Politique
« Nos concitoyens attendent une recomposition de la droite sans fracture idéologique. »
Sur-le-champ, j’avais tweeté en m’étonnant de cette dérision verbale du Président, habituellement si précautionneux sur ces sujets sensibles…
Si la politique est l’art d’œuvrer pour ses successeurs, alors le progressisme est la mort de la politique.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.
Ce bateau de 316 mètres de long sur 43 de large et 65 de hauteur est, à ce jour, le plus grand d’Europe en activité.
Si le rôle du politique est celui du médecin en face d’un malade – à savoir établir un diagnostic et, en corollaire, un traitement -, nous sommes perdus.
Pour faire de la bonne politique, il ne suffit pas d’être expert en communication.
Emmanuel Macron est en campagne pour les législatives. Nous ne découvrirons son véritable visage qu’après le deuxième tour du 18 juin.
La République en marche, avec plus de 30 % d’intentions de vote au premier tour, pourrait obtenir une très large majorit
Le processus politique en cours est un processus lent né il y a 25 ans (Macron avait alors 14 ans) et il n’est pas près de s’arrêter.
Son sort est désormais scellé et sa démission du gouvernement paraît inéluctable.
La bonne nouvelle de l’élection de M. Macron est la fusion des LRPS.
Pendant un moment au moins, les Français auront été fiers d’être, aux yeux du monde, identifiés à ce jeune homme brillant.
Jean-Luc Mélenchon n’aime pas Bernard Cazeneuve
Emmanuel Macron a accusé Sputnik et RT d’avoir fait de la propagande pendant l’élection présidentielle française et d’avoir diffusé des contre-vérités.
Ce crime a été commis en plein Paris, par un individu déjà condamné à plusieurs reprises pour des faits de violence et de stupéfiants.
Nathalie Kosciusko-Morizet est morte ; électoralement, s’entend.
Charlotte d’Ornellas est allée à la rencontre d’Henri Guaino dans la circonscription parisienne où il se présente… face à NKM.
Macron peut redonner à la fonction présidentielle une prestance « gaullienne », ce n’est qu’une apparence mensongère.
Qui prétend moraliser la vie politique finit toujours par allumer le bûcher des vanités, à condamner les impies, à sacrifier les impurs.
L’enjeu véritable des prochaines années réside dans la survie ou dans la mort de notre civilisation.
Il convient de prendre conscience du danger posé par une jeunesse immigrée de plus en plus radicalisée.
S’il y a crise au Front national, c’est objectivement une crise de croissance.
La grimace de Najat Vallaud-Belkacem, à l’annonce de la nomination de Jean-Michel Blanquer, en dit long sur son dépit.
Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.
La civilisation européenne, nous la revendiquons, nous la chérissons, nous voulons la mettre en valeur et nous voulons la protéger.
Marine Le Pen est piégée. Et elle le sait très bien.
Calais est une France en réduction, une sorte de laboratoire.
« Nos concitoyens attendent une recomposition de la droite sans fracture idéologique. »
Sur-le-champ, j’avais tweeté en m’étonnant de cette dérision verbale du Président, habituellement si précautionneux sur ces sujets sensibles…
Si la politique est l’art d’œuvrer pour ses successeurs, alors le progressisme est la mort de la politique.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.
Ce bateau de 316 mètres de long sur 43 de large et 65 de hauteur est, à ce jour, le plus grand d’Europe en activité.
Si le rôle du politique est celui du médecin en face d’un malade – à savoir établir un diagnostic et, en corollaire, un traitement -, nous sommes perdus.
Pour faire de la bonne politique, il ne suffit pas d’être expert en communication.
Emmanuel Macron est en campagne pour les législatives. Nous ne découvrirons son véritable visage qu’après le deuxième tour du 18 juin.
La République en marche, avec plus de 30 % d’intentions de vote au premier tour, pourrait obtenir une très large majorit
Le processus politique en cours est un processus lent né il y a 25 ans (Macron avait alors 14 ans) et il n’est pas près de s’arrêter.
Son sort est désormais scellé et sa démission du gouvernement paraît inéluctable.
La bonne nouvelle de l’élection de M. Macron est la fusion des LRPS.
Pendant un moment au moins, les Français auront été fiers d’être, aux yeux du monde, identifiés à ce jeune homme brillant.
Jean-Luc Mélenchon n’aime pas Bernard Cazeneuve
Emmanuel Macron a accusé Sputnik et RT d’avoir fait de la propagande pendant l’élection présidentielle française et d’avoir diffusé des contre-vérités.
Ce crime a été commis en plein Paris, par un individu déjà condamné à plusieurs reprises pour des faits de violence et de stupéfiants.
Nathalie Kosciusko-Morizet est morte ; électoralement, s’entend.
Charlotte d’Ornellas est allée à la rencontre d’Henri Guaino dans la circonscription parisienne où il se présente… face à NKM.
Macron peut redonner à la fonction présidentielle une prestance « gaullienne », ce n’est qu’une apparence mensongère.
Qui prétend moraliser la vie politique finit toujours par allumer le bûcher des vanités, à condamner les impies, à sacrifier les impurs.
L’enjeu véritable des prochaines années réside dans la survie ou dans la mort de notre civilisation.
Il convient de prendre conscience du danger posé par une jeunesse immigrée de plus en plus radicalisée.
S’il y a crise au Front national, c’est objectivement une crise de croissance.
La grimace de Najat Vallaud-Belkacem, à l’annonce de la nomination de Jean-Michel Blanquer, en dit long sur son dépit.
Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.
La civilisation européenne, nous la revendiquons, nous la chérissons, nous voulons la mettre en valeur et nous voulons la protéger.
Marine Le Pen est piégée. Et elle le sait très bien.
Calais est une France en réduction, une sorte de laboratoire.