Politique
Dire qu’il est l’avatar d’un parti qui produisit Chirac et Sarkozy. On peut penser ce que l’on veut de leur cohérence et de leur sincérité, ils avaient au moins… comment dire… une énergie.
La gifle infligée à Emmanuel Macron est un geste condamnable. Néanmoins, la désacralisation de sa fonction a contribué au passage à l’acte.
On savait depuis longtemps que les électeurs de l’ex-Front national puent des pieds, sentent le pâté et la fenaison sous les bras, qu’ils sont crétins et avinés, mais « sataniques », ça, c’est une nouveauté !
La droite se délite jour après jour, mois après mois, année après année. Christian Jacob vient de faire part de sa dernière trouvaille pour désigner
Le vivant sera désormais soumis aux changements aléatoires de la volonté, du seul désir individuel.
Et là, plus qu’un inventaire à la Prévert, c’est le catalogue des Trois Suisses que l’on redoute.
Emmanuel Macron voulait prendre le pouls des Français, il a eu sa réponse.
Pas besoin de combattre l’insécurité, puisqu’on vous dit qu’elle n’existe pas !
Emmanuel Macron peut se dresser en rempart de la nation réunie, en majesté bienveillante prenant de la hauteur par rapport à l’événement.
Après de Gaulle, la Ve République a vu s’ouvrir devant elle un escalier que ses successeurs n’ont pas cessé de descendre.
Gifler le monarque est, certes, hautement symbolique, mais si l’altitude institutionnelle de la cible appelle une sanction proportionnée, la signification du geste est lourde de sens…
De toute façon, que ce soit avant ou après la présidentielle, il faudra faire une réforme d’ampleur.
Julien Aubert revient, pour les lecteurs de Boulevard Voltaire, sur cette idée qu’il a exprimée de faire participer Éric Zemmour aux primaires de la droite.
On disait Mélenchon fin stratège, rusé, matois et charismatique. Il va sortir de cet épisode vieux, fatigué, has been et ridicule.
Un peu partout, on pousse des cris d’orfraie. C’est la République qu’on gifle…
Jean-Luc Mélenchon voit des complots partout : instrumentalisation d’attentats en vue de l’élection présidentielle, sabotage d’Orange, vidéo de Papacito et jusqu’à cette gifle donnée au
Et puis il peut encore changer d’avis. Et puis sa tante pourrait… Stop !
Ira ou n’ira pas ? La candidature éventuelle d’Éric Zemmour à la présidentielle suscite l’engouement médiatique. Quelles sont ses chances ? Et quelles en seraient
C’était de la belle ouvrage, hier après-midi, à l’Assemblée, pour la troisième lecture de la loi bioéthique. Ils étaient là, débitant au micro, derrière leurs masques, leur leçon bioéthique pour les nuls.
Tour de France d’Emmanuel Macron, élections régionales, progression du Rassemblement national, mais aussi éventuelle candidature d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle de 2022 : Jean-Marie Le
À l’heure où l’on prône sans cesse la défense de la nature, il serait temps que l’on défende aussi et surtout la nature humaine qui a le droit, elle aussi, d’échapper à la mort programmée.
LR, appendice de LREM, n’a plus de raison d’être. Il ne faut pas laisser orpheline la partie droite de ses électeurs.
Se pencher sur la longue « histoire » du Front national, certes, mais faire de même de celle de Bruno Le Maire n’est pas inintéressant non plus.
C’est quoi, au juste, le fond de la pensée mélenchonnesque : l’Élysée qui fait passer des castings terroristes ?
Là où ça devient plus intéressant, c’est que ces juristes soutiennent qu’une élection, quel que soit son niveau, n’est rien d’autre qu’un accord entre le peuple et les représentants qu’il désigne pour assurer la défense de ses intérêts.
N’est-on pas d’accord pour dire qu’on ne souhaite à personne d’être orphelin ?
Ainsi, faudrait-il que les homélies des prêtres soient de purs discours républicains, qui sacrifient à la doxa ambiante sur l’avortement, l’homosexualité et l’euthanasie ?
Bon, ça commence à sentir le roussi, pour François Bayrou et ses amis.
