International

Incarnant la tradition dans un monde en plein changement, Élisabeth aura été moderne à force de n’avoir jamais été engloutie par la houle propre aux périodes agitées et de ne jamais avoir succombé aux modes.

Il a assumé avec simplicité la nostalgie, n’a pas cédé à une com’ où la fraîcheur et l’optimisme auraient été artificiels.

Selon le général Desportes, la Russie ne compte plus sur une victoire militaire mais sur un enlisement du conflit qui briserait le moral occidental.

Comme quoi la reine était décidément celle de tous ses sujets, même les plus turbulents, les plus bruyants.

Ce gouvernement qui ne connaît et reconnaît que les « valeurs-de-la-République découvre que feu la reine en avait quelques-unes qui valaient bien les siennes.

Durant son règne, pas un seul coloris ne fut écarté. Le mauve fuchsia succédait au bleu azur, un rose éclatant venait fleurir le balcon du palais.

Au-delà des chefs d’État, c’est toute la classe politique française qui rend un dernier hommage à la reine Élisabeth II.

Avec les dix Présidents qu’elle aura fréquentés, elle aura été un témoin privilégié de l’évolution de la France.

Elle a donc été élue sur la promesse d’un électrochoc pour faire face à un contexte social explosif (comme partout ailleurs en Europe) et pour pallier l’augmentation conséquente du coût de la vie.

Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.

Après des mois de palabres et d’échanges entre le Saint-Siège et l’Ordre souverain, ce 3 septembre, le pape vient de signer un décret promulguant une nouvelle constitution de l’Ordre.

Cet ancien gouverneur de l’Alaska, État traditionnellement républicain depuis un demi-siècle, vient-il d’échouer à regagner ce poste qu’elle occupa de 2006 à 2009, à quelques semaines des fameuses élections de « midterm »…

Gorbatchev s’est éteint alors que les canons russes et ukrainiens tonnaient sur le Dniepr. Faut-il enterrer avec lui le rêve gaullien d’une Europe réconciliée de l’Atlantique à l’Oural ?

On se souviendra alors avec émotion de l’époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t’avais pas eu ton mot de Zelensky, t’avais raté ta vie.

C’est l’histoire d’un homme ayant contribué à faire l’Histoire avant que cette dernière ne l’emporte, cœur et âme, corps et biens.

Qu’on y songe, la Russie, l’Iran et le Qatar représentent, ensemble, la bagatelle de 60 % des réserves mondiales de gaz…

Des relations apaisées ne peuvent se concevoir si l’une des parties entretient la haine de l’autre.

Cette nouvelle donne géostratégique rappelle singulièrement la guerre froide et les confrontations de jadis, bloc à bloc : les bleus contre les rouges.

Du côté des concessions françaises, elles se précisent. Et, comme d’habitude, c’est la vanne migratoire qui a été rouverte !

Le soir, les hommes retrouvent le chemin du café, jouent aux cartes et au jacquet, les femmes tricotent ou brodent avant la veillée.

Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.

L’emploi de l’artillerie sol-air par des soldats français serait un signal sans équivoque, alors même que nos généraux viennent de dire que l’armée avait besoin de remonter en puissance.

Elle n’hésitait pas à dénoncer l’alignement systématique de l’Europe sur la politique américaine, succombant définitivement à l’influence de propagande mondialiste.

Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.

La perte d’autorité, qui gangrène toutes les institutions françaises, s’est propagée dans les relations internationales, où Macron joue le Matamore mais a perdu tout réel crédit.
Une attaque qui relance brutalement la question de l’insurrection islamiste, qui dure depuis 15 ans, face au gouvernement fédéral.

La France insoumise proteste contre le projet d’expulsion d’un imam islamiste, mais on ne va pas pleurer sur le sort d’un évêque catholique.

La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?

Incarnant la tradition dans un monde en plein changement, Élisabeth aura été moderne à force de n’avoir jamais été engloutie par la houle propre aux périodes agitées et de ne jamais avoir succombé aux modes.

Il a assumé avec simplicité la nostalgie, n’a pas cédé à une com’ où la fraîcheur et l’optimisme auraient été artificiels.

Selon le général Desportes, la Russie ne compte plus sur une victoire militaire mais sur un enlisement du conflit qui briserait le moral occidental.

Comme quoi la reine était décidément celle de tous ses sujets, même les plus turbulents, les plus bruyants.

Ce gouvernement qui ne connaît et reconnaît que les « valeurs-de-la-République découvre que feu la reine en avait quelques-unes qui valaient bien les siennes.

Durant son règne, pas un seul coloris ne fut écarté. Le mauve fuchsia succédait au bleu azur, un rose éclatant venait fleurir le balcon du palais.

Au-delà des chefs d’État, c’est toute la classe politique française qui rend un dernier hommage à la reine Élisabeth II.

Avec les dix Présidents qu’elle aura fréquentés, elle aura été un témoin privilégié de l’évolution de la France.

Elle a donc été élue sur la promesse d’un électrochoc pour faire face à un contexte social explosif (comme partout ailleurs en Europe) et pour pallier l’augmentation conséquente du coût de la vie.

Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.

Après des mois de palabres et d’échanges entre le Saint-Siège et l’Ordre souverain, ce 3 septembre, le pape vient de signer un décret promulguant une nouvelle constitution de l’Ordre.

Cet ancien gouverneur de l’Alaska, État traditionnellement républicain depuis un demi-siècle, vient-il d’échouer à regagner ce poste qu’elle occupa de 2006 à 2009, à quelques semaines des fameuses élections de « midterm »…

Gorbatchev s’est éteint alors que les canons russes et ukrainiens tonnaient sur le Dniepr. Faut-il enterrer avec lui le rêve gaullien d’une Europe réconciliée de l’Atlantique à l’Oural ?

On se souviendra alors avec émotion de l’époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t’avais pas eu ton mot de Zelensky, t’avais raté ta vie.

C’est l’histoire d’un homme ayant contribué à faire l’Histoire avant que cette dernière ne l’emporte, cœur et âme, corps et biens.

Qu’on y songe, la Russie, l’Iran et le Qatar représentent, ensemble, la bagatelle de 60 % des réserves mondiales de gaz…

Des relations apaisées ne peuvent se concevoir si l’une des parties entretient la haine de l’autre.

Cette nouvelle donne géostratégique rappelle singulièrement la guerre froide et les confrontations de jadis, bloc à bloc : les bleus contre les rouges.

Du côté des concessions françaises, elles se précisent. Et, comme d’habitude, c’est la vanne migratoire qui a été rouverte !

Le soir, les hommes retrouvent le chemin du café, jouent aux cartes et au jacquet, les femmes tricotent ou brodent avant la veillée.

Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.

L’emploi de l’artillerie sol-air par des soldats français serait un signal sans équivoque, alors même que nos généraux viennent de dire que l’armée avait besoin de remonter en puissance.

Elle n’hésitait pas à dénoncer l’alignement systématique de l’Europe sur la politique américaine, succombant définitivement à l’influence de propagande mondialiste.

Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.

La perte d’autorité, qui gangrène toutes les institutions françaises, s’est propagée dans les relations internationales, où Macron joue le Matamore mais a perdu tout réel crédit.
Une attaque qui relance brutalement la question de l’insurrection islamiste, qui dure depuis 15 ans, face au gouvernement fédéral.

La France insoumise proteste contre le projet d’expulsion d’un imam islamiste, mais on ne va pas pleurer sur le sort d’un évêque catholique.

La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?
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