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La France va mal, il y a une inquiétude économique, sociale, sociétale, mais aussi une inquiétude sur la sécurité.

Les deux bouts de la vie, l’enfance et la vieillesse, parce qu’ils sont l’âge de la vulnérabilité, paient le prix fort de l’imbroglio d’incurie migratoire et sécuritaire.

Le gouvernement et l’extrême gauche donnent donc des leçons de distance… avec un incroyable culot.

Le temps des voitures débonnaires semble révolu.

Nous ne sommes pas surpris, nous sommes en colère d’avoir attendu dix jours alors que nous savions pertinemment qu’Élisabeth Borne était habilitée à déclencher le 49-3.

On est loin de la pagaille qui s’était emparée, en juillet dernier, du centre de détention val-de-marnais, orchestrée par des membres mêmes du personnel.

Comme un moyen de rappeler que si le parti de Zemmour sait mobiliser la rue, le RN est quant à lui entré dans les institutions.

L’entrisme islamique au sein de l’Éducation nationale ne concerne plus seulement les banlieues et territoires abandonnés de la République.

Il est un fait que ces mauvaises habitudes – tradition républicaine, objecteront les plus indulgents – commencent à faire sévèrement tousser.

En 2016, notre ami a décidé de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme. N’est-ce pas inhumain, en effet, de demander à un djihadiste, par essence prosélyte et recherchant les endroits peuplés, de bien vouloir rester à la maison ?

La France peut s’enorgueillir d’avoir un mathématicien des plus talentueux, une sorte de génie du raisonnement, en la personne du leader de la CGT. Dans la logique Martinez, on peut arriver à deux conclusions totalement opposées d’un engagement.

On trouve à côté de chaque vitrine ou œuvre un baratin bien-pensant nous invitant à la repentance sur l’horrible passé colonial de l’Europe assorti d’une leçon de morale sur notre présent honteux

Aveuglée par son idéologie immigrationniste, dans le déni sur l’insécurité, la gauche ne supporte pas le retour du réel.

Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.

Au micro de RTL, loin de reconnaître les manquements et la responsabilité de l’État, le ministre de l’Intérieur fait le choix de mentir.

À l’appel de l’Institut pour la justice, une manifestation « pour toutes les victimes » aura lieu ce jeudi 20 octobre, à 19 h, devant la mairie du XIXe arrondissement.

Aussitôt la gauche italienne, qui, fait rarissime, a refusé d’applaudir lors de son élection comme il est de coutume en Italie, s’est déchaînée.

Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.
L’agitation qui secoue le pays a plus à voir avec la situation économique et sociale qu’à une histoire de voile ou d’aspirations progressistes.

Utiliser ce francocide sordide pour remettre sur le tapis la question des violences conjugales et dédouaner par avance une meurtrière présumée, c’est de la vraie, de la sale récupération…

De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité

On est en droit de contester la statue offerte en modèle à la vénération publique, notamment aux banlieues françaises où Benzema a le statut d’un dieu vivant. Car le titulaire du Ballon d’or 2022 a bien fait parler de lui, mais pas toujours pour ses exploits balle au pied…

Ce paradoxe religieux définit à lui seul l’action de la Libre Pensée qui, loin de lutter contre les atteintes à la laïcité comme le promet son manifeste, mène un combat résolument anticatholique.

On ne sait aujourd’hui ce qui, de cette omerta ou du caractère systémique de ce meurtre, est le plus épouvantable. En fait, les deux sont liés.

Le problème n’est pas tant la générosité de la France que son inconséquence. C’est tout le problème de la fameuse ambiguïté macronienne.

Dans cette affaire, c’est la nature du message délivré par les Femen qui justifie la décision de la CEDH : la défense de l’avortement et leur cible : la religion catholique ».

Christian Estrosi propose de s’accorder avec une mutuelle soutenant activement ceux qui étaient considérés par ses anciens amis et alliés politiques comme des passeurs.

Qu’en dit Emmanuel Macron, l’omnipotent Président ? Il dit, depuis le Mondial de l’auto, qu’il veut que « la crise se règle au plus vite ». Confidence : nous aussi.

