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N’en déplaise à ses détracteurs, Musk est le gentil dans une superproduction Marvel, pas le méchant.

Maintenant que la guerre est là et que les Américains semblent désormais chercher une porte de sortie, devront-ils finalement constater que le plus gros obstacle n’est finalement pas à Moscou mais à Kiev ?

Contraint de diversifier leur approvisionnement en hydrocarbures pour compenser la perte du brut russe à la suite des sanctions prises en réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les États-Unis se tournent donc vers le Venezuela…

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

Macron fait la distinction entre le peuple italien et son gouvernement, tout comme il fait une distinction entre les électeurs du Rassemblement national et ses dirigeants.

Gérald Darmanin a déclaré au mois de septembre sur BFM que l’État islamique avait perdu la guerre sur le théâtre des opérations extérieures, que le risque était aujourd’hui principalement endogène et que l’on pouvait s’attendre à de nouveaux Bataclan.

Un petit pas pour l’homme mais un grand coin-coin pour les canards du sud-ouest de la France.

Pour cela, plusieurs angles d’attaque.

Une alliance des nations est un garde-fou contre la tentation d’hégémonie impériale.

Organiser le Mondial au Qatar, cela revient à organiser les Jeux olympiques d’hiver aux îles Caïmans ou le concours de Miss Univers à Kaboul.

Une vidéo circule sur les réseaux sociaux montrant Giorgia Meloni s’attaquant violemment à la France, à Emmanuel Macron et la gestion néocoloniale de l’Afrique.

On peut s’interroger légitimement sur le rôle et l’évolution de cette « usine à gaz » bureaucratique dans laquelle la France se dilue toujours plus en reniant son magistère culturel et spirituel.

« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.

Nul doute qu’une fois de plus, le pouvoir de nuisance du dollar à l’encontre d’éventuelles entreprises européennes désobéissantes permettra aux Américains de conserver la tutelle américaine sur les semi-conducteurs

« Comment sortir de cette galère et éviter, en attendant, de se laisser entraîner dans une escalade incontrôlable ? » C’est la question qui doit

Dans son discours du 15 novembre, Trump, en habitué des vents contraires, a promis de se battre comme il ne l’a jamais fait auparavant.

Et le ministre de préciser : « La France est, bien sûr, un choix parfait » pour retourner les migrants.

On ose espérer que les membres de l’Alliance atlantique ne sont pas disposés à passer tous les caprices de Zelensky

Enfin, le président Biden se dit que Volodymyr Zelensky commence à être un peu dangereux, et d’un point de vue diplomatique, il est un ami encombrant.

Kevin McCarthy, le potentiel président républicain de la chambre, a été clair : « il n’y aura plus de chèques en blanc pour l’Ukraine. »

Pas de paix, donc, mais la guerre. Une guerre juste qui doit aboutir au triomphe du bien sur le mal. Une guerre qui ne se discute pas et qu’on laisse à d’autres le soin de faire.

Une opposition du Sénat est toutefois à craindre si celui-ci reste sous le contrôle des démocrates. Bras de fer en perspective.

Pour quoi sont morts ces soldats ? Pour une guerre juste que nous n’avons pas su finir, exactement comme en Afghanistan.

Malgré cette filiation idéologique, Ron DeSantis pourrait bien se retourner contre son maître.

À première vue, donc, Joe Biden n’a pas obtenu la sanction que présageait son faible taux de popularité.

Si l’on résume, ce bateau, c’est la patate chaude ou le mistigri que tous les gouvernements se refilent en douce, aucun d’entre eux ne pouvant décemment expliquer à leurs électorats respectifs que l’immigration illégale est chose si merveilleuse qu’on ne saurait davantage s’en priver.

En agissant de la sorte, l’Algérie ne rejoint pas tant un club non aligné qu’elle tourne le dos aux fariboles européennes, et notamment françaises, sur la prétendue fraternité méditerranéenne.
Cet ancien militaire de 44 ans, à la ligne conservatrice et très engagé sur les sujets d’éducation, est devenu au fil des années l’un des poids lourds du parti républicain.

