Politique
La révolte en Corse consécutive à cet accident manifeste la dissolution de l’État et de la France, la perte de son autorité, sa faiblesse et le rôle de punching-ball joué dorénavant sans un bruit par les CRS.
« La Macronie, c’est un jour, une affaire. » Le magistrat spécialisé dans la lutte contre la fraude alarme sur les relations troubles entre le cabinet de
Le Éric Zemmour historien pourrait aussi glisser qu’il y a eu, par le passé, des remigrations brutales et injustes dont la France ne s’est jamais repentie.
Un État français qui se viderait par le haut et par le bas, ce serait finalement liquider l’héritage capétien chèrement conservé et transmis à travers les siècles…
Remarqué par la majorité présidentielle, son nom sera évoqué pour intégrer le gouvernement. Des bruits de couloir qui resteront sans suite.
Comment expliquer dans un style sénatorial que Macron se moque du monde ?
Certes, les visées de Rachida Dati ne sont pas à prendre à la légère et elle n’est pas la moins capée de son parti pour leur donner corps. Mais entre celles d’Éric Zemmour et de Jordan Bardella, la route est droite et la pente est forte.
Et quand Mélenchon énumère les lois scélérates du gouvernement Macron, figure en bonne place celle sur le séparatisme, attirant les huées d’une partie de la foule.
Enfin, la solution a germé dans cet esprit fertile en idées de génie : et si on donnait un statut fiscal aux personnes qui n’ont pas même de statut social ? Ça sonne bien, c’est oxymorique…
Un condensé de cette culture de haine et de violence qui irrigue nos territoires perdus depuis des décennies avec la complicité des élites libérales libertaires et de la Justice qui n’intervient pas au nom de la « liberté d’expression ».
Brigitte Bardot se félicite en effet de ce que la « dignité animale » fasse partie des propositions avancées dans le programme de Nicolas Dupont-Aignan.
Si la droite à l’avenir, envisageait de donner ses ministères à des personnalités qui « partagent ses idées » ?
Quel plaisir de faire notre miel avec les commentaires de nos lecteurs !
Les deux reporters n’hésitent pas à faire le lien entre le cash distribué par Benalla en mars-avril à des personnels non déclarés pour la sécurité de la campagne de Macron et ce cash venant d’Alger.
Avec l’annonce de ce dimanche, les relations entre Anne Hidalgo et son prédécesseur ne risquent pas de s’améliorer…
Valérie Pécresse était en meeting, ce samedi, dans la capitale de l’Occitanie. Alors que les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour Les Républicains, la candidate a vertement
Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
On connaissait en effet, dans d’autres domaines et sur le même principe, le pain sans sel, les mandarines sans pépin, le Coca-Cola sans sucre et la bière sans alcool, le hot-dog sans viande, le paiement sans contact et le changement sans le risque, mais l’on doit au macronisme ce concept absolument nouveau du débat sans interlocuteur et de la campagne électorale sans débat.
Il n’y a plus qu’un pas entre la présidence tournante du Conseil de sa chère Union et le trône de tsar occidental pour être, enfin, un Poutine inversé.
L’hypothèse d’une incarnation par défaut ne doit pas être écartée : certes, il incarne peu, mais les autres encore moins.
Emmanuel Macron, à trois semaines de l’élection présidentielle, se veut donc rassembleur plus que jamais en pratiquant à la mémoire de la guerre d’Algérie le « en même temps » qui lui est cher.
Des négociations dans la première semaine du mois d’avril, c’est-à-dire, juste avant le premier tour de l’élection présidentielle…
À aucun moment il n’évoque le déclin de l’enseignement, la crise du recrutement, le manque d’attractivité de la condition enseignante qui dissuade les meilleurs étudiants de se consacrer à ce métier
Une vision pour la France ne consiste pas en une accumulation de propositions techniques.
Emmanuel Macron peut se permettre le luxe d’enjamber l’élection et n’a aucun intérêt à initier une mobilisation, qui pourrait se faire à ses dépens.
À la vérité, qui est la photocopie de qui, dans cette triste affaire ? Le débat est difficile à trancher.
Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.
