Politique
Cette dernière « darmaninade » vaut son pesant de mauvaise foi. Ou de graves difficultés en arithmétique.
François Belley milite pour un retour aux fondamentaux de l’action politique : moins de com’, plus d’action.
Quel sinistre « communicant » a eu l’idée de cet alignement de drapeaux ?
Sur le ton d’un curé de campagne s’adressant à ses ouailles, père Macron annonce un 2024 chatoyant.
Jacques Delors fut un acteur zélé de la construction d’un État impérial européen sur les ruines de notre liberté…
Un problème pour le RN, la popularité insolente de Jordan Bardella ? Euh, d’abord un problème pour les autres !
On se demande bien à quoi sert tant d’agitation…
Emporter une élection présidentielle, ça se mérite avant de possiblement la gagner.
Parce que la grande cause de l’égalité entre les femmes et les hommes est une question pressante.
Brasse coulée ? Les garçons de bain se posent encore la question dans les vestiaires.
Le problème des mots, c’est qu’à force de les rabâcher à tout propos, ils perdent leur sens et toute leur force.
Il y a ceux qui sont faits pour accrocher les étoiles et ceux dont la vie se passe à avoir les boules.
Serait-il possible de cesser de prendre les électeurs pour des idiots ?
Après la « séquence loi Immigration » faite de rebondissements, la question se pose.
Quelle que soit sa décision, ce que le Conseil constitutionnel validera, c’est d’abord le discrédit du macronisme.
Petit rappel historique : la colonisation fut plus le fait de la gauche que de la droite.
France Universités et une centaine de présidents d’établissements d’enseignement supérieur font part de leur inquiétude.
L’exécutif mise sur le Conseil constitutionnel, temple du progressisme, pour retoquer sa loi.
Question neutre sur France 5 : « Donner raison au RN, n’est-ce pas la dernière étape avant son accès au pouvoir ? »
Au lendemain de ce vote épique, les médias parlent d’une grande crise politique. Mais c’est une crise démocratique.
Certaines autorités universitaires et morales ne semblent pas accepter le système démocratique.
Cette invitation n’est pas son premier coup d’éclat dans l’affaire Crépol.
Quelles sont donc les modifications de ce texte de loi si problématique qui a fait l’objet d’une motion de rejet ?
L’indemnité est dérisoire, le prestige bien entamé. Et – ensauvagement oblige – le statut de maire ne protège plus.
Mathilde Panot en pilotage automatique, toujours sur le fil de l’injure et de la calomnie.
Immortel, sans être académicien : un exploit !
Jordan Bardella se dit prêt à devenir Premier ministre d’un gouvernement de cohabitation.
Cette dernière « darmaninade » vaut son pesant de mauvaise foi. Ou de graves difficultés en arithmétique.
François Belley milite pour un retour aux fondamentaux de l’action politique : moins de com’, plus d’action.
Quel sinistre « communicant » a eu l’idée de cet alignement de drapeaux ?
Sur le ton d’un curé de campagne s’adressant à ses ouailles, père Macron annonce un 2024 chatoyant.
Jacques Delors fut un acteur zélé de la construction d’un État impérial européen sur les ruines de notre liberté…
Un problème pour le RN, la popularité insolente de Jordan Bardella ? Euh, d’abord un problème pour les autres !
On se demande bien à quoi sert tant d’agitation…
Emporter une élection présidentielle, ça se mérite avant de possiblement la gagner.
Parce que la grande cause de l’égalité entre les femmes et les hommes est une question pressante.
Brasse coulée ? Les garçons de bain se posent encore la question dans les vestiaires.
Le problème des mots, c’est qu’à force de les rabâcher à tout propos, ils perdent leur sens et toute leur force.
Il y a ceux qui sont faits pour accrocher les étoiles et ceux dont la vie se passe à avoir les boules.
Serait-il possible de cesser de prendre les électeurs pour des idiots ?
Après la « séquence loi Immigration » faite de rebondissements, la question se pose.
Quelle que soit sa décision, ce que le Conseil constitutionnel validera, c’est d’abord le discrédit du macronisme.
Petit rappel historique : la colonisation fut plus le fait de la gauche que de la droite.
France Universités et une centaine de présidents d’établissements d’enseignement supérieur font part de leur inquiétude.
L’exécutif mise sur le Conseil constitutionnel, temple du progressisme, pour retoquer sa loi.
Question neutre sur France 5 : « Donner raison au RN, n’est-ce pas la dernière étape avant son accès au pouvoir ? »
Au lendemain de ce vote épique, les médias parlent d’une grande crise politique. Mais c’est une crise démocratique.
Certaines autorités universitaires et morales ne semblent pas accepter le système démocratique.
Cette invitation n’est pas son premier coup d’éclat dans l’affaire Crépol.
Quelles sont donc les modifications de ce texte de loi si problématique qui a fait l’objet d’une motion de rejet ?
L’indemnité est dérisoire, le prestige bien entamé. Et – ensauvagement oblige – le statut de maire ne protège plus.
Mathilde Panot en pilotage automatique, toujours sur le fil de l’injure et de la calomnie.
Immortel, sans être académicien : un exploit !
Jordan Bardella se dit prêt à devenir Premier ministre d’un gouvernement de cohabitation.