Politique

Si le processus est enclenché, la campagne électorale sera éclair.

À force de jouer avec le feu…

Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner…

On se rappelle avec quelle sévérité étaient traités les instigateurs des manifestations de gilets jaunes ! Quel effondrement intellectuel et moral peut-il conduire des ministres à dissoudre la loi, l’ordre, la raison dans le bain de l’émotion ?

Donc, Christophe Castaner is back, comme on dit. Et là, c’est la farandole des desserts, le festival de printemps, le feu d’artifice du 14 Juillet.

L’absence de prétention de la gardienne de l’égalité hommes-femmes s’était exprimée auparavant dans les colonnes du Parisien, où elle avait confié vouloir simplement « porter davantage de choses ». Un mental de déménageuse…

Alors que de nouvelles manifestations sont prévues, mardi, pour protester contre les violences policières, Christophe Castaner a donné une conférence de presse, lundi après-midi, sur

On attend d’un chef de l’État qu’il prévoie, qu’il anticipe, qu’il ait une certaine distanciation par rapport aux événements et quee par sa parole, il rétablisse la vérité et sache faire preuve d’autorité en de telles circonstances.

La constance avec laquelle le gouvernement a fait les mauvais choix se traduit par un désastre économique…

Benjamin Cauchy, qui fut un porte-parole des gilets jaunes, aujourd’hui à Debout la France, réagit aux manifestations antiracistes qui se multiplient en France après la

Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.

Notre ministre, « responsable » de l’économie, donc a priori au fait des problèmes de ce secteur, semble courir inlassablement après la chute du PIB.

Il est de curieuses priorités quand on sait le mode dégradé de fonctionnement de l’État depuis qu’une crise sanitaire a montré son incapacité flagrante à s’occuper de la chose publique.

Pour son déconfinement, la Macronie a opté pour un véritable festival off. Et, pour une fois, le spectacle n’est pas assuré par la porte-parole Sibeth Ndiaye.

Certains veulent même aller plus loin en éradiquant la racine du mal.

Quel avenir, pour le Premier ministre, à l’heure où bruissent déjà les rumeurs de remaniement du gouvernement, courant juillet, juste après le second tour des élections municipales ?

On en arrive donc au même scénario qu’en 2014 : une triangulaire en faveur de la gauche car les deux candidats de droite n’auront pas réussi à s’entendre. Une situation ubuesque pour beaucoup d’électeurs.

La cuisine électorale assure la pitance pour six ans aux amis d’Alain Juppé.

À l’heure qu’il est, elle est certainement en train de chercher comment se remettre en selle.

D’aucuns diront que le gouvernement s’accoutume bien à cet état d’urgence sanitaire. Faudrait pas que ça devienne de la dépendance, comme une sorte de drogue, vous voyez.

Si Mme de Montchalin est de la prochaine charrette, qui sait, Jean-Marie Bigard lui passera peut-être un coup de téléphone pour la consoler.

Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.

…une théâtrocratie narcissique qui, à travers ses virages et ses mirages, parvient avec virtuosité à conduire la France… droit dans le mur.

Il y eut même, en Union soviétique, à l’époque de Brejnev, des dirigeants qualifiés de « conservateurs » qui s’opposaient à tout changement du système.

Jean-Marie Bigard, dans tous les cas, de quelque manière qu’on le juge, est bien plus que Bigard.

Une sorte de non-événement comme on a les non-anniversaires dans le monde merveilleux d’Alice.

Ce n’est pas seulement les forces de l’ordre, les autorités, qu’ils narguent, mais les Français à qui l’on a dit de se tenir bien tranquilles chez eux pendant plus de deux mois. C’est la France qu’ils narguent.

Aux prochaines élections municipales, il faut des élus médiocres, malléables et qui n’ont pas d’idées, pour avoir un Sénat mou et tiède : c’est dans

Si le processus est enclenché, la campagne électorale sera éclair.

À force de jouer avec le feu…

Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner…

On se rappelle avec quelle sévérité étaient traités les instigateurs des manifestations de gilets jaunes ! Quel effondrement intellectuel et moral peut-il conduire des ministres à dissoudre la loi, l’ordre, la raison dans le bain de l’émotion ?

Donc, Christophe Castaner is back, comme on dit. Et là, c’est la farandole des desserts, le festival de printemps, le feu d’artifice du 14 Juillet.

L’absence de prétention de la gardienne de l’égalité hommes-femmes s’était exprimée auparavant dans les colonnes du Parisien, où elle avait confié vouloir simplement « porter davantage de choses ». Un mental de déménageuse…

Alors que de nouvelles manifestations sont prévues, mardi, pour protester contre les violences policières, Christophe Castaner a donné une conférence de presse, lundi après-midi, sur

On attend d’un chef de l’État qu’il prévoie, qu’il anticipe, qu’il ait une certaine distanciation par rapport aux événements et quee par sa parole, il rétablisse la vérité et sache faire preuve d’autorité en de telles circonstances.

La constance avec laquelle le gouvernement a fait les mauvais choix se traduit par un désastre économique…

Benjamin Cauchy, qui fut un porte-parole des gilets jaunes, aujourd’hui à Debout la France, réagit aux manifestations antiracistes qui se multiplient en France après la

Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.

Notre ministre, « responsable » de l’économie, donc a priori au fait des problèmes de ce secteur, semble courir inlassablement après la chute du PIB.

Il est de curieuses priorités quand on sait le mode dégradé de fonctionnement de l’État depuis qu’une crise sanitaire a montré son incapacité flagrante à s’occuper de la chose publique.

Pour son déconfinement, la Macronie a opté pour un véritable festival off. Et, pour une fois, le spectacle n’est pas assuré par la porte-parole Sibeth Ndiaye.

Certains veulent même aller plus loin en éradiquant la racine du mal.

Quel avenir, pour le Premier ministre, à l’heure où bruissent déjà les rumeurs de remaniement du gouvernement, courant juillet, juste après le second tour des élections municipales ?

On en arrive donc au même scénario qu’en 2014 : une triangulaire en faveur de la gauche car les deux candidats de droite n’auront pas réussi à s’entendre. Une situation ubuesque pour beaucoup d’électeurs.

La cuisine électorale assure la pitance pour six ans aux amis d’Alain Juppé.

À l’heure qu’il est, elle est certainement en train de chercher comment se remettre en selle.

D’aucuns diront que le gouvernement s’accoutume bien à cet état d’urgence sanitaire. Faudrait pas que ça devienne de la dépendance, comme une sorte de drogue, vous voyez.

Si Mme de Montchalin est de la prochaine charrette, qui sait, Jean-Marie Bigard lui passera peut-être un coup de téléphone pour la consoler.

Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.

…une théâtrocratie narcissique qui, à travers ses virages et ses mirages, parvient avec virtuosité à conduire la France… droit dans le mur.

Il y eut même, en Union soviétique, à l’époque de Brejnev, des dirigeants qualifiés de « conservateurs » qui s’opposaient à tout changement du système.

Jean-Marie Bigard, dans tous les cas, de quelque manière qu’on le juge, est bien plus que Bigard.

Une sorte de non-événement comme on a les non-anniversaires dans le monde merveilleux d’Alice.

Ce n’est pas seulement les forces de l’ordre, les autorités, qu’ils narguent, mais les Français à qui l’on a dit de se tenir bien tranquilles chez eux pendant plus de deux mois. C’est la France qu’ils narguent.

Aux prochaines élections municipales, il faut des élus médiocres, malléables et qui n’ont pas d’idées, pour avoir un Sénat mou et tiède : c’est dans
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