La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.
La révolte en Corse consécutive à cet accident manifeste la dissolution de l’État et de la France, la perte de son autorité, sa faiblesse et le rôle de punching-ball joué dorénavant sans un bruit par les CRS.
« La Macronie, c’est un jour, une affaire. » Le magistrat spécialisé dans la lutte contre la fraude alarme sur les relations troubles entre le cabinet de
Le Éric Zemmour historien pourrait aussi glisser qu’il y a eu, par le passé, des remigrations brutales et injustes dont la France ne s’est jamais repentie.
Un État français qui se viderait par le haut et par le bas, ce serait finalement liquider l’héritage capétien chèrement conservé et transmis à travers les siècles…
Remarqué par la majorité présidentielle, son nom sera évoqué pour intégrer le gouvernement. Des bruits de couloir qui resteront sans suite.
Comment expliquer dans un style sénatorial que Macron se moque du monde ?
Certes, les visées de Rachida Dati ne sont pas à prendre à la légère et elle n’est pas la moins capée de son parti pour leur donner corps. Mais entre celles d’Éric Zemmour et de Jordan Bardella, la route est droite et la pente est forte.
Et quand Mélenchon énumère les lois scélérates du gouvernement Macron, figure en bonne place celle sur le séparatisme, attirant les huées d’une partie de la foule.
Enfin, la solution a germé dans cet esprit fertile en idées de génie : et si on donnait un statut fiscal aux personnes qui n’ont pas même de statut social ? Ça sonne bien, c’est oxymorique…
Un condensé de cette culture de haine et de violence qui irrigue nos territoires perdus depuis des décennies avec la complicité des élites libérales libertaires et de la Justice qui n’intervient pas au nom de la « liberté d’expression ».
Brigitte Bardot se félicite en effet de ce que la « dignité animale » fasse partie des propositions avancées dans le programme de Nicolas Dupont-Aignan.
Si la droite à l’avenir, envisageait de donner ses ministères à des personnalités qui « partagent ses idées » ?
Quel plaisir de faire notre miel avec les commentaires de nos lecteurs !
Les deux reporters n’hésitent pas à faire le lien entre le cash distribué par Benalla en mars-avril à des personnels non déclarés pour la sécurité de la campagne de Macron et ce cash venant d’Alger.
Avec l’annonce de ce dimanche, les relations entre Anne Hidalgo et son prédécesseur ne risquent pas de s’améliorer…
Valérie Pécresse était en meeting, ce samedi, dans la capitale de l’Occitanie. Alors que les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour Les Républicains, la candidate a vertement
Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
On connaissait en effet, dans d’autres domaines et sur le même principe, le pain sans sel, les mandarines sans pépin, le Coca-Cola sans sucre et la bière sans alcool, le hot-dog sans viande, le paiement sans contact et le changement sans le risque, mais l’on doit au macronisme ce concept absolument nouveau du débat sans interlocuteur et de la campagne électorale sans débat.
Il n’y a plus qu’un pas entre la présidence tournante du Conseil de sa chère Union et le trône de tsar occidental pour être, enfin, un Poutine inversé.
L’hypothèse d’une incarnation par défaut ne doit pas être écartée : certes, il incarne peu, mais les autres encore moins.
Emmanuel Macron, à trois semaines de l’élection présidentielle, se veut donc rassembleur plus que jamais en pratiquant à la mémoire de la guerre d’Algérie le « en même temps » qui lui est cher.
Des négociations dans la première semaine du mois d’avril, c’est-à-dire, juste avant le premier tour de l’élection présidentielle…
À aucun moment il n’évoque le déclin de l’enseignement, la crise du recrutement, le manque d’attractivité de la condition enseignante qui dissuade les meilleurs étudiants de se consacrer à ce métier
Une vision pour la France ne consiste pas en une accumulation de propositions techniques.
Emmanuel Macron peut se permettre le luxe d’enjamber l’élection et n’a aucun intérêt à initier une mobilisation, qui pourrait se faire à ses dépens.
À la vérité, qui est la photocopie de qui, dans cette triste affaire ? Le débat est difficile à trancher.
Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.
La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.