La France va mal, il y a une inquiétude économique, sociale, sociétale, mais aussi une inquiétude sur la sécurité.

Les deux bouts de la vie, l’enfance et la vieillesse, parce qu’ils sont l’âge de la vulnérabilité, paient le prix fort de l’imbroglio d’incurie migratoire et sécuritaire.

Le gouvernement et l’extrême gauche donnent donc des leçons de distance… avec un incroyable culot.

Le temps des voitures débonnaires semble révolu.

Nous ne sommes pas surpris, nous sommes en colère d’avoir attendu dix jours alors que nous savions pertinemment qu’Élisabeth Borne était habilitée à déclencher le 49-3.

On est loin de la pagaille qui s’était emparée, en juillet dernier, du centre de détention val-de-marnais, orchestrée par des membres mêmes du personnel.

Comme un moyen de rappeler que si le parti de Zemmour sait mobiliser la rue, le RN est quant à lui entré dans les institutions.

L’entrisme islamique au sein de l’Éducation nationale ne concerne plus seulement les banlieues et territoires abandonnés de la République.

Il est un fait que ces mauvaises habitudes – tradition républicaine, objecteront les plus indulgents – commencent à faire sévèrement tousser.

En 2016, notre ami a décidé de porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme. N’est-ce pas inhumain, en effet, de demander à un djihadiste, par essence prosélyte et recherchant les endroits peuplés, de bien vouloir rester à la maison ?

La France peut s’enorgueillir d’avoir un mathématicien des plus talentueux, une sorte de génie du raisonnement, en la personne du leader de la CGT. Dans la logique Martinez, on peut arriver à deux conclusions totalement opposées d’un engagement.

On trouve à côté de chaque vitrine ou œuvre un baratin bien-pensant nous invitant à la repentance sur l’horrible passé colonial de l’Europe assorti d’une leçon de morale sur notre présent honteux

Aveuglée par son idéologie immigrationniste, dans le déni sur l’insécurité, la gauche ne supporte pas le retour du réel.

Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.

Au micro de RTL, loin de reconnaître les manquements et la responsabilité de l’État, le ministre de l’Intérieur fait le choix de mentir.

À l’appel de l’Institut pour la justice, une manifestation « pour toutes les victimes » aura lieu ce jeudi 20 octobre, à 19 h, devant la mairie du XIXe arrondissement.

Aussitôt la gauche italienne, qui, fait rarissime, a refusé d’applaudir lors de son élection comme il est de coutume en Italie, s’est déchaînée.

Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.
L’agitation qui secoue le pays a plus à voir avec la situation économique et sociale qu’à une histoire de voile ou d’aspirations progressistes.

Utiliser ce francocide sordide pour remettre sur le tapis la question des violences conjugales et dédouaner par avance une meurtrière présumée, c’est de la vraie, de la sale récupération…

De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité

On est en droit de contester la statue offerte en modèle à la vénération publique, notamment aux banlieues françaises où Benzema a le statut d’un dieu vivant. Car le titulaire du Ballon d’or 2022 a bien fait parler de lui, mais pas toujours pour ses exploits balle au pied…

Ce paradoxe religieux définit à lui seul l’action de la Libre Pensée qui, loin de lutter contre les atteintes à la laïcité comme le promet son manifeste, mène un combat résolument anticatholique.

On ne sait aujourd’hui ce qui, de cette omerta ou du caractère systémique de ce meurtre, est le plus épouvantable. En fait, les deux sont liés.

Le problème n’est pas tant la générosité de la France que son inconséquence. C’est tout le problème de la fameuse ambiguïté macronienne.

Dans cette affaire, c’est la nature du message délivré par les Femen qui justifie la décision de la CEDH : la défense de l’avortement et leur cible : la religion catholique ».

Christian Estrosi propose de s’accorder avec une mutuelle soutenant activement ceux qui étaient considérés par ses anciens amis et alliés politiques comme des passeurs.

Qu’en dit Emmanuel Macron, l’omnipotent Président ? Il dit, depuis le Mondial de l’auto, qu’il veut que « la crise se règle au plus vite ». Confidence : nous aussi.
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