Politique
Si l’équipe Macron retient sérieusement l’hypothèse d’un second tour face à Éric Zemmour, avant même la publication de ce sondage, c’est qu’elle constitue bien un tournant dans la campagne.
Peut-être que la démocratie, c’est faire confiance au peuple, au lieu d’utiliser l’appareil d’État pour prolonger artificiellement un système à bout de souffle.
Emmanuel Macron conduit la France d’échecs en échecs, il n’est plus crédible, c’est la raison pourquoi il diffère le plus possible l’annonce de sa candidature.
Nicolas Bay, député au Parlement européen, ancien membre du bureau exécutif du Rassemblement national, quitte la campagne de Marine Le Pen pour rejoindre celle d’Éric
« Sur la laïcité, nous n’avons aucune leçon à recevoir, a ajouté Bassem Asseh, et surtout pas de la part de ceux qui ont soutenu la Manif pour tous ! »
On a ainsi appris qu’il soutenait « le combat des hijabeuses », ces joueuses de foot qui réclament de pouvoir porter le voile pendant leurs compétitions, chose que refuse la FFF.
Tel qu’il se doit, cette déclaration fait son petit effet, la candidate « inutile » s’étranglant devant les micros de Radio J.
LR de rien, le coaching a su révéler le tempérament de feu de la femme politique, son aptitude à chanter un discours plutôt que le clamer.
À 53 jours du premier tour, Éric Zemmour était amené à comparaître devant les pensionnaires de l’émission « C à vous ».
À l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre.
Certes, il en faut du bagout pour aller décrocher ces fichues 500 signatures. Et certains s’y emploient parfois avec plus d’énergie que d’autres.
Du côté de nos voisins européens, la situation est plus réjouissante. Après le Danemark, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ce sont l’Autriche et la Suisse qui lèvent les restrictions.
Macron indique ainsi la voie à suivre s’il est réélu : abandonner l’assimilation et s’engager progressivement vers un modèle multiculturaliste anglo-saxon de type canadien.
Emmanuel Macron vient d’annoncer le retrait de la France et de ses partenaires, qui quitteront le Mali dans les prochains mois.
Le Président préside et c’est aux Français de se hisser à sa hauteur. Pour les aider à le rejoindre, phare de la pensée, il publie ce 17 février un essai intitulé La France vue par Emmanuel Macron.
Tout au long de ces quatre mois de crise, les dirigeants américains auront soufflé sur les braises, Biden en tête.
Combien de fois a-t-on entendu les bonnes consciences qui saturent les antennes publiques se plaindre du machisme dans le milieu politique ? On ne cite jamais, dans ces cas-là, l’exemple de Marine Le Pen.
Dans l’infini registre « l’inénarrable objectivité du secteur public », connaissez-vous le billet journalier de France Info « Entre les lignes » du « politologue et chroniqueur » Clément Viktorovitch ?
Tous les candidats à l’Élysée, grands ou petits, étaient invités mais les candidats de gauche ont décliné, sauf Fabien Roussel qui, comme Marine Le Pen, a proposé l’envoi d’un ambassadeur. Macron n’a pas répondu.
Lors d’un entretien qu’il a accordé au magazine Elle sur la place des femmes, Éric Zemmour a laissé entrevoir la nomination possible de Marion Maréchal
Accepter, comme ligne de conduite politique, de suivre le diktat moral de la gauche qui prétend édicter des interdits en termes d’alliance, c’est concourir à sa propre perte en semant la confusion dans l’électorat.
La déconnexion entre les hommes d’Église et leurs fidèles semble, au regard de ce sondage, irrémédiablement consommée.
Le candidat Reconquête a, quant à lui, fait part de sa disponibilité pour un éventuel débat avec Christiane Taubira : « C’est quand vous voulez, Madame Taubira. »
La discrétion du candidat au lendemain de ce rendez-vous majeur peut surprendre. En réalité, son équipe est partagée sur la publicité à donner à ce coup préparé de longue date.
Avec un sens de l’humour qu’on ne lui connaissait pas, le quotidien 20 Minutes affirme : « Les choses ne se présentent pas bien pour Christiane Taubira. » Honnêtement, on ne voit pas pourquoi.
Éric Zemmour en passe de se qualifier pour le second tour ?
Pécresse répète comme un mantra sa « furieuse envie » de faire des réformes et Frédéric Lemoine dit la rejoindre « pour que les choses changent ». « Tout changer pour que rien ne change », la devise des élites libérales.
