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La cote d’Emmanuel Macron prend l’eau dans les secteurs qui constituaient son pré carré : sa compétence et sa capacité à rassurer (-8 points)

Boulevard Voltaire a le plaisir de vous offrir un nouveau rendez-vous hebdomadaire : BV’AIR-La revue du réel. Ce tour d’horizon sera présenté par notre journaliste

Darmanin aurait donc raconté n’importe quoi (on n’ose pas dire « une fois encore ») ?

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

La semaine qui vient de s’écouler est marquée par l’épouvantable meurtre de Lola. Une profonde émotion a traversé le pays. Des hommages, des rassemblements ont

Si cette enfant avait été maghrébine et son tortionnaire ce qu’on appelle un Français de souche, que n’aurait-on pas entendu ?
L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Il a reconnu les faits et s’est justifié en expliquant « qu’il n’aimait pas ne pas pouvoir joindre son fils ».

Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Dans cette semaine où la
Les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de La Courneuve sont rapidement arrivés sur les lieux…

Comment, du reste, ne pas se demander si le sourire de ces gamins ne préfigure pas celui d’hommes de vingt ou trente ans qui, dans cinq, dix ans, commettront à leur tour un attentat sur notre sol…

Recalé aux Molière pour son interprétation de femme de ménage bafouée, Rudy Succar est mis en examen pour escroquerie en bande organisée, faux ou usurpation d’identité.

« On voulait diffuser le visage de Lola chez ceux qui refusent d’en parler »

Traditionnellement, la gauche et les médias – pléonasme ? – n’aiment guère avoir des nouvelles d’un réel n’en finissant plus de les contredire.

Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.

Près d’une dizaine de victimes ont témoigné en vidéo de leur souffrance de ne pas être entendues, de leur ras-le-bol d’être maltraités par la Justice et par l’État. Pourquoi n’en parle-t-on pas ?

Faute d’avoir le droit de s’interroger, réfléchir en dehors de toute passion et sans mots censurés, d’autres Lola seront donc persécutées puisque ni les médias ni les politiques ne semblent prêts à affronter la réalité.

Lui non plus, comme beaucoup d’autres, ne serait pas mort ainsi si on avait arrêté et expulsé son agresseur.

Portrait hagiographique d’une personnalité de gauche qui s’ignorait, le film d’Olivier Dahan se refuse absolument à tout regard critique sur le parcours politique de Simone Veil…

Derrière les accusations de récupération et les différentes formes qu’ont prises ces hommages, c’est toute une nation endeuillée qui pleure aujourd’hui une de ses enfants innocentes.

Il n’y a pas de raison qu’on refuse à ces femmes ce que l’on accorde à 200.000 étrangers par an : l’accueil inconditionnel et sans vérification.

La réalité serait donc indécente.

L’encre a déjà beaucoup coulé sur ce sujet, ni cette pauvre enfant ni ses bourreaux ne présentaient le bon profil pour les médias. Ils ne méritent donc pas qu’on en fasse tout un plat.

Aucun pays au monde n’a le droit à l’avortement dans sa Constitution.

Les eurodéputés s’attaqueraient-ils enfin à l’islamisme ?

Dans les couples, il y a souvent un cocu. La France, donc.

Face au chaos, à l’ensauvagement, dans une France fracturée, les derniers gardes-fous civiques sont en train de sauter.

La cote d’Emmanuel Macron prend l’eau dans les secteurs qui constituaient son pré carré : sa compétence et sa capacité à rassurer (-8 points)

Boulevard Voltaire a le plaisir de vous offrir un nouveau rendez-vous hebdomadaire : BV’AIR-La revue du réel. Ce tour d’horizon sera présenté par notre journaliste

Darmanin aurait donc raconté n’importe quoi (on n’ose pas dire « une fois encore ») ?

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

La semaine qui vient de s’écouler est marquée par l’épouvantable meurtre de Lola. Une profonde émotion a traversé le pays. Des hommages, des rassemblements ont

Si cette enfant avait été maghrébine et son tortionnaire ce qu’on appelle un Français de souche, que n’aurait-on pas entendu ?
L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Il a reconnu les faits et s’est justifié en expliquant « qu’il n’aimait pas ne pas pouvoir joindre son fils ».

Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Dans cette semaine où la
Les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de La Courneuve sont rapidement arrivés sur les lieux…

Comment, du reste, ne pas se demander si le sourire de ces gamins ne préfigure pas celui d’hommes de vingt ou trente ans qui, dans cinq, dix ans, commettront à leur tour un attentat sur notre sol…

Recalé aux Molière pour son interprétation de femme de ménage bafouée, Rudy Succar est mis en examen pour escroquerie en bande organisée, faux ou usurpation d’identité.

« On voulait diffuser le visage de Lola chez ceux qui refusent d’en parler »

Traditionnellement, la gauche et les médias – pléonasme ? – n’aiment guère avoir des nouvelles d’un réel n’en finissant plus de les contredire.

Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.

Près d’une dizaine de victimes ont témoigné en vidéo de leur souffrance de ne pas être entendues, de leur ras-le-bol d’être maltraités par la Justice et par l’État. Pourquoi n’en parle-t-on pas ?

Faute d’avoir le droit de s’interroger, réfléchir en dehors de toute passion et sans mots censurés, d’autres Lola seront donc persécutées puisque ni les médias ni les politiques ne semblent prêts à affronter la réalité.

Lui non plus, comme beaucoup d’autres, ne serait pas mort ainsi si on avait arrêté et expulsé son agresseur.

Portrait hagiographique d’une personnalité de gauche qui s’ignorait, le film d’Olivier Dahan se refuse absolument à tout regard critique sur le parcours politique de Simone Veil…

Derrière les accusations de récupération et les différentes formes qu’ont prises ces hommages, c’est toute une nation endeuillée qui pleure aujourd’hui une de ses enfants innocentes.

Il n’y a pas de raison qu’on refuse à ces femmes ce que l’on accorde à 200.000 étrangers par an : l’accueil inconditionnel et sans vérification.

La réalité serait donc indécente.

L’encre a déjà beaucoup coulé sur ce sujet, ni cette pauvre enfant ni ses bourreaux ne présentaient le bon profil pour les médias. Ils ne méritent donc pas qu’on en fasse tout un plat.

Aucun pays au monde n’a le droit à l’avortement dans sa Constitution.

Les eurodéputés s’attaqueraient-ils enfin à l’islamisme ?

Dans les couples, il y a souvent un cocu. La France, donc.

Face au chaos, à l’ensauvagement, dans une France fracturée, les derniers gardes-fous civiques sont en train de sauter.
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