Politique
Envoyer un épouvantail à électeurs à la pêche aux suffrages, ce serait effectivement du jamais-vu.
Le petit milieu artistique parisien suffoque d’angoisse et d’indignation.
Mise en examen, Rachida Dati, connue pour son franc-parler, sera difficile à canaliser.
Choisis pour ce qu’ils sont… et non ce qu’ils font. (Ou ont fait.)
Celui qui, dans l’ombre, a ourdi la mort d’une droite « classique » est son dernier dirigeant à succès : Sarkozy.
Joe Biden contre Donald Trump, la démocratie contre la dictature. C’est l’histoire pour la présidentielle de 2024.
La plus belle ville du monde doit bien valoir aussi une conversion au macronisme.
Rester imprévisible. Demeurer le maître du jeu. Brouiller les cartes. Jeter le trouble. Diviser pour régner.
Bien sûr, des noms circulaient, tantôt envisagés, tantôt écartés.
En l’an de grâce 2024, la prophétie se réalise.
Le bilan sécuritaire du gouvernement trouble la fête promise par le duo, nouvelle terreur des banlieues.
Et ce, alors même que Gabriel Attal n’a jamais revendiqué politiquement son homosexualité.
Le RN joue l’apaisement, si l’on en croit les déclarations de Jean-Philippe Tanguy.
« Attal est populaire quand il parle comme le RN » : le parti de Marine Le Pen reste zen face à ce SCUD macroniste.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
Emmanuel Macron, du haut de ses 46 ans, nous offre Gabriel Attal, 34 ans. C’est cadeau.
Élisabeth Borne est restée près de deux ans en fonction et a échoué sur tout : sécurité, pouvoir d’achat, éducation…
L’important, c’est de changer, de tenir la France en haleine, de montrer qu’on détient encore la foudre des nominations.
Il faut se tourner vers les pompiers et les assureurs pour obtenir, par recoupement, un ordre de grandeur.
La gauche n’est jamais aussi belle lorsqu’elle joue à se faire peur.
Des préfectures sont peu regardantes sur le niveau de français de certains et rejettent ces gens parfaitement intégrés.
Sa popularité fraîche pourrait remettre sur la table l’hypothèse de sa nomination à Matignon. Ou d’une dissolution.
En France, aussi, un Président médiocre et déconnecté essaie de se maintenir au pouvoir par des incantations.
C’est l’usage trop fréquent d’une malhonnêteté foncière qui disqualifie les politiques aux yeux du peuple ordinaire.
« La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens. »
Voilà qui n’est pas très clair, mais c’est beau, à condition de goûter au lyrisme de sous-préfecture.
Le jeudi avant Noël, en plein conseil municipal, les gendarmes ont perquisitionné l’hôtel de ville de Nice.
Question au début d’une nouvelle année : tous les ministres ont-ils bien marqué la France de leur empreinte ?
Envoyer un épouvantail à électeurs à la pêche aux suffrages, ce serait effectivement du jamais-vu.
Le petit milieu artistique parisien suffoque d’angoisse et d’indignation.
Mise en examen, Rachida Dati, connue pour son franc-parler, sera difficile à canaliser.
Choisis pour ce qu’ils sont… et non ce qu’ils font. (Ou ont fait.)
Celui qui, dans l’ombre, a ourdi la mort d’une droite « classique » est son dernier dirigeant à succès : Sarkozy.
Joe Biden contre Donald Trump, la démocratie contre la dictature. C’est l’histoire pour la présidentielle de 2024.
La plus belle ville du monde doit bien valoir aussi une conversion au macronisme.
Rester imprévisible. Demeurer le maître du jeu. Brouiller les cartes. Jeter le trouble. Diviser pour régner.
Bien sûr, des noms circulaient, tantôt envisagés, tantôt écartés.
En l’an de grâce 2024, la prophétie se réalise.
Le bilan sécuritaire du gouvernement trouble la fête promise par le duo, nouvelle terreur des banlieues.
Et ce, alors même que Gabriel Attal n’a jamais revendiqué politiquement son homosexualité.
Le RN joue l’apaisement, si l’on en croit les déclarations de Jean-Philippe Tanguy.
« Attal est populaire quand il parle comme le RN » : le parti de Marine Le Pen reste zen face à ce SCUD macroniste.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
Emmanuel Macron, du haut de ses 46 ans, nous offre Gabriel Attal, 34 ans. C’est cadeau.
Élisabeth Borne est restée près de deux ans en fonction et a échoué sur tout : sécurité, pouvoir d’achat, éducation…
L’important, c’est de changer, de tenir la France en haleine, de montrer qu’on détient encore la foudre des nominations.
Il faut se tourner vers les pompiers et les assureurs pour obtenir, par recoupement, un ordre de grandeur.
La gauche n’est jamais aussi belle lorsqu’elle joue à se faire peur.
Des préfectures sont peu regardantes sur le niveau de français de certains et rejettent ces gens parfaitement intégrés.
Sa popularité fraîche pourrait remettre sur la table l’hypothèse de sa nomination à Matignon. Ou d’une dissolution.
En France, aussi, un Président médiocre et déconnecté essaie de se maintenir au pouvoir par des incantations.
C’est l’usage trop fréquent d’une malhonnêteté foncière qui disqualifie les politiques aux yeux du peuple ordinaire.
« La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens. »
Voilà qui n’est pas très clair, mais c’est beau, à condition de goûter au lyrisme de sous-préfecture.
Le jeudi avant Noël, en plein conseil municipal, les gendarmes ont perquisitionné l’hôtel de ville de Nice.
Question au début d’une nouvelle année : tous les ministres ont-ils bien marqué la France de leur empreinte ?