Dire qu’il est l’avatar d’un parti qui produisit Chirac et Sarkozy. On peut penser ce que l’on veut de leur cohérence et de leur sincérité, ils avaient au moins… comment dire… une énergie.
La gifle infligée à Emmanuel Macron est un geste condamnable. Néanmoins, la désacralisation de sa fonction a contribué au passage à l’acte.
On savait depuis longtemps que les électeurs de l’ex-Front national puent des pieds, sentent le pâté et la fenaison sous les bras, qu’ils sont crétins et avinés, mais « sataniques », ça, c’est une nouveauté !
La droite se délite jour après jour, mois après mois, année après année. Christian Jacob vient de faire part de sa dernière trouvaille pour désigner
Le vivant sera désormais soumis aux changements aléatoires de la volonté, du seul désir individuel.
Et là, plus qu’un inventaire à la Prévert, c’est le catalogue des Trois Suisses que l’on redoute.
Emmanuel Macron voulait prendre le pouls des Français, il a eu sa réponse.
Pas besoin de combattre l’insécurité, puisqu’on vous dit qu’elle n’existe pas !
Emmanuel Macron peut se dresser en rempart de la nation réunie, en majesté bienveillante prenant de la hauteur par rapport à l’événement.
Après de Gaulle, la Ve République a vu s’ouvrir devant elle un escalier que ses successeurs n’ont pas cessé de descendre.
Gifler le monarque est, certes, hautement symbolique, mais si l’altitude institutionnelle de la cible appelle une sanction proportionnée, la signification du geste est lourde de sens…
De toute façon, que ce soit avant ou après la présidentielle, il faudra faire une réforme d’ampleur.
Julien Aubert revient, pour les lecteurs de Boulevard Voltaire, sur cette idée qu’il a exprimée de faire participer Éric Zemmour aux primaires de la droite.
On disait Mélenchon fin stratège, rusé, matois et charismatique. Il va sortir de cet épisode vieux, fatigué, has been et ridicule.
Un peu partout, on pousse des cris d’orfraie. C’est la République qu’on gifle…
Jean-Luc Mélenchon voit des complots partout : instrumentalisation d’attentats en vue de l’élection présidentielle, sabotage d’Orange, vidéo de Papacito et jusqu’à cette gifle donnée au
Et puis il peut encore changer d’avis. Et puis sa tante pourrait… Stop !
Ira ou n’ira pas ? La candidature éventuelle d’Éric Zemmour à la présidentielle suscite l’engouement médiatique. Quelles sont ses chances ? Et quelles en seraient
C’était de la belle ouvrage, hier après-midi, à l’Assemblée, pour la troisième lecture de la loi bioéthique. Ils étaient là, débitant au micro, derrière leurs masques, leur leçon bioéthique pour les nuls.
Tour de France d’Emmanuel Macron, élections régionales, progression du Rassemblement national, mais aussi éventuelle candidature d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle de 2022 : Jean-Marie Le
À l’heure où l’on prône sans cesse la défense de la nature, il serait temps que l’on défende aussi et surtout la nature humaine qui a le droit, elle aussi, d’échapper à la mort programmée.
LR, appendice de LREM, n’a plus de raison d’être. Il ne faut pas laisser orpheline la partie droite de ses électeurs.
Se pencher sur la longue « histoire » du Front national, certes, mais faire de même de celle de Bruno Le Maire n’est pas inintéressant non plus.
C’est quoi, au juste, le fond de la pensée mélenchonnesque : l’Élysée qui fait passer des castings terroristes ?
Là où ça devient plus intéressant, c’est que ces juristes soutiennent qu’une élection, quel que soit son niveau, n’est rien d’autre qu’un accord entre le peuple et les représentants qu’il désigne pour assurer la défense de ses intérêts.
N’est-on pas d’accord pour dire qu’on ne souhaite à personne d’être orphelin ?
Ainsi, faudrait-il que les homélies des prêtres soient de purs discours républicains, qui sacrifient à la doxa ambiante sur l’avortement, l’homosexualité et l’euthanasie ?
Bon, ça commence à sentir le roussi, pour François Bayrou et ses amis.