Politique
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
À chacun sa vérité, disait Pirandello. À chacun sa morale, renchérit Dupond-Moretti…
Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.
Didier Maïsto a publié, en mars dernier, Passager clandestin, où il raconte son expérience des 18 derniers mois, en particulier aux côtés des gilets jaunes.
Nos institutions perdent de leur souveraineté, l’État n’exerce plus le monopole de la répression légitime sur son propre territoire.
Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.
Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?
Comme toujours, il s’agit d’une affaire de doigté. Pourtant, une fois de plus, Benjamin Griveaux n’a pas eu la main tout à fait heureuse dans le choix de ses nouvelles occupations en solitaire.
Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.
Macron aimerait voir l’élection se dérouler tant que la situation est encore mitigée, car dans deux ans, elle sera probablement si catastrophique qu’il se voit déjà conspué dans les urnes, voire dans l’incapacité de se représenter.
Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel
Je crois que les minorités activistes kidnappent abusivement l’espace public et agissent comme un poison lent pour la démocratie.
Ça, alors ! Serions-nous en présence d’une candidate biodégradable qui tente de séduire la clientèle écolo ?
Si le processus est enclenché, la campagne électorale sera éclair.
Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner…
On se rappelle avec quelle sévérité étaient traités les instigateurs des manifestations de gilets jaunes ! Quel effondrement intellectuel et moral peut-il conduire des ministres à dissoudre la loi, l’ordre, la raison dans le bain de l’émotion ?
Donc, Christophe Castaner is back, comme on dit. Et là, c’est la farandole des desserts, le festival de printemps, le feu d’artifice du 14 Juillet.
L’absence de prétention de la gardienne de l’égalité hommes-femmes s’était exprimée auparavant dans les colonnes du Parisien, où elle avait confié vouloir simplement « porter davantage de choses ». Un mental de déménageuse…
Alors que de nouvelles manifestations sont prévues, mardi, pour protester contre les violences policières, Christophe Castaner a donné une conférence de presse, lundi après-midi, sur
On attend d’un chef de l’État qu’il prévoie, qu’il anticipe, qu’il ait une certaine distanciation par rapport aux événements et quee par sa parole, il rétablisse la vérité et sache faire preuve d’autorité en de telles circonstances.
La constance avec laquelle le gouvernement a fait les mauvais choix se traduit par un désastre économique…
Benjamin Cauchy, qui fut un porte-parole des gilets jaunes, aujourd’hui à Debout la France, réagit aux manifestations antiracistes qui se multiplient en France après la
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Notre ministre, « responsable » de l’économie, donc a priori au fait des problèmes de ce secteur, semble courir inlassablement après la chute du PIB.
Il est de curieuses priorités quand on sait le mode dégradé de fonctionnement de l’État depuis qu’une crise sanitaire a montré son incapacité flagrante à s’occuper de la chose publique.
Pour son déconfinement, la Macronie a opté pour un véritable festival off. Et, pour une fois, le spectacle n’est pas assuré par la porte-parole Sibeth Ndiaye.
Certains veulent même aller plus loin en éradiquant la racine du mal.
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
À chacun sa vérité, disait Pirandello. À chacun sa morale, renchérit Dupond-Moretti…
Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.
Didier Maïsto a publié, en mars dernier, Passager clandestin, où il raconte son expérience des 18 derniers mois, en particulier aux côtés des gilets jaunes.
Nos institutions perdent de leur souveraineté, l’État n’exerce plus le monopole de la répression légitime sur son propre territoire.
Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.
Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?
Comme toujours, il s’agit d’une affaire de doigté. Pourtant, une fois de plus, Benjamin Griveaux n’a pas eu la main tout à fait heureuse dans le choix de ses nouvelles occupations en solitaire.
Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.
Macron aimerait voir l’élection se dérouler tant que la situation est encore mitigée, car dans deux ans, elle sera probablement si catastrophique qu’il se voit déjà conspué dans les urnes, voire dans l’incapacité de se représenter.
Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel
Je crois que les minorités activistes kidnappent abusivement l’espace public et agissent comme un poison lent pour la démocratie.
Ça, alors ! Serions-nous en présence d’une candidate biodégradable qui tente de séduire la clientèle écolo ?
Si le processus est enclenché, la campagne électorale sera éclair.
Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner…
On se rappelle avec quelle sévérité étaient traités les instigateurs des manifestations de gilets jaunes ! Quel effondrement intellectuel et moral peut-il conduire des ministres à dissoudre la loi, l’ordre, la raison dans le bain de l’émotion ?
Donc, Christophe Castaner is back, comme on dit. Et là, c’est la farandole des desserts, le festival de printemps, le feu d’artifice du 14 Juillet.
L’absence de prétention de la gardienne de l’égalité hommes-femmes s’était exprimée auparavant dans les colonnes du Parisien, où elle avait confié vouloir simplement « porter davantage de choses ». Un mental de déménageuse…
Alors que de nouvelles manifestations sont prévues, mardi, pour protester contre les violences policières, Christophe Castaner a donné une conférence de presse, lundi après-midi, sur
On attend d’un chef de l’État qu’il prévoie, qu’il anticipe, qu’il ait une certaine distanciation par rapport aux événements et quee par sa parole, il rétablisse la vérité et sache faire preuve d’autorité en de telles circonstances.
La constance avec laquelle le gouvernement a fait les mauvais choix se traduit par un désastre économique…
Benjamin Cauchy, qui fut un porte-parole des gilets jaunes, aujourd’hui à Debout la France, réagit aux manifestations antiracistes qui se multiplient en France après la
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Notre ministre, « responsable » de l’économie, donc a priori au fait des problèmes de ce secteur, semble courir inlassablement après la chute du PIB.
Il est de curieuses priorités quand on sait le mode dégradé de fonctionnement de l’État depuis qu’une crise sanitaire a montré son incapacité flagrante à s’occuper de la chose publique.
Pour son déconfinement, la Macronie a opté pour un véritable festival off. Et, pour une fois, le spectacle n’est pas assuré par la porte-parole Sibeth Ndiaye.
Certains veulent même aller plus loin en éradiquant la racine du mal.