen et français risque, une fois encore, d’être le dindon de la farce.

C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.

Kiev outragé, Kiev brisé, Kiev martyrisé, mais Kiev réparé grâce à Anne Hidalgo

Cette fin de la chrétienté majoritaire s’accompagne, d’une part, d’une hausse spectaculaire de l’athéisme sur le sol anglais (+12,5 points en dix ans) et, d’autre part, d’une progression continue de la religion musulmane.

Si l’on observe la situation de l’autre côté de l’Atlantique, on comprend vite que la guerre en Ukraine ne fait pas que des malheureux.

Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.

Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.

Ce 23 décembre, donc, le patron de Radio M et du site d’information Maghreb émergent est arrêté à son domicile et embarqué dès le lendemain pour une perquisition au siège de ses médias, menottes aux poignets.

La Suisse a été victime de son succès. Le pays est l’un des plus attractifs d’Europe à plusieurs niveaux.

Il est des causes qu’on ne veut pas entendre. Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop.

Et la France, dans tout ça ? On a peine à entendre sa voix.

Le Congrès américain s’est prononcé favorablement pour une aide massive à l’Ukraine : 45 milliards de dollars, sur les 1.700 milliards du budget fédéral.

Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.

Le ministre de l’Intérieur ne connaît pas la trêve des confiseurs. Mais il a quand même la hotte du père Noël. Remplie de visas.

Officieusement, Joe Biden devrait aussi faire comprendre à son homologue que cette aide n’est pas non plus inconditionnelle. Plus officieusement encore, il s’agit de tordre le bras de Zelensky et de l’obliger à s’asseoir à la table des négociations.

Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.

Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.

Si l’Europe est absente, la France, on s’en doute, ne lèvera pas le petit doigt pour l’Arménie.

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

L’assistant parlementaire de 35 ans reconnaît être membre d’un réseau d’influence en faveur du Qatar et des services de renseignement marocains.

La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?

Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.

Il est reproché à la Justice hongroise d’être trop proche du pouvoir politique en place. Il est un fait que ce n’est pas en France qu’on assisterait à de telles dérives…

Pénitente décoloniale masochiste, la France est le catalyseur naturel des frustrations populaires légitimes, dont les causes réelles sont liées avant tout à la mauvaise gouvernance locale, couverte par la communauté internationale.

Mais cette fois-ci, ces eurodéputés, adeptes du rôle d’accusateurs, risquent bien de se retrouver sur le banc des accusés.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

Pendant que ces évolutions majeures se dessinent, Emmanuel Macron, lui, ne s’intéresse guère aux Français mais à lui…

Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.

Le citoyen européen et français risque, une fois encore, d’être le dindon de la farce.

C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.

Kiev outragé, Kiev brisé, Kiev martyrisé, mais Kiev réparé grâce à Anne Hidalgo

Cette fin de la chrétienté majoritaire s’accompagne, d’une part, d’une hausse spectaculaire de l’athéisme sur le sol anglais (+12,5 points en dix ans) et, d’autre part, d’une progression continue de la religion musulmane.

Si l’on observe la situation de l’autre côté de l’Atlantique, on comprend vite que la guerre en Ukraine ne fait pas que des malheureux.

Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
