Politique
Si ce débat revient sur la table, à huit jours du scrutin, c’est principalement pour des raisons électorales.
Le nombre des victimes parle de lui-même et résulte des erreurs militaires évidentes…
« Je veux être Chateaubriand ou rien. » Cela ne dépend pas de la volonté d’Emmanuel Macron mais de celle des Français…
Devant les écrans, les Français oublient-ils qui sont ces deux personnages ?
Toutes les bourgeoisies de mœurs, d’argent, pseudo-intellectuelles se trouvent acculées. L’esprit français est en train de les vomir.
L’Amérique latine vient de s’inviter dans cette fin de campagne électorale avec la proposition numéro 62 du programme de
Il serait temps de remettre la science économique à sa place ; il est plus que temps de la cantonner à son objet.
Cela doit être dur de se souvenir que c’est la chambre Front populaire élue en mai 1936 qui a voté les pleins pouvoirs au vainqueur de Verdun.
Ce week-end, les islamistes de l’UOIF se réuniront au Bourget. Une vitrine respectable pour une association qui l’est beaucoup moins…
L’ADN de la LICRA est largement marqué par son orientation à gauche de l’échiquier politique…
Non seulement ce type est un pignouf de bas étage, mais à l’évidence Valérie Trierweiler disait vrai : il n’a que mépris pour le peuple.
Il est étonnant que ce professeur soit resté en fonction si longtemps.
Cette fois, ça y est : l’appareil d’État suit le chef. Les attaques contre le président sont unanimement tuées dans l’œuf.
En ne maîtrisant pas le placement de sa dette, la France est sous le chantage constant du Système. La France, d’ailleurs, ne maîtrise plus grand-chose.
L’incendie du camp de Grande-Synthe, en début de semaine, illustre l’échec de l’exécutif socialiste dans la lutte contre l’immigration de masse.
Parler de ce clip sans citer les paroles de la chanson serait gâcher la marchandise…
Et les langues de commencer à se délier, la victoire garantie sur facture prenant peu à peu l’allure d’un possible chèque en bois.
16.000 emplois pour les cinq années qui viennent seraient menacés dans cette filière à cause du poids des taxes locales, des charges et de la fiscalité.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Nous devons porter au pouvoir un être pétri par l’amour charnel de la nation, peu importent ses insuffisances techniques.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Les médias dominants, qui sont de grands sensibles, jouent depuis ce mercredi matin à se faire peur avec un possible second tour Le Pen-Mélenchon.
Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.
Le jury se demande en fin de soirée si les effets de manche visuels de certains candidats ne seraient pas là pour pallier une absence de contenu…
La présidentielle, qui prend heureusement bientôt fin, a l’art de grossir et de caricaturer des comportements peu éthiques, mais pas forcément illégaux.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Réduire le problème à une question de places disponibles ou de personnel en nombre insuffisant serait une erreur.
Si ce débat revient sur la table, à huit jours du scrutin, c’est principalement pour des raisons électorales.
Le nombre des victimes parle de lui-même et résulte des erreurs militaires évidentes…
« Je veux être Chateaubriand ou rien. » Cela ne dépend pas de la volonté d’Emmanuel Macron mais de celle des Français…
Devant les écrans, les Français oublient-ils qui sont ces deux personnages ?
Toutes les bourgeoisies de mœurs, d’argent, pseudo-intellectuelles se trouvent acculées. L’esprit français est en train de les vomir.
L’Amérique latine vient de s’inviter dans cette fin de campagne électorale avec la proposition numéro 62 du programme de
Il serait temps de remettre la science économique à sa place ; il est plus que temps de la cantonner à son objet.
Cela doit être dur de se souvenir que c’est la chambre Front populaire élue en mai 1936 qui a voté les pleins pouvoirs au vainqueur de Verdun.
Ce week-end, les islamistes de l’UOIF se réuniront au Bourget. Une vitrine respectable pour une association qui l’est beaucoup moins…
L’ADN de la LICRA est largement marqué par son orientation à gauche de l’échiquier politique…
Non seulement ce type est un pignouf de bas étage, mais à l’évidence Valérie Trierweiler disait vrai : il n’a que mépris pour le peuple.
Il est étonnant que ce professeur soit resté en fonction si longtemps.
Cette fois, ça y est : l’appareil d’État suit le chef. Les attaques contre le président sont unanimement tuées dans l’œuf.
En ne maîtrisant pas le placement de sa dette, la France est sous le chantage constant du Système. La France, d’ailleurs, ne maîtrise plus grand-chose.
L’incendie du camp de Grande-Synthe, en début de semaine, illustre l’échec de l’exécutif socialiste dans la lutte contre l’immigration de masse.
Parler de ce clip sans citer les paroles de la chanson serait gâcher la marchandise…
Et les langues de commencer à se délier, la victoire garantie sur facture prenant peu à peu l’allure d’un possible chèque en bois.
16.000 emplois pour les cinq années qui viennent seraient menacés dans cette filière à cause du poids des taxes locales, des charges et de la fiscalité.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Nous devons porter au pouvoir un être pétri par l’amour charnel de la nation, peu importent ses insuffisances techniques.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Les médias dominants, qui sont de grands sensibles, jouent depuis ce mercredi matin à se faire peur avec un possible second tour Le Pen-Mélenchon.
Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.
Le jury se demande en fin de soirée si les effets de manche visuels de certains candidats ne seraient pas là pour pallier une absence de contenu…
La présidentielle, qui prend heureusement bientôt fin, a l’art de grossir et de caricaturer des comportements peu éthiques, mais pas forcément illégaux.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Réduire le problème à une question de places disponibles ou de personnel en nombre insuffisant serait une erreur.