Politique
L’année 2020 a été éprouvante, pour les Français. La gestion de la pandémie a été l’occasion de constater les errements du pouvoir macronien : injonctions
En claquant courageusement la porte du projet de CNI, Chems-Eddine Hafiz lance à son tour l’alerte…
Avec un macronisme défait et des LR en phase post-traumatique, il y a depuis longtemps un boulevard qui s’est ouvert. Pour le moment, celui des occasions perdues.
Toujours ni pour ni contre, la tête entre les deux oreilles et le cul entre deux chaises. Au centre.
Marion Maréchal a tôt désamorcé la bombinette…
Pourquoi ces roulements de tambour si le vaccin est, comme on le répète, sans danger ?
En cette période de fêtes, un document officiel est passé relativement inaperçu : le schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés.
Il est évident qu’une majorité des Français ne sait plus où elle se situe politiquement parlant et ne se reconnaît plus dans les partis traditionnels.
En fin de compte, la médiocrité n’est pas seulement devenue la norme. En république politicienne parvenue, elle est devenue la condition sine qua non pour exister.
Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.
L’homme qui doit diriger la France n’a pas à s’interroger sur ce que sont les Français. Un chef d’État n’est pas un sociologue.
Une affaire à suivre. Mais qui s’ajoute à toutes celles qui démontrent, par leur dénouement tragique, les dysfonctionnements de notre système judiciaire et la défaillance de l’État.
Certaines municipalités avaient trouvé un filon pour compenser la fin de la taxe d’habitation et augmenter la masse des impôts perçus.
Franchement, là, ça devient insupportable. Il y a aurait donc un privilège blanc dans ce pays.
Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».
Il est temps que le président du sénat et les leaders de l’opposition aillent exiger de Mme Le Pen qu’elle leur remette sa démission.
Il est grand temps que la vie reprenne, quitte à accepter la mort qui est, au demeurant, inéluctable.
La Populophobie. Le gouvernement de l’élite, par l’élite et pour l’élite est le titre du dernier ouvrage de Guillaume Bigot. Il vient de donner un
Cette campagne ne débute vraiment pas sous les meilleurs auspices…
Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la Fonction publique, finit par lâcher le morceau : « On n’est peut-être pas réélu avec un bilan, mais avec un bilan, on peut se représenter. »
Après la pose dans le jardin de Matignon, Madame a raccompagné Monsieur à son bureau et attaché le chien. Désormais, la gestion de la crise sanitaire devrait être plus cohérente. Ne reste plus qu’à retrouver les lunettes.
Lisez cet entretien, qui est de haute volée et d’une parfaite mauvaise foi.
Quoi qu’il en soit, ce mélange d’amateurisme et de cynisme semble être devenu, chez ces gens, une véritable marque de fabrique.
Le premier communiant Macron quitte alors son aube d’oisillon tombé du nid pour reprendre son habit de jeune loup carriériste au langage décomplexé.
Comme Miss France, il est Denormandie mais, en plus, il est ministre, Julien. De l’Agriculture, très précisément. Et par une de ces extensions de compétences dont la France a le secret, responsable également des animaux de compagnie…
Marion Maréchal dénonce, aussi bien sur la méthode que sur le fond, le projet de loi du gouvernement de pérennisation de l’état d’urgence sanitaire et
À Rome, sous la république, la dictature, à l’origine, ne pouvait excéder six mois…
Combien étaient-ils, des agapes élyséennes du 16 décembre dernier, maintenant tous punis, peut-être, de l’inconséquence de leur jeune chef ? On parierait qu’ils étaient 13
L’année 2020 a été éprouvante, pour les Français. La gestion de la pandémie a été l’occasion de constater les errements du pouvoir macronien : injonctions
En claquant courageusement la porte du projet de CNI, Chems-Eddine Hafiz lance à son tour l’alerte…
Avec un macronisme défait et des LR en phase post-traumatique, il y a depuis longtemps un boulevard qui s’est ouvert. Pour le moment, celui des occasions perdues.
Toujours ni pour ni contre, la tête entre les deux oreilles et le cul entre deux chaises. Au centre.
Marion Maréchal a tôt désamorcé la bombinette…
Pourquoi ces roulements de tambour si le vaccin est, comme on le répète, sans danger ?
En cette période de fêtes, un document officiel est passé relativement inaperçu : le schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés.
Il est évident qu’une majorité des Français ne sait plus où elle se situe politiquement parlant et ne se reconnaît plus dans les partis traditionnels.
En fin de compte, la médiocrité n’est pas seulement devenue la norme. En république politicienne parvenue, elle est devenue la condition sine qua non pour exister.
Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.
L’homme qui doit diriger la France n’a pas à s’interroger sur ce que sont les Français. Un chef d’État n’est pas un sociologue.
Une affaire à suivre. Mais qui s’ajoute à toutes celles qui démontrent, par leur dénouement tragique, les dysfonctionnements de notre système judiciaire et la défaillance de l’État.
Certaines municipalités avaient trouvé un filon pour compenser la fin de la taxe d’habitation et augmenter la masse des impôts perçus.
Franchement, là, ça devient insupportable. Il y a aurait donc un privilège blanc dans ce pays.
Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».
Il est temps que le président du sénat et les leaders de l’opposition aillent exiger de Mme Le Pen qu’elle leur remette sa démission.
Il est grand temps que la vie reprenne, quitte à accepter la mort qui est, au demeurant, inéluctable.
La Populophobie. Le gouvernement de l’élite, par l’élite et pour l’élite est le titre du dernier ouvrage de Guillaume Bigot. Il vient de donner un
Cette campagne ne débute vraiment pas sous les meilleurs auspices…
Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la Fonction publique, finit par lâcher le morceau : « On n’est peut-être pas réélu avec un bilan, mais avec un bilan, on peut se représenter. »
Après la pose dans le jardin de Matignon, Madame a raccompagné Monsieur à son bureau et attaché le chien. Désormais, la gestion de la crise sanitaire devrait être plus cohérente. Ne reste plus qu’à retrouver les lunettes.
Lisez cet entretien, qui est de haute volée et d’une parfaite mauvaise foi.
Quoi qu’il en soit, ce mélange d’amateurisme et de cynisme semble être devenu, chez ces gens, une véritable marque de fabrique.
Le premier communiant Macron quitte alors son aube d’oisillon tombé du nid pour reprendre son habit de jeune loup carriériste au langage décomplexé.
Comme Miss France, il est Denormandie mais, en plus, il est ministre, Julien. De l’Agriculture, très précisément. Et par une de ces extensions de compétences dont la France a le secret, responsable également des animaux de compagnie…
Marion Maréchal dénonce, aussi bien sur la méthode que sur le fond, le projet de loi du gouvernement de pérennisation de l’état d’urgence sanitaire et
À Rome, sous la république, la dictature, à l’origine, ne pouvait excéder six mois…
Combien étaient-ils, des agapes élyséennes du 16 décembre dernier, maintenant tous punis, peut-être, de l’inconséquence de leur jeune chef ? On parierait qu’ils étaient 13