N’en déplaise à ses détracteurs, Musk est le gentil dans une superproduction Marvel, pas le méchant.

Maintenant que la guerre est là et que les Américains semblent désormais chercher une porte de sortie, devront-ils finalement constater que le plus gros obstacle n’est finalement pas à Moscou mais à Kiev ?

Contraint de diversifier leur approvisionnement en hydrocarbures pour compenser la perte du brut russe à la suite des sanctions prises en réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les États-Unis se tournent donc vers le Venezuela…

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

Macron fait la distinction entre le peuple italien et son gouvernement, tout comme il fait une distinction entre les électeurs du Rassemblement national et ses dirigeants.

Gérald Darmanin a déclaré au mois de septembre sur BFM que l’État islamique avait perdu la guerre sur le théâtre des opérations extérieures, que le risque était aujourd’hui principalement endogène et que l’on pouvait s’attendre à de nouveaux Bataclan.

Un petit pas pour l’homme mais un grand coin-coin pour les canards du sud-ouest de la France.

Pour cela, plusieurs angles d’attaque.

Une alliance des nations est un garde-fou contre la tentation d’hégémonie impériale.

Organiser le Mondial au Qatar, cela revient à organiser les Jeux olympiques d’hiver aux îles Caïmans ou le concours de Miss Univers à Kaboul.

Une vidéo circule sur les réseaux sociaux montrant Giorgia Meloni s’attaquant violemment à la France, à Emmanuel Macron et la gestion néocoloniale de l’Afrique.

On peut s’interroger légitimement sur le rôle et l’évolution de cette « usine à gaz » bureaucratique dans laquelle la France se dilue toujours plus en reniant son magistère culturel et spirituel.

« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.

Nul doute qu’une fois de plus, le pouvoir de nuisance du dollar à l’encontre d’éventuelles entreprises européennes désobéissantes permettra aux Américains de conserver la tutelle américaine sur les semi-conducteurs

« Comment sortir de cette galère et éviter, en attendant, de se laisser entraîner dans une escalade incontrôlable ? » C’est la question qui doit

Dans son discours du 15 novembre, Trump, en habitué des vents contraires, a promis de se battre comme il ne l’a jamais fait auparavant.

Et le ministre de préciser : « La France est, bien sûr, un choix parfait » pour retourner les migrants.

On ose espérer que les membres de l’Alliance atlantique ne sont pas disposés à passer tous les caprices de Zelensky

Enfin, le président Biden se dit que Volodymyr Zelensky commence à être un peu dangereux, et d’un point de vue diplomatique, il est un ami encombrant.

Kevin McCarthy, le potentiel président républicain de la chambre, a été clair : « il n’y aura plus de chèques en blanc pour l’Ukraine. »

Pas de paix, donc, mais la guerre. Une guerre juste qui doit aboutir au triomphe du bien sur le mal. Une guerre qui ne se discute pas et qu’on laisse à d’autres le soin de faire.

Une opposition du Sénat est toutefois à craindre si celui-ci reste sous le contrôle des démocrates. Bras de fer en perspective.

Pour quoi sont morts ces soldats ? Pour une guerre juste que nous n’avons pas su finir, exactement comme en Afghanistan.

Malgré cette filiation idéologique, Ron DeSantis pourrait bien se retourner contre son maître.

À première vue, donc, Joe Biden n’a pas obtenu la sanction que présageait son faible taux de popularité.

Si l’on résume, ce bateau, c’est la patate chaude ou le mistigri que tous les gouvernements se refilent en douce, aucun d’entre eux ne pouvant décemment expliquer à leurs électorats respectifs que l’immigration illégale est chose si merveilleuse qu’on ne saurait davantage s’en priver.

En agissant de la sorte, l’Algérie ne rejoint pas tant un club non aligné qu’elle tourne le dos aux fariboles européennes, et notamment françaises, sur la prétendue fraternité méditerranéenne.
Cet ancien militaire de 44 ans, à la ligne conservatrice et très engagé sur les sujets d’éducation, est devenu au fil des années l’un des poids lourds du parti républicain.
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