Politique

« Je suis oiseau : voyez mes ailes ; je suis souris : vivent les rats », plaide la chauve-souris de la fable.
Et il faudrait pavoiser parce qu’on rouvre les écoles à la mi-juin…

Guillaume Bernard analyse, pour Boulevard Voltaire, l’allocution d’Emmanuel Macron de dimanche soir. https://www.youtube.com/watch?v=zaAeLlR2E1w

C’est donc un recul démocratique décisif, par la substitution d’un pouvoir judiciaire non élu à un pouvoir exécutif découlant du suffrage universel.

Manifestations contre le racisme, violences inouïes sur fond de communautarisme à Dijon (des membres de la communauté tchétchène sont venus venger l’un des leurs, agressé

Il y a eu, heureusement, l’affirmation du refus de toute repentance historique et nationale. Mais c’est peu.

Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », alors nous avons décidé d’agir.
Emmanuel Macron a terminé son allocution en annonçant qu’il nous parlerait de nouveau en juillet. Sur ce point, on peut le croire…

Une démission est irréversible.

La France est saisie de confusion mentale et de renversement de ses valeurs et de ses principes. C’est sidérant !

Pourquoi n’avons-nous pas entendu Jean-Marc Ayrault s’en prendre à Colbert entre 1977 et 2012 ?

Ils sont en train de tuer cette gauche républicaine et universaliste, cette gauche des Lumières qui se revendique de tous ces socialistes de la IIIe République.

Alors, qui ? Qui peut faire sortir ce pays et ce peuple de cette sorte d’apathie et de fatalisme ?

L’hystérie raciale en cours est en train de dépasser des sommets…

Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…

À chacun sa vérité, disait Pirandello. À chacun sa morale, renchérit Dupond-Moretti…

Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.

Didier Maïsto a publié, en mars dernier, Passager clandestin, où il raconte son expérience des 18 derniers mois, en particulier aux côtés des gilets jaunes.

Nos institutions perdent de leur souveraineté, l’État n’exerce plus le monopole de la répression légitime sur son propre territoire.

Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.

Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?

Comme toujours, il s’agit d’une affaire de doigté. Pourtant, une fois de plus, Benjamin Griveaux n’a pas eu la main tout à fait heureuse dans le choix de ses nouvelles occupations en solitaire.

Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.

Macron aimerait voir l’élection se dérouler tant que la situation est encore mitigée, car dans deux ans, elle sera probablement si catastrophique qu’il se voit déjà conspué dans les urnes, voire dans l’incapacité de se représenter.

Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel

Je crois que les minorités activistes kidnappent abusivement l’espace public et agissent comme un poison lent pour la démocratie.

Ça, alors ! Serions-nous en présence d’une candidate biodégradable qui tente de séduire la clientèle écolo ?

Si le processus est enclenché, la campagne électorale sera éclair.

« Je suis oiseau : voyez mes ailes ; je suis souris : vivent les rats », plaide la chauve-souris de la fable.
Et il faudrait pavoiser parce qu’on rouvre les écoles à la mi-juin…

Guillaume Bernard analyse, pour Boulevard Voltaire, l’allocution d’Emmanuel Macron de dimanche soir. https://www.youtube.com/watch?v=zaAeLlR2E1w

C’est donc un recul démocratique décisif, par la substitution d’un pouvoir judiciaire non élu à un pouvoir exécutif découlant du suffrage universel.

Manifestations contre le racisme, violences inouïes sur fond de communautarisme à Dijon (des membres de la communauté tchétchène sont venus venger l’un des leurs, agressé

Il y a eu, heureusement, l’affirmation du refus de toute repentance historique et nationale. Mais c’est peu.

Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », alors nous avons décidé d’agir.
Emmanuel Macron a terminé son allocution en annonçant qu’il nous parlerait de nouveau en juillet. Sur ce point, on peut le croire…

Une démission est irréversible.

La France est saisie de confusion mentale et de renversement de ses valeurs et de ses principes. C’est sidérant !

Pourquoi n’avons-nous pas entendu Jean-Marc Ayrault s’en prendre à Colbert entre 1977 et 2012 ?

Ils sont en train de tuer cette gauche républicaine et universaliste, cette gauche des Lumières qui se revendique de tous ces socialistes de la IIIe République.

Alors, qui ? Qui peut faire sortir ce pays et ce peuple de cette sorte d’apathie et de fatalisme ?

L’hystérie raciale en cours est en train de dépasser des sommets…

Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…

À chacun sa vérité, disait Pirandello. À chacun sa morale, renchérit Dupond-Moretti…

Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.

Didier Maïsto a publié, en mars dernier, Passager clandestin, où il raconte son expérience des 18 derniers mois, en particulier aux côtés des gilets jaunes.

Nos institutions perdent de leur souveraineté, l’État n’exerce plus le monopole de la répression légitime sur son propre territoire.

Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.

Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?

Comme toujours, il s’agit d’une affaire de doigté. Pourtant, une fois de plus, Benjamin Griveaux n’a pas eu la main tout à fait heureuse dans le choix de ses nouvelles occupations en solitaire.

Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.

Macron aimerait voir l’élection se dérouler tant que la situation est encore mitigée, car dans deux ans, elle sera probablement si catastrophique qu’il se voit déjà conspué dans les urnes, voire dans l’incapacité de se représenter.

Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel

Je crois que les minorités activistes kidnappent abusivement l’espace public et agissent comme un poison lent pour la démocratie.

Ça, alors ! Serions-nous en présence d’une candidate biodégradable qui tente de séduire la clientèle écolo ?

Si le processus est enclenché, la campagne électorale sera éclair.
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