Politique
La France pourrait se voir précipitée dans le néant dès le 7 mai au soir si elle confie les clefs de son cœur à un homme sans consistance.
C’est dire si ces Parisiens sont complètement déconnectés de toute vie en dehors des quatre murs de cette prison à ciel ouvert qu’ils appellent ville.
Les candidats « authentiques » risquent bien de faire les frais du cirque médiatique et de l’extrême concision qui leur sera imposée.
Sans le savoir ce bon Poutou est le réactionnaire de l’an 3000. L’extrême droite de Star Wars. Il ne se rend pas compte.
En creux se dessine une France segmentée entre deux gros blocs sociologiques. Pas de place pour la nuance, camarade. Tu dois choisir ton camp : plutôt bobo ou beauf ?
Selon un rituel maintenant solidement établi, c’est en fin de manifestation que des éléments cagoulés s’en sont pris aux commerces et aux forces de l’ordre.
Clash place Vendôme. Le directeur de l’administration pénitentiaire, Philippe Galli, a remis sa démission au garde des Sceaux, qui l’a immédiatement acceptée.
Plus que jamais, les clefs de cette terrible sortie de crise sont dans les mains de l’armée.
En 9 ans, les Français ont perdu en moyenne 1,7 % de pouvoir d’achat. Les 10 % les plus pauvres sont les plus atteints : la baisse atteint 8,9 % !
Le départ donné, la doublure Hamon se rendit vite compte, mais un peu tard, qu’il n’était que la doublure de l’écurie élyséenne.
Et dire que l’Occident reste persuadé que la science et la raison ont enfin triomphé du fanatisme…
Tapie avait fait beaucoup de bruit, traitant les électeurs frontistes de « salauds ». Samedi, à Marseille, M. Macron a repris cette antienne guerrière, à peine plus policée.
Son programme éducatif, réduit à peau de chagrin, énumère de vagues promesses de « pédagogies émancipatrices »…
Monsieur Estrosi, après s’être mis “En Marche” avec Monsieur Macron, vient de confirmer qu’il savait parfaitement nager en eaux troubles !
Le discours d’Emmanuel Macron à Marseille restera dans les annales politiques comme une anthologie de médiocrité absolue.
Ses intrusions volontaires et inquisitoriales dans le fonctionnement de la justice sont autant d’atteintes à nos libertés individuelles et collectives.
Dans trois semaines, sereinement, les Français vont devoir rappeler à leurs élites qu’ils ne sont pas, comme M. Macron, les « héritiers de rien ».
La médecine ne saurait échapper à cette évolution.
La France ne se redressera pas si elle ne se libère pas de l’emprise de Bruxelles et de la mondialisation financière et commerciale. Et là, Fillon est muet.
Le prélèvement obligatoire de la CSG des pensions de nos petits retraités est passée, au 1er janvier 2015, de 3,8 à 6,6 % !
Un film dispensable auquel on préfèrera la version plus poétique de Jean Cocteau.
Avant même de savoir ce qui a pu provoquer la mort de Shaoyo Liu, les événements ont, comme d’habitude, dégénéré.
L’Amérique de Trump n’est plus le champion de la démocratie abstraite et universelle dont les privilégiés sont seuls à vérifier l’existence.
« Une cinquantaine d’anciens conseillers de droite prêts à rejoindre Macron » titre Le Parisien du 31 mars.
À trois semaines du scrutin, la compétition commence enfin à tourner à l’affrontement idéologique…
La France pourrait se voir précipitée dans le néant dès le 7 mai au soir si elle confie les clefs de son cœur à un homme sans consistance.
C’est dire si ces Parisiens sont complètement déconnectés de toute vie en dehors des quatre murs de cette prison à ciel ouvert qu’ils appellent ville.
Les candidats « authentiques » risquent bien de faire les frais du cirque médiatique et de l’extrême concision qui leur sera imposée.
Sans le savoir ce bon Poutou est le réactionnaire de l’an 3000. L’extrême droite de Star Wars. Il ne se rend pas compte.
En creux se dessine une France segmentée entre deux gros blocs sociologiques. Pas de place pour la nuance, camarade. Tu dois choisir ton camp : plutôt bobo ou beauf ?
Selon un rituel maintenant solidement établi, c’est en fin de manifestation que des éléments cagoulés s’en sont pris aux commerces et aux forces de l’ordre.
Clash place Vendôme. Le directeur de l’administration pénitentiaire, Philippe Galli, a remis sa démission au garde des Sceaux, qui l’a immédiatement acceptée.
Plus que jamais, les clefs de cette terrible sortie de crise sont dans les mains de l’armée.
En 9 ans, les Français ont perdu en moyenne 1,7 % de pouvoir d’achat. Les 10 % les plus pauvres sont les plus atteints : la baisse atteint 8,9 % !
Le départ donné, la doublure Hamon se rendit vite compte, mais un peu tard, qu’il n’était que la doublure de l’écurie élyséenne.
Et dire que l’Occident reste persuadé que la science et la raison ont enfin triomphé du fanatisme…
Tapie avait fait beaucoup de bruit, traitant les électeurs frontistes de « salauds ». Samedi, à Marseille, M. Macron a repris cette antienne guerrière, à peine plus policée.
Son programme éducatif, réduit à peau de chagrin, énumère de vagues promesses de « pédagogies émancipatrices »…
Monsieur Estrosi, après s’être mis “En Marche” avec Monsieur Macron, vient de confirmer qu’il savait parfaitement nager en eaux troubles !
Le discours d’Emmanuel Macron à Marseille restera dans les annales politiques comme une anthologie de médiocrité absolue.
Ses intrusions volontaires et inquisitoriales dans le fonctionnement de la justice sont autant d’atteintes à nos libertés individuelles et collectives.
Dans trois semaines, sereinement, les Français vont devoir rappeler à leurs élites qu’ils ne sont pas, comme M. Macron, les « héritiers de rien ».
La médecine ne saurait échapper à cette évolution.
La France ne se redressera pas si elle ne se libère pas de l’emprise de Bruxelles et de la mondialisation financière et commerciale. Et là, Fillon est muet.
Le prélèvement obligatoire de la CSG des pensions de nos petits retraités est passée, au 1er janvier 2015, de 3,8 à 6,6 % !
Un film dispensable auquel on préfèrera la version plus poétique de Jean Cocteau.
Avant même de savoir ce qui a pu provoquer la mort de Shaoyo Liu, les événements ont, comme d’habitude, dégénéré.
L’Amérique de Trump n’est plus le champion de la démocratie abstraite et universelle dont les privilégiés sont seuls à vérifier l’existence.
« Une cinquantaine d’anciens conseillers de droite prêts à rejoindre Macron » titre Le Parisien du 31 mars.
À trois semaines du scrutin, la compétition commence enfin à tourner à l’affrontement idéologique…