Politique
Après les Trente Glorieuses, il y a donc eu ces Trente ou Quarante Paresseuses…
Emmanuel Macron et le gouvernement ont compris que l’automobiliste-vache à lait pouvait, à l’occasion, donner des coups de corne.
Ce week-end, c’est au tour de Carrefour de manifester son courage, dévoilant pour ce faire ses compétences géopolitiques : modestement, à son échelle, le petit magasin a imité les sanctions qu’imposent les grands depuis quelques semaines à l’égard de la Russie.
Il faut reconnaître qu’Édouard Philippe s’y prend plutôt pas mal. Dans le rôle du dauphin qui n’attend pas du tout que son souverain glisse sur une plaque de verglas…
De la création de L’Étudiant libre à ses échanges musclés avec le couple Corbière-Garrido en passant par ses goûts pour le rap, il se livre en toute confidence et humour au micro de Boulevard Voltaire.
Favori sans campagne, acclamé sans meetings, Président sans programme, guerrier sans guerre et diplomate sans pouvoir. Le royaume Potemkine de la Macronie continue sa marche. Jusqu’à quand ?
La décision de l’élu des Sables-d’Olonne n’a pas manqué de faire réagir l’opposition, trois maires de communes avoisinantes s’interrogeant notamment sur l’accueil réservé par Yannick Moreau au candidat Éric Zemmour.
Lancée du jeudi 24 au samedi 26 février dernier, la consultation avait donné Éric Zemmour largement vainqueur, avec 40,46 % des voix. C’est pourtant Nicolas Dupont-Aignan qui a été choisi par Florian Philippot.
Aujourd’hui, avec son équipe de stagiaires, ses députés godillots, son mépris, Macron est à 30 %. Merci la guerre
Le problème, c’est que le temps presse. Macron a dégradé la France.
Un second quinquennat Macron avec grand débat permanent ? L’escroquerie a peut-être assez duré.
Que le Président qui a gagné en 2017 grâce à un coup d’État médiatico-judiciaire soit en train de rééditer l’opération en enjambant la campagne, voilà qui n’illustre guère pourtant le fonctionnement normal d’une démocratie
Le sociologue Michel Maffesoli a publié L’Ère des soulèvements aux Éditions du Cerf. Dans cet essai, il analyse et décrit les fractures qui traversent la
Le sondage de l’IFOP pour Paris Match-LCI-Sud Radio, publié le 11 mars au soir, donnait Jean-Luc Mélenchon à 10,50 % d’intentions de vote, derrière Valérie
Éric Zemmour était aujourd’hui en déplacement à Moissac. Accompagné par Marion Maréchal, le candidat Reconquête a été visé, dès son arrivée, par un œuf lancé
« Il n’y a aucune raison de douter de la fiabilité des sondages »
Cette sage décision, tardive mais claire, donne raison à ceux qui, dans l’opposition, dénoncent cette confusion des genres.
La fondatrice de l’ISSEP, ancienne députée du Vaucluse et soutien d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle, s’explique au micro de Gabrielle Cluzel, en exclusivité pour Boulevard Voltaire.
Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.
Après le « quoi qu’il en coûte » est venu le temps du « quoi qu’il fasse ». Aucune annonce insensée, aucune aberration ne semble en mesure de réveiller l’électeur assoupi.
Comme souvent, la ligne bruxelloïde consiste à parler beaucoup, longtemps, répéter 100 fois, mais en dire peu.
Malgré la baisse des hospitalisations, Olivier Véran affirme être « extrêmement vigilant ». On verra ce que cela signifie…
« Il n’y a pas une culture française mais des cultures françaises », avait dit Emmanuel Macron, durant sa campagne, mais c’est pourtant celle-là – la grande, l’éternelle, la belle, la seule qui incarne notre pays dans l’imaginaire étranger
Tout comme « la guerre contre le Covid » a justifié l’abrogation de nos droits élémentaires, les sanctions contre Poutine vont justifier l’essence à prix d’or, le rationnement de l’énergie, l’inflation galopante et la réélection d’Emmanuel Macron par acclamation.
C’est une question de fierté, de respect pour les institutions, pour les Français et pour la démocratie. Emmanuel Macron devrait proposer un débat aux quatre grands candidats, ceux qui dépassent les 10 %.
Zemmour n’a pas triomphé, Pécresse ne s’est pas fait massacrer. Les vainqueurs de ce débat n’étaient peut-être pas autour de la table…
Le groupe de réfugiés est hétérogène. Des mères parlant ukrainien à leurs enfants côtoient de jeunes hommes qui conversent en arabe.
La CFDT, qui organisait une rencontre avec les différents candidats à la présidentielle, a décidé d’évincer la candidate du Rassemblement national ainsi qu’Éric Zemmour de leur rassemblement.
