Politique
Depuis que l’autre Manu, l’Amiénois, ce petit frère en socialisme qu’il croyait toujours battre, lui a damé le pion élyséen, Manu Valls cherchait, en désespoir de cause, la porte d’entrée du couloir médiatique.
Trois jours après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, les propositions politiques ne manquent pas : expulsion de 200 « fichés S », suppression du CCIF (Collectif contre
On le sent dans les profondeurs du pays : les mots ne suffisent plus, il faut des actes…
Comme le héros de Daudet, nos Présidents se contentent de parler, d’annoncer, l’air grave, ils disent ce qu’il feront mais ils ne font pas ce qu’ils ont dit.
En face, ils doivent en trembler d’avance.
On est en droit de se demander si ces fiers-à-bras ne se moquent pas de nous.
Enfant, je n’aurais jamais imaginé, sauf dans mes pires cauchemars, voir dans ma douce France ce qui s’est passé vendredi.
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais
Élisabeth Borne joue relativement (tout devient relatif, depuis que la majorité l’est !) sur du velours.
Tous les maux du pays de France lui ont été imputés, et c’est tout juste si on ne l’a pas traité de mangeur d’enfants ou encore de vampire suceur du sang des immigrés…
Une société déchirée, à présent, par tous les clivages : juniors contre seniors, cadres contre fonctionnaires, caïds contre policiers, covidologues contre covidologues, etc.
Il est fort à penser que les racailles à mortier doivent trembler.
Donald Trump, en pleine forme après avoir été guéri du coronavirus, enchaîne actuellement les meetings dans plusieurs États clés, à moins de trois semaines de l’élection présidentielle.
Face à la menace qui nous étreint aujourd’hui, il y deux réponses : l’une politique, qui se fait sans cesse plus attendre, l’autre morale et civilisationnelle, qui dépend de nous tous.
Les démocrates ne sortiront pas indemnes de la mise en libre accès des 35.500 courriels (1.800 pages, dont 86 sur la Libye) envoyés par Hillary Clinton, chef des Affaires étrangères de 2009 à 2013.
Il faut maintenant tirer la leçon de ce crime et de nos échecs. Que fait-on ? Les Français ont des questions précises
Les enseignants seront-ils contraints, pour ne pas se mettre en danger, de céder au chantage ?
Le Président prétend que l’assassin islamiste voulait abattre la République. Il en sait quoi ?
Il leur faudra encore combien de crimes de ce genre pour enfin ouvrir les yeux et défendre la France éternelle ?
Devant cette passivité à répétition de l’État face à la menace islamiste, les sempiternels et péremptoires discours de matamore sur la fermeté sont ridicules, sinon odieux, de la part de ceux qui, depuis longtemps, ouvrent à n’importe qui les frontières de la France…
Aucune des politiques éducatives récentes ne vient lutter contre les violences faites aux enseignants.
Ce n’est pas seulement la lame de ce terroriste qui a assassiné cet enseignant. Ce sont les renoncements multiples et de toute sorte.
Nos policiers et gendarmes ne sont pas là pour ça.
N’importe quel clampin qui se sent offensé fait procès au premier quidam venu.
Tout juste si la police ne sera pas autorisée à frapper à votre porte pour vérifier que vous n’êtes pas plus de six autour de la table.
Les militaires sont, désormais, confrontés à la même situation que les policiers qui arrêtent les voyous mais les retrouvent rapidement dans la rue.
Après quatre jours d’audition et d’un interrogatoire de plus de quarante heures jusqu’à lundi soir, Nicolas Sarkozy a été mis en examen…
C’est la démesure, celle qui identifiait les tyrans selon les Grecs anciens, qui marque la présidence actuelle.
Depuis que l’autre Manu, l’Amiénois, ce petit frère en socialisme qu’il croyait toujours battre, lui a damé le pion élyséen, Manu Valls cherchait, en désespoir de cause, la porte d’entrée du couloir médiatique.
Trois jours après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, les propositions politiques ne manquent pas : expulsion de 200 « fichés S », suppression du CCIF (Collectif contre
On le sent dans les profondeurs du pays : les mots ne suffisent plus, il faut des actes…
Comme le héros de Daudet, nos Présidents se contentent de parler, d’annoncer, l’air grave, ils disent ce qu’il feront mais ils ne font pas ce qu’ils ont dit.
En face, ils doivent en trembler d’avance.
On est en droit de se demander si ces fiers-à-bras ne se moquent pas de nous.
Enfant, je n’aurais jamais imaginé, sauf dans mes pires cauchemars, voir dans ma douce France ce qui s’est passé vendredi.
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais
Élisabeth Borne joue relativement (tout devient relatif, depuis que la majorité l’est !) sur du velours.
Tous les maux du pays de France lui ont été imputés, et c’est tout juste si on ne l’a pas traité de mangeur d’enfants ou encore de vampire suceur du sang des immigrés…
Une société déchirée, à présent, par tous les clivages : juniors contre seniors, cadres contre fonctionnaires, caïds contre policiers, covidologues contre covidologues, etc.
Il est fort à penser que les racailles à mortier doivent trembler.
Donald Trump, en pleine forme après avoir été guéri du coronavirus, enchaîne actuellement les meetings dans plusieurs États clés, à moins de trois semaines de l’élection présidentielle.
Face à la menace qui nous étreint aujourd’hui, il y deux réponses : l’une politique, qui se fait sans cesse plus attendre, l’autre morale et civilisationnelle, qui dépend de nous tous.
Les démocrates ne sortiront pas indemnes de la mise en libre accès des 35.500 courriels (1.800 pages, dont 86 sur la Libye) envoyés par Hillary Clinton, chef des Affaires étrangères de 2009 à 2013.
Il faut maintenant tirer la leçon de ce crime et de nos échecs. Que fait-on ? Les Français ont des questions précises
Les enseignants seront-ils contraints, pour ne pas se mettre en danger, de céder au chantage ?
Le Président prétend que l’assassin islamiste voulait abattre la République. Il en sait quoi ?
Il leur faudra encore combien de crimes de ce genre pour enfin ouvrir les yeux et défendre la France éternelle ?
Devant cette passivité à répétition de l’État face à la menace islamiste, les sempiternels et péremptoires discours de matamore sur la fermeté sont ridicules, sinon odieux, de la part de ceux qui, depuis longtemps, ouvrent à n’importe qui les frontières de la France…
Aucune des politiques éducatives récentes ne vient lutter contre les violences faites aux enseignants.
Ce n’est pas seulement la lame de ce terroriste qui a assassiné cet enseignant. Ce sont les renoncements multiples et de toute sorte.
Nos policiers et gendarmes ne sont pas là pour ça.
N’importe quel clampin qui se sent offensé fait procès au premier quidam venu.
Tout juste si la police ne sera pas autorisée à frapper à votre porte pour vérifier que vous n’êtes pas plus de six autour de la table.
Les militaires sont, désormais, confrontés à la même situation que les policiers qui arrêtent les voyous mais les retrouvent rapidement dans la rue.
Après quatre jours d’audition et d’un interrogatoire de plus de quarante heures jusqu’à lundi soir, Nicolas Sarkozy a été mis en examen…
C’est la démesure, celle qui identifiait les tyrans selon les Grecs anciens, qui marque la présidence actuelle.