Si l’équipe Macron retient sérieusement l’hypothèse d’un second tour face à Éric Zemmour, avant même la publication de ce sondage, c’est qu’elle constitue bien un tournant dans la campagne.
Peut-être que la démocratie, c’est faire confiance au peuple, au lieu d’utiliser l’appareil d’État pour prolonger artificiellement un système à bout de souffle.
Emmanuel Macron conduit la France d’échecs en échecs, il n’est plus crédible, c’est la raison pourquoi il diffère le plus possible l’annonce de sa candidature.
Nicolas Bay, député au Parlement européen, ancien membre du bureau exécutif du Rassemblement national, quitte la campagne de Marine Le Pen pour rejoindre celle d’Éric
« Sur la laïcité, nous n’avons aucune leçon à recevoir, a ajouté Bassem Asseh, et surtout pas de la part de ceux qui ont soutenu la Manif pour tous ! »
On a ainsi appris qu’il soutenait « le combat des hijabeuses », ces joueuses de foot qui réclament de pouvoir porter le voile pendant leurs compétitions, chose que refuse la FFF.
Tel qu’il se doit, cette déclaration fait son petit effet, la candidate « inutile » s’étranglant devant les micros de Radio J.
LR de rien, le coaching a su révéler le tempérament de feu de la femme politique, son aptitude à chanter un discours plutôt que le clamer.
À 53 jours du premier tour, Éric Zemmour était amené à comparaître devant les pensionnaires de l’émission « C à vous ».
À l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre.
Certes, il en faut du bagout pour aller décrocher ces fichues 500 signatures. Et certains s’y emploient parfois avec plus d’énergie que d’autres.
Du côté de nos voisins européens, la situation est plus réjouissante. Après le Danemark, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ce sont l’Autriche et la Suisse qui lèvent les restrictions.
Macron indique ainsi la voie à suivre s’il est réélu : abandonner l’assimilation et s’engager progressivement vers un modèle multiculturaliste anglo-saxon de type canadien.
Emmanuel Macron vient d’annoncer le retrait de la France et de ses partenaires, qui quitteront le Mali dans les prochains mois.
Le Président préside et c’est aux Français de se hisser à sa hauteur. Pour les aider à le rejoindre, phare de la pensée, il publie ce 17 février un essai intitulé La France vue par Emmanuel Macron.
Tout au long de ces quatre mois de crise, les dirigeants américains auront soufflé sur les braises, Biden en tête.
Combien de fois a-t-on entendu les bonnes consciences qui saturent les antennes publiques se plaindre du machisme dans le milieu politique ? On ne cite jamais, dans ces cas-là, l’exemple de Marine Le Pen.
Dans l’infini registre « l’inénarrable objectivité du secteur public », connaissez-vous le billet journalier de France Info « Entre les lignes » du « politologue et chroniqueur » Clément Viktorovitch ?
Tous les candidats à l’Élysée, grands ou petits, étaient invités mais les candidats de gauche ont décliné, sauf Fabien Roussel qui, comme Marine Le Pen, a proposé l’envoi d’un ambassadeur. Macron n’a pas répondu.
Lors d’un entretien qu’il a accordé au magazine Elle sur la place des femmes, Éric Zemmour a laissé entrevoir la nomination possible de Marion Maréchal
Accepter, comme ligne de conduite politique, de suivre le diktat moral de la gauche qui prétend édicter des interdits en termes d’alliance, c’est concourir à sa propre perte en semant la confusion dans l’électorat.
La déconnexion entre les hommes d’Église et leurs fidèles semble, au regard de ce sondage, irrémédiablement consommée.
Le candidat Reconquête a, quant à lui, fait part de sa disponibilité pour un éventuel débat avec Christiane Taubira : « C’est quand vous voulez, Madame Taubira. »
La discrétion du candidat au lendemain de ce rendez-vous majeur peut surprendre. En réalité, son équipe est partagée sur la publicité à donner à ce coup préparé de longue date.
Avec un sens de l’humour qu’on ne lui connaissait pas, le quotidien 20 Minutes affirme : « Les choses ne se présentent pas bien pour Christiane Taubira. » Honnêtement, on ne voit pas pourquoi.
Éric Zemmour en passe de se qualifier pour le second tour ?
Pécresse répète comme un mantra sa « furieuse envie » de faire des réformes et Frédéric Lemoine dit la rejoindre « pour que les choses changent ». « Tout changer pour que rien ne change », la devise des élites libérales.