Politique
Nathalie Elimas ne sera pas remplacée au gouvernement.
C’était d’ailleurs lors d’une interview de Valérie Pécresse dans les locaux de Boulevard Voltaire que la solution avait émergé : un accord entre tous les candidats de droite.
Tout plein de symboles : un Président en mouvement, un Président humain puisqu’il aime les bêtes. Bref, le Président qu’il nous faut.
C’est donc un choix stratégique qu’a fait la France en conservant un dialogue avec la Russie, moyen incontournable d’aboutir à une désescalade des tensions.
Oui, les choses peuvent très mal finir si nous reconduisons Emmanuel Macron…
Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.
Les hommes déposent les femmes et les enfants à la frontière et, après un dernier baiser, repartent pour défendre leur patrie.
De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.
Sandrine Rousseau s’est fait exclure de la campagne de Yannick Jadot à la suite de ses propos très critiques à l’égard de la campagne de ce dernier, affirmant notamment, à propos des choix stratégiques, qu’« ils se plantent sur tout ! »
Les Français réclament un vrai débat d’idées, une confrontation « projet contre projet », pas un exercice d’autosatisfaction simplement couché sur le papier.
Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.
Sur place, « l’Afrique réelle » est très partagée sur ce sujet, divisée par des intérêts nationaux divergents voire concurrents.
L’essayiste et politologue Guillaume Bigot revient, pour Boulevard Voltaire, sur les conséquences du conflit ukrainien, à l’aune de l’élection présidentielle française. Cela fait plusieurs jours que
Alors que l’Ukraine flambe, que la France est toujours le pays le plus riche du tiers-monde et que nous portons toujours des masques dans le métro, ça fait du bien de se recentrer sur les vrais sujets…
C’est par une lettre publiée dans Le Parisien et plusieurs titres de la presse quotidienne régionale que le Président sortant a annoncé sa candidature…
« Vous n’êtes pas obligés de porter ces masques. S’il vous plaît, enlevez-les. Honnêtement, ça ne fait rien du tout. Donc si vous voulez le porter, très bien, mais c’est ridicule. »
Un débat riche, dense, frontal, qui bouscule toutes les convictions, n’épargne personne et ouvre sur la complexité des origines de la tragédie ukrainienne.
Il y a Mélenchon, bien sûr, donné autour de 12 % et dont une certaine gauche rêve de le voir rafler la mise
À cette altitude de responsabilité diplomatique, tout homme d’État est en apesanteur. L’homme est trop haut dans le ciel ukrainien pour se sentir concerné par les enjeux mesquins d’une élection bêtement nationale.
Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.
Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.
Si l’on était plus chrétien, on allumerait des cierges pour Valérie Pécresse partie, pleins phares et pied au plancher, droit dans le mur. Seulement voilà, il y a un temps pour tout : la prière et le rire ; voire même la réflexion.
Si Marine Le Pen affecte un recul quant à la décision de sa nièce en considérant que « c’est un choix personnel », elle sait cependant que ce ralliement profiterait indéniablement à Eric Zemmour. Reste à évaluer l’impact de ce « coup dur ».
Christiane Taubira n’avait rassemblé, à ce jour, que 181 signatures d’élus, contre les 500 signatures requises pour se présenter à la présidentielle.
Comment peut-on promettre la paix à des kilomètres de nos frontières sans mettre en place tous les moyens nécessaires afin de la préserver dans nos villes ?
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
Il y a encore quelques jours, Éric Zemmour et Marine Le Pen alertaient l’opinion sur leurs difficultés à obtenir le précieux sésame. Ils avaient dû interrompre leur campagne pour se concentrer sur la récolte des parrainages. Un effort qui a porté ses fruits.
Guerre économique et financière totale. Mais pas que. Guerre psychologique et symbolique totale.
Nathalie Elimas ne sera pas remplacée au gouvernement.
C’était d’ailleurs lors d’une interview de Valérie Pécresse dans les locaux de Boulevard Voltaire que la solution avait émergé : un accord entre tous les candidats de droite.
Tout plein de symboles : un Président en mouvement, un Président humain puisqu’il aime les bêtes. Bref, le Président qu’il nous faut.
C’est donc un choix stratégique qu’a fait la France en conservant un dialogue avec la Russie, moyen incontournable d’aboutir à une désescalade des tensions.
Oui, les choses peuvent très mal finir si nous reconduisons Emmanuel Macron…
Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.
Les hommes déposent les femmes et les enfants à la frontière et, après un dernier baiser, repartent pour défendre leur patrie.
De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.
Sandrine Rousseau s’est fait exclure de la campagne de Yannick Jadot à la suite de ses propos très critiques à l’égard de la campagne de ce dernier, affirmant notamment, à propos des choix stratégiques, qu’« ils se plantent sur tout ! »
Les Français réclament un vrai débat d’idées, une confrontation « projet contre projet », pas un exercice d’autosatisfaction simplement couché sur le papier.
Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.
Sur place, « l’Afrique réelle » est très partagée sur ce sujet, divisée par des intérêts nationaux divergents voire concurrents.
L’essayiste et politologue Guillaume Bigot revient, pour Boulevard Voltaire, sur les conséquences du conflit ukrainien, à l’aune de l’élection présidentielle française. Cela fait plusieurs jours que
Alors que l’Ukraine flambe, que la France est toujours le pays le plus riche du tiers-monde et que nous portons toujours des masques dans le métro, ça fait du bien de se recentrer sur les vrais sujets…
C’est par une lettre publiée dans Le Parisien et plusieurs titres de la presse quotidienne régionale que le Président sortant a annoncé sa candidature…
« Vous n’êtes pas obligés de porter ces masques. S’il vous plaît, enlevez-les. Honnêtement, ça ne fait rien du tout. Donc si vous voulez le porter, très bien, mais c’est ridicule. »
Un débat riche, dense, frontal, qui bouscule toutes les convictions, n’épargne personne et ouvre sur la complexité des origines de la tragédie ukrainienne.
Il y a Mélenchon, bien sûr, donné autour de 12 % et dont une certaine gauche rêve de le voir rafler la mise
À cette altitude de responsabilité diplomatique, tout homme d’État est en apesanteur. L’homme est trop haut dans le ciel ukrainien pour se sentir concerné par les enjeux mesquins d’une élection bêtement nationale.
Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.
Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.
Si l’on était plus chrétien, on allumerait des cierges pour Valérie Pécresse partie, pleins phares et pied au plancher, droit dans le mur. Seulement voilà, il y a un temps pour tout : la prière et le rire ; voire même la réflexion.
Si Marine Le Pen affecte un recul quant à la décision de sa nièce en considérant que « c’est un choix personnel », elle sait cependant que ce ralliement profiterait indéniablement à Eric Zemmour. Reste à évaluer l’impact de ce « coup dur ».
Christiane Taubira n’avait rassemblé, à ce jour, que 181 signatures d’élus, contre les 500 signatures requises pour se présenter à la présidentielle.
Comment peut-on promettre la paix à des kilomètres de nos frontières sans mettre en place tous les moyens nécessaires afin de la préserver dans nos villes ?
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
Il y a encore quelques jours, Éric Zemmour et Marine Le Pen alertaient l’opinion sur leurs difficultés à obtenir le précieux sésame. Ils avaient dû interrompre leur campagne pour se concentrer sur la récolte des parrainages. Un effort qui a porté ses fruits.
Guerre économique et financière totale. Mais pas que. Guerre psychologique et symbolique totale.