Après les Trente Glorieuses, il y a donc eu ces Trente ou Quarante Paresseuses…
Emmanuel Macron et le gouvernement ont compris que l’automobiliste-vache à lait pouvait, à l’occasion, donner des coups de corne.
Ce week-end, c’est au tour de Carrefour de manifester son courage, dévoilant pour ce faire ses compétences géopolitiques : modestement, à son échelle, le petit magasin a imité les sanctions qu’imposent les grands depuis quelques semaines à l’égard de la Russie.
Il faut reconnaître qu’Édouard Philippe s’y prend plutôt pas mal. Dans le rôle du dauphin qui n’attend pas du tout que son souverain glisse sur une plaque de verglas…
De la création de L’Étudiant libre à ses échanges musclés avec le couple Corbière-Garrido en passant par ses goûts pour le rap, il se livre en toute confidence et humour au micro de Boulevard Voltaire.
Favori sans campagne, acclamé sans meetings, Président sans programme, guerrier sans guerre et diplomate sans pouvoir. Le royaume Potemkine de la Macronie continue sa marche. Jusqu’à quand ?
La décision de l’élu des Sables-d’Olonne n’a pas manqué de faire réagir l’opposition, trois maires de communes avoisinantes s’interrogeant notamment sur l’accueil réservé par Yannick Moreau au candidat Éric Zemmour.
Lancée du jeudi 24 au samedi 26 février dernier, la consultation avait donné Éric Zemmour largement vainqueur, avec 40,46 % des voix. C’est pourtant Nicolas Dupont-Aignan qui a été choisi par Florian Philippot.
Aujourd’hui, avec son équipe de stagiaires, ses députés godillots, son mépris, Macron est à 30 %. Merci la guerre
Le problème, c’est que le temps presse. Macron a dégradé la France.
Un second quinquennat Macron avec grand débat permanent ? L’escroquerie a peut-être assez duré.
Que le Président qui a gagné en 2017 grâce à un coup d’État médiatico-judiciaire soit en train de rééditer l’opération en enjambant la campagne, voilà qui n’illustre guère pourtant le fonctionnement normal d’une démocratie
Le sociologue Michel Maffesoli a publié L’Ère des soulèvements aux Éditions du Cerf. Dans cet essai, il analyse et décrit les fractures qui traversent la
Le sondage de l’IFOP pour Paris Match-LCI-Sud Radio, publié le 11 mars au soir, donnait Jean-Luc Mélenchon à 10,50 % d’intentions de vote, derrière Valérie
Éric Zemmour était aujourd’hui en déplacement à Moissac. Accompagné par Marion Maréchal, le candidat Reconquête a été visé, dès son arrivée, par un œuf lancé
« Il n’y a aucune raison de douter de la fiabilité des sondages »
Cette sage décision, tardive mais claire, donne raison à ceux qui, dans l’opposition, dénoncent cette confusion des genres.
La fondatrice de l’ISSEP, ancienne députée du Vaucluse et soutien d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle, s’explique au micro de Gabrielle Cluzel, en exclusivité pour Boulevard Voltaire.
Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.
Après le « quoi qu’il en coûte » est venu le temps du « quoi qu’il fasse ». Aucune annonce insensée, aucune aberration ne semble en mesure de réveiller l’électeur assoupi.
Comme souvent, la ligne bruxelloïde consiste à parler beaucoup, longtemps, répéter 100 fois, mais en dire peu.
Malgré la baisse des hospitalisations, Olivier Véran affirme être « extrêmement vigilant ». On verra ce que cela signifie…
« Il n’y a pas une culture française mais des cultures françaises », avait dit Emmanuel Macron, durant sa campagne, mais c’est pourtant celle-là – la grande, l’éternelle, la belle, la seule qui incarne notre pays dans l’imaginaire étranger
Tout comme « la guerre contre le Covid » a justifié l’abrogation de nos droits élémentaires, les sanctions contre Poutine vont justifier l’essence à prix d’or, le rationnement de l’énergie, l’inflation galopante et la réélection d’Emmanuel Macron par acclamation.
C’est une question de fierté, de respect pour les institutions, pour les Français et pour la démocratie. Emmanuel Macron devrait proposer un débat aux quatre grands candidats, ceux qui dépassent les 10 %.
Zemmour n’a pas triomphé, Pécresse ne s’est pas fait massacrer. Les vainqueurs de ce débat n’étaient peut-être pas autour de la table…
Le groupe de réfugiés est hétérogène. Des mères parlant ukrainien à leurs enfants côtoient de jeunes hommes qui conversent en arabe.
La CFDT, qui organisait une rencontre avec les différents candidats à la présidentielle, a décidé d’évincer la candidate du Rassemblement national ainsi qu’Éric Zemmour de leur rassemblement.