Articles

Le président Maduro continue de s’arc-bouter sur son pouvoir.

On ne confie pas la maison France à n’importe qui. Sa rivale a deux semaines pour faire la lumière sur lui.
Le système, comme il est désormais coutume de l’appeler avec un brin de simplisme, est à bout de souffle.
Certains esprits mal intentionnés – souvent issus de son propre camp – y verront une sorte de reculade ou de reniement de ces fameux « fondamentaux » du FN.

L’élection a ses raisons que la raison ne connaît pas.
On sait comment les « juges » du Tribunal révolutionnaire, et Fouquier-Tinville lui-même, ont fini leur sinistre carrière…
Robert Ménard a été condamné mardi à 2.000 euros d’amende (sans compter dommages et intérêts et frais de justice) pour « provocation à la haine et la discrimination ».
Les syndicats policiers proclament leur allégeance au système.

Christine Boutin préconise d’utiliser le vote révolutionnaire pour stopper la marionnette de la globalisation.
Trente ans que ça dure, mais voilà, tout s’use, même la guerre contre le Front national.

Que nous proposent ces candidats ? En ce qui concerne Emmanuel Macron, c’est grosso-modo la continuité de la politique de François Hollande.
L’économie, c’est important, la bataille pour l’emploi, c’est essentiel mais ce n’est pas tout. D’autres périls nous menacent…

On peut s’interroger sur le sens des responsabilités de beaucoup des électeurs d’aujourd’hui.

Je me suis trompé. J’ai surestimé la capacité de résistance des Français. J’ai sous-estimé le poids des médias.
Après avoir passé ces dernières années à combattre la politique de François Hollande, laisser le pays entre les mains de son poulain me semble impossible.

Si vous avez raté le direct de la soirée électorale organisée par TV Libertés et Boulevard Voltaire hier, voici ce qu’il ne fallait surtout pas manquer…

Je n’ai pu m’empêcher d’avoir une pensée émue pour mes amis de Sens commun.

Même avec le jeune Macron, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.
La France « majoritairement de droite », comme on nous l’a sans cesse seriné, se retrouve flouée, frustrée, violée !
L’élection présidentielle 2017 sera à ranger sur l’étagère réservée au paranormal.
Ce qui frappe, c’est la réussite hors normes d’un homme hors système. Enfin, hors système, pas vraiment !
Ses électeurs se sentent trahis par son prompt appel à voter Macron. Qu’attendaient-ils ?

Il convient de réfléchir aux différences entre les conceptions de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron sur l’essentiel : l’avenir de la France.

En Corse, Hamon est battu par… Jean Lassalle ! Délirant.

Quand les grands prêtres LR se couchent, celles-ci se lèvent.

Le très bling-bling Sarkozy avait attendu le succès du second tour pour s’offrir une soirée VIP au Fouquet’s. Emmanuel Macron est un jeune homme pressé.

Il n’y a pas besoin d’être grand clerc marxiste pour dire que ce vote Macron était nettement un vote de classe.

Principales constatations : Macron va être élu le 7 mai avec 64 % des voix.

Le président Maduro continue de s’arc-bouter sur son pouvoir.

On ne confie pas la maison France à n’importe qui. Sa rivale a deux semaines pour faire la lumière sur lui.
Le système, comme il est désormais coutume de l’appeler avec un brin de simplisme, est à bout de souffle.
Certains esprits mal intentionnés – souvent issus de son propre camp – y verront une sorte de reculade ou de reniement de ces fameux « fondamentaux » du FN.

L’élection a ses raisons que la raison ne connaît pas.
On sait comment les « juges » du Tribunal révolutionnaire, et Fouquier-Tinville lui-même, ont fini leur sinistre carrière…
Robert Ménard a été condamné mardi à 2.000 euros d’amende (sans compter dommages et intérêts et frais de justice) pour « provocation à la haine et la discrimination ».
Les syndicats policiers proclament leur allégeance au système.

Christine Boutin préconise d’utiliser le vote révolutionnaire pour stopper la marionnette de la globalisation.
Trente ans que ça dure, mais voilà, tout s’use, même la guerre contre le Front national.

Que nous proposent ces candidats ? En ce qui concerne Emmanuel Macron, c’est grosso-modo la continuité de la politique de François Hollande.
L’économie, c’est important, la bataille pour l’emploi, c’est essentiel mais ce n’est pas tout. D’autres périls nous menacent…

On peut s’interroger sur le sens des responsabilités de beaucoup des électeurs d’aujourd’hui.

Je me suis trompé. J’ai surestimé la capacité de résistance des Français. J’ai sous-estimé le poids des médias.
Après avoir passé ces dernières années à combattre la politique de François Hollande, laisser le pays entre les mains de son poulain me semble impossible.

Si vous avez raté le direct de la soirée électorale organisée par TV Libertés et Boulevard Voltaire hier, voici ce qu’il ne fallait surtout pas manquer…

Je n’ai pu m’empêcher d’avoir une pensée émue pour mes amis de Sens commun.

Même avec le jeune Macron, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.
La France « majoritairement de droite », comme on nous l’a sans cesse seriné, se retrouve flouée, frustrée, violée !
L’élection présidentielle 2017 sera à ranger sur l’étagère réservée au paranormal.
Ce qui frappe, c’est la réussite hors normes d’un homme hors système. Enfin, hors système, pas vraiment !
Ses électeurs se sentent trahis par son prompt appel à voter Macron. Qu’attendaient-ils ?

Il convient de réfléchir aux différences entre les conceptions de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron sur l’essentiel : l’avenir de la France.

En Corse, Hamon est battu par… Jean Lassalle ! Délirant.

Quand les grands prêtres LR se couchent, celles-ci se lèvent.

Le très bling-bling Sarkozy avait attendu le succès du second tour pour s’offrir une soirée VIP au Fouquet’s. Emmanuel Macron est un jeune homme pressé.

Il n’y a pas besoin d’être grand clerc marxiste pour dire que ce vote Macron était nettement un vote de classe.

Principales constatations : Macron va être élu le 7 mai avec 64 % des voix.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
