Politique
Si ce terrorisme ne tue pas, il terrorise effectivement. Il agresse, saccage.
Quiconque a regardé la série La Servante écarlate a pensé, fatalement, au Grand Remplacement : celui, insidieux, d’un monde libre par un régime religieux fondamentaliste qui asservit les femmes…
Il y a peu de points communs entre les différentes oppositions à l’Assemblée nationale, mais il y en a suffisamment pour s’entendre sur trois ou quatre points d’urgence sur lesquels il faudrait protéger notre pays…
Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?
Deux ans plus tard, alors que nous commémorerons son assassinat ce samedi, on peut raisonnablement se demander si sa mort tragique a été suivie d’effets…
D’ailleurs, qui écoute encore François Hollande, aujourd’hui ?
Le Président a fait le job, à sa manière, c’est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants.
Strasbourg complète ainsi cette liste de bonnets de nuit à qui le terme « festif » semble donner de l’urticaire en frappant d’interdit un patrimoine chrétien et français pour le remplacer par des spécialités venues d’ailleurs…
Campagne après campagne, élection après élection, Marine Tondelier a tenté de s’imposer comme seule opposante à la toute-puissance du RN.
Aussitôt, les démocrates indignés tweetent comme si leur vie en dépendait. Pour anecdotique qu’elle soit, cette joute nous en dévoile néanmoins beaucoup sur l’état de délabrement du pouvoir.
Une saillie qui a poussé le ministre à pointer du doigt le député et à le tancer, index levé en plein Hémicycle hors micro.
C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Le tassement de ces partis donnés naguère pour être institutionnels laisse place à la montée en puissance du Rassemblement national, mouvement désormais hors normes, puisque incarnant un bloc populaire dressé contre son homologue élitaire.
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
« L’idée de Macron selon laquelle l’abondance serait finie n’a ainsi pas de fondement. Cette fin de l’abondance pourrait arriver du fait de décisions politiques, mais non pas du fait des limitations de l’ingéniosité humaine à trouver des solutions.»
L’ancien Premier ministre assure que « [son] objectif n’est pas de plaider pour la solution la plus dure afin d’emmerder le monde ».
« Si elle apportait une solution aux problèmes énergétiques et à l’augmentation de la consommation d’électricité, j’y serais favorable. »
La Macronie n’est pas une mafia, chacun le sait : c’est un groupe social honnête, transparent, amoureux de la France et dévoué au bien public.
Au réveil de ce cauchemar, l’électeur transi allume sa bougie de chevet et consulte son calendrier.
On pourrait attendre mieux de ministres de la France et, surtout, qu’ils ne se complaisent pas dans des jugements sommaires et caricaturaux.
Ce bouleversement arrive au pire moment pour la police nationale.
Durant quatre heures, les différents intervenants ont échangé sur ces sujets. Pas un n’a rappelé le contexte de montée de l’islamisme en Europe…
Après la visite inutile et ronflante en août d’Emmanuel Macron, honteusement sifflé à Oran, Élisabeth Borne débarque à Alger en amie, ce dimanche matin, accompagnée d’une énorme délégation de seize ministres ! Pour quoi faire ?
Être traité de « torchon » par un élu appartenant à un groupe parlementaire pouvant être à peu près qualifié de tout, sauf de beau linge, est presque un honneur.
Le pouvoir a-t-il pris conscience de l’ampleur de l’incendie qu’il a lui-même allumé ? Et va-t-il ajourner cette réforme ?
Les Français ont sans doute aussi compris que tout n’est peut-être pas la faute « à » Poutine.
Les opposants au RN ne se privent pas de ressusciter les vieux démons de l’Histoire de France.
Si ce terrorisme ne tue pas, il terrorise effectivement. Il agresse, saccage.
Quiconque a regardé la série La Servante écarlate a pensé, fatalement, au Grand Remplacement : celui, insidieux, d’un monde libre par un régime religieux fondamentaliste qui asservit les femmes…
Il y a peu de points communs entre les différentes oppositions à l’Assemblée nationale, mais il y en a suffisamment pour s’entendre sur trois ou quatre points d’urgence sur lesquels il faudrait protéger notre pays…
Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?
Deux ans plus tard, alors que nous commémorerons son assassinat ce samedi, on peut raisonnablement se demander si sa mort tragique a été suivie d’effets…
D’ailleurs, qui écoute encore François Hollande, aujourd’hui ?
Le Président a fait le job, à sa manière, c’est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants.
Strasbourg complète ainsi cette liste de bonnets de nuit à qui le terme « festif » semble donner de l’urticaire en frappant d’interdit un patrimoine chrétien et français pour le remplacer par des spécialités venues d’ailleurs…
Campagne après campagne, élection après élection, Marine Tondelier a tenté de s’imposer comme seule opposante à la toute-puissance du RN.
Aussitôt, les démocrates indignés tweetent comme si leur vie en dépendait. Pour anecdotique qu’elle soit, cette joute nous en dévoile néanmoins beaucoup sur l’état de délabrement du pouvoir.
Une saillie qui a poussé le ministre à pointer du doigt le député et à le tancer, index levé en plein Hémicycle hors micro.
C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Le tassement de ces partis donnés naguère pour être institutionnels laisse place à la montée en puissance du Rassemblement national, mouvement désormais hors normes, puisque incarnant un bloc populaire dressé contre son homologue élitaire.
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
« L’idée de Macron selon laquelle l’abondance serait finie n’a ainsi pas de fondement. Cette fin de l’abondance pourrait arriver du fait de décisions politiques, mais non pas du fait des limitations de l’ingéniosité humaine à trouver des solutions.»
L’ancien Premier ministre assure que « [son] objectif n’est pas de plaider pour la solution la plus dure afin d’emmerder le monde ».
« Si elle apportait une solution aux problèmes énergétiques et à l’augmentation de la consommation d’électricité, j’y serais favorable. »
La Macronie n’est pas une mafia, chacun le sait : c’est un groupe social honnête, transparent, amoureux de la France et dévoué au bien public.
Au réveil de ce cauchemar, l’électeur transi allume sa bougie de chevet et consulte son calendrier.
On pourrait attendre mieux de ministres de la France et, surtout, qu’ils ne se complaisent pas dans des jugements sommaires et caricaturaux.
Ce bouleversement arrive au pire moment pour la police nationale.
Durant quatre heures, les différents intervenants ont échangé sur ces sujets. Pas un n’a rappelé le contexte de montée de l’islamisme en Europe…
Après la visite inutile et ronflante en août d’Emmanuel Macron, honteusement sifflé à Oran, Élisabeth Borne débarque à Alger en amie, ce dimanche matin, accompagnée d’une énorme délégation de seize ministres ! Pour quoi faire ?
Être traité de « torchon » par un élu appartenant à un groupe parlementaire pouvant être à peu près qualifié de tout, sauf de beau linge, est presque un honneur.
Le pouvoir a-t-il pris conscience de l’ampleur de l’incendie qu’il a lui-même allumé ? Et va-t-il ajourner cette réforme ?
Les Français ont sans doute aussi compris que tout n’est peut-être pas la faute « à » Poutine.
Les opposants au RN ne se privent pas de ressusciter les vieux démons de l’Histoire de France.