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Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Les médias dominants, qui sont de grands sensibles, jouent depuis ce mercredi matin à se faire peur avec un possible second tour Le Pen-Mélenchon.
Il est musulman, joue pour les Auckland Blues et il a obtenu que son maillot n’affiche pas le nom de la Banque de Nouvelle-Zélande, sponsor du club.
Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.
À travers la question de la formation des enseignants, c’est la question de l’instruction de nos enfants qui se joue.
Le jury se demande en fin de soirée si les effets de manche visuels de certains candidats ne seraient pas là pour pallier une absence de contenu…
La présidentielle, qui prend heureusement bientôt fin, a l’art de grossir et de caricaturer des comportements peu éthiques, mais pas forcément illégaux.
De quoi consoler François Hollande, qui avait promis le droit de vote aux immigrés… et n’a pas tenu sa promesse.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Réduire le problème à une question de places disponibles ou de personnel en nombre insuffisant serait une erreur.
Il le regrette, mais se pliera à la loi de non-cumul.
Son but : choisir un prête-nom et se venger d’un peuple qui le déteste.
Je ne sache pas que le ministre de l’Éducation nationale en ait été troublé.
La Corée du Nord occupe une place étrange dans le traitement médiatique, notamment français.
Les six siècles de l’Égypte chrétienne ont été tout simplement escamotés des manuels d’histoire. Rappelons les faits.
Diverses sources nous permettent un premier « débriefing » de l’attaque américaine du terrain de Al-Shayrat.
Simple comme une démocratie directe, ce système de vote est utilisé pour l’élection présidentielle dans beaucoup de pays.
Gilles-William Goldnadel réagit au micro de Boulevard Voltaire après la polémique déclenchée autour des propos de Marine Le Pen sur la responsabilité de la France dans la rafle du Vel’ d’Hiv’.
Calculs d’arrière-basse-cour, projections politiciennes à deux balles.
À l’exception notable de Marine Le Pen, les candidats à l’élection présidentielle ne parlent que très peu de ce sujet central qu’est, aujourd’hui, l’immigration.
La situation politique à gauche, en vue de cette consultation électorale, a largement évolué.
Ce début de printemps est florissant : voici qu’en mars 2017 sont apparus l’île et le peuple de Guyane.
… alors ceux qui votent pour lui sont des salauds ! »
La face du monde, assurément, va s’en trouver changée.
Christian Estrosi, après avoir reçu Emmanuel Macron à Marseille, aurait été vu avec Jean-Paul Delevoye, président de la commission d’investiture d’En Marche.
Bien plus qu’une coutume de départ à la Attila, il s’agit d’une coutume bien plus ancienne de guerre entre peuples du Moyen-Orient…
Cette campagne présidentielle, tant décriée pour sa médiocrité, aura tout de même un mérite : celui d’avoir mieux fait apparaître les forces en présence.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Les médias dominants, qui sont de grands sensibles, jouent depuis ce mercredi matin à se faire peur avec un possible second tour Le Pen-Mélenchon.
Il est musulman, joue pour les Auckland Blues et il a obtenu que son maillot n’affiche pas le nom de la Banque de Nouvelle-Zélande, sponsor du club.
Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.
À travers la question de la formation des enseignants, c’est la question de l’instruction de nos enfants qui se joue.
Le jury se demande en fin de soirée si les effets de manche visuels de certains candidats ne seraient pas là pour pallier une absence de contenu…
La présidentielle, qui prend heureusement bientôt fin, a l’art de grossir et de caricaturer des comportements peu éthiques, mais pas forcément illégaux.
De quoi consoler François Hollande, qui avait promis le droit de vote aux immigrés… et n’a pas tenu sa promesse.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Réduire le problème à une question de places disponibles ou de personnel en nombre insuffisant serait une erreur.
Il le regrette, mais se pliera à la loi de non-cumul.
Son but : choisir un prête-nom et se venger d’un peuple qui le déteste.
Je ne sache pas que le ministre de l’Éducation nationale en ait été troublé.
La Corée du Nord occupe une place étrange dans le traitement médiatique, notamment français.
Les six siècles de l’Égypte chrétienne ont été tout simplement escamotés des manuels d’histoire. Rappelons les faits.
Diverses sources nous permettent un premier « débriefing » de l’attaque américaine du terrain de Al-Shayrat.
Simple comme une démocratie directe, ce système de vote est utilisé pour l’élection présidentielle dans beaucoup de pays.
Gilles-William Goldnadel réagit au micro de Boulevard Voltaire après la polémique déclenchée autour des propos de Marine Le Pen sur la responsabilité de la France dans la rafle du Vel’ d’Hiv’.
Calculs d’arrière-basse-cour, projections politiciennes à deux balles.
À l’exception notable de Marine Le Pen, les candidats à l’élection présidentielle ne parlent que très peu de ce sujet central qu’est, aujourd’hui, l’immigration.
La situation politique à gauche, en vue de cette consultation électorale, a largement évolué.
Ce début de printemps est florissant : voici qu’en mars 2017 sont apparus l’île et le peuple de Guyane.
… alors ceux qui votent pour lui sont des salauds ! »
La face du monde, assurément, va s’en trouver changée.
Christian Estrosi, après avoir reçu Emmanuel Macron à Marseille, aurait été vu avec Jean-Paul Delevoye, président de la commission d’investiture d’En Marche.
Bien plus qu’une coutume de départ à la Attila, il s’agit d’une coutume bien plus ancienne de guerre entre peuples du Moyen-Orient…
Cette campagne présidentielle, tant décriée pour sa médiocrité, aura tout de même un mérite : celui d’avoir mieux fait apparaître les forces en présence.
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