Politique
Cela aurait-il quelque chose à voir avec la crise énergétique, le prix des carburants que ceux qui sont obligés de prendre leur voiture ont de plus en plus de mal à payer ?
S’il est plus facile de regarder cette plèbe patouiller dans ses contradictions, il convient toutefois de ne pas oublier le chef, perdu dans sa verticalité et, pour l’instant, irremplaçable.
Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.
Sur le plan des idées, il faut tout de même noter chez Jordan Bardella une appétence pour le régalien et un discours très à droite, tandis qu’Aliot fait davantage campagne sur le localisme et un aspect plus social.
La guerre des mots est déclarée, et cet apanage qu’avait la gauche de noyer le poisson dans des mots vides à l’intérieurs, percutants à l’extérieur, semble lui échapper.
Pour justifier son initiative, Michaël Delafosse met en avant le cosmopolitisme de sa ville, une ville universitaire qui, à l’en croire, ne serait peuplée que de brillants étudiants et de savants chercheurs…
Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.
Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.
Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.
Dans un contexte d’inflation généralisée et de tensions sociales, la réforme des retraites risque d’être la goutte d’eau.
Après examen des temps de transport, des chronométrages et de l’anticyclone des Açores, la conclusion tombe.
Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.
C’est une information du Figaro tombée vendredi soir et passée inaperçue, alors que vous hésitez toujours entre les options journée du pull, changement de chaudière,
Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.
Il suffit qu’Ursula von der Leyen encourage les pays européens à « gérer les migrations avec dignité et respect » dans son discours sur l’état de l’Union pour qu’Emmanuel Macron, dès le lendemain, se saisisse du sujet migratoire.
À l’image des comptes du parti assainis par d’excellents scores aux élections législatives et de la future élection pour la présidence du parti, Marine Le Pen et ses troupes actent une forme de « reset ».
Les démocraties occidentales disent défendre les droits de l’homme et la démocratie, mais en pratique, l’Union européenne préfère la dictature azerbaïdjanaise pour des raisons d’intérêt.
Spécialiste de la fraude sociale, le magistrat Charles Prats analyse pour Boulevard Voltaire les prestations à près de 6.000 euros reçues par une famille pour le seul mois d’août.
Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.
Les tristes nouvelles se succèdent. Après le décès de la reine d’Angleterre, le monde politique est endeuillé par le départ de Philippe Poutou vers un autre secteur d’activité.
Étonnamment – ou pas -, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants.
S’interroger sur les conséquences prévisibles de l’arrivée massive d’une population étrangère issue de pays dont les mœurs, les relations entre les sexes, la place de la femme, les rapports sociaux et familiaux sont si différents des nôtres était leur devoir.
L’ancien candidat à la présidentielle veut désormais renommer chaque « attaque de Français par un immigré en francocide ».
Ce dimanche 11 septembre, Reconquête! clôturait sa première université d’été dans le Var. Le jeune parti a réussi à créer la surprise en réunissant 7 000 militants suspendus au discours d’Eric Zemmour.
Mélenchon parle à ceux pour qui la France n’est plus qu’une vache à lait : mondialistes, wokistes ou de culture étrangère. Roussel tente de récupérer les autres, ceux qui ont le culot de vouloir vivre en Français en France…
Décidément, tout fout le camp. Rome n’est plus dans Rome et la Fête de l’Humanité n’est même plus à La Courneuve.
Les « Démocrates de Suède » deviennent ainsi le deuxième parti politique du pays, derrière celui, historique, des « Sociaux-démocrates ».
Dans une prochaine interview, Agnès Pannier-Runacher traitera de l’hibernation du propriétaire de Tesla en milieu macronien.
Cela aurait-il quelque chose à voir avec la crise énergétique, le prix des carburants que ceux qui sont obligés de prendre leur voiture ont de plus en plus de mal à payer ?
S’il est plus facile de regarder cette plèbe patouiller dans ses contradictions, il convient toutefois de ne pas oublier le chef, perdu dans sa verticalité et, pour l’instant, irremplaçable.
Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.
Sur le plan des idées, il faut tout de même noter chez Jordan Bardella une appétence pour le régalien et un discours très à droite, tandis qu’Aliot fait davantage campagne sur le localisme et un aspect plus social.
La guerre des mots est déclarée, et cet apanage qu’avait la gauche de noyer le poisson dans des mots vides à l’intérieurs, percutants à l’extérieur, semble lui échapper.
Pour justifier son initiative, Michaël Delafosse met en avant le cosmopolitisme de sa ville, une ville universitaire qui, à l’en croire, ne serait peuplée que de brillants étudiants et de savants chercheurs…
Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.
Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.
Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.
Dans un contexte d’inflation généralisée et de tensions sociales, la réforme des retraites risque d’être la goutte d’eau.
Après examen des temps de transport, des chronométrages et de l’anticyclone des Açores, la conclusion tombe.
Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.
C’est une information du Figaro tombée vendredi soir et passée inaperçue, alors que vous hésitez toujours entre les options journée du pull, changement de chaudière,
Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.
Il suffit qu’Ursula von der Leyen encourage les pays européens à « gérer les migrations avec dignité et respect » dans son discours sur l’état de l’Union pour qu’Emmanuel Macron, dès le lendemain, se saisisse du sujet migratoire.
À l’image des comptes du parti assainis par d’excellents scores aux élections législatives et de la future élection pour la présidence du parti, Marine Le Pen et ses troupes actent une forme de « reset ».
Les démocraties occidentales disent défendre les droits de l’homme et la démocratie, mais en pratique, l’Union européenne préfère la dictature azerbaïdjanaise pour des raisons d’intérêt.
Spécialiste de la fraude sociale, le magistrat Charles Prats analyse pour Boulevard Voltaire les prestations à près de 6.000 euros reçues par une famille pour le seul mois d’août.
Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.
Les tristes nouvelles se succèdent. Après le décès de la reine d’Angleterre, le monde politique est endeuillé par le départ de Philippe Poutou vers un autre secteur d’activité.
Étonnamment – ou pas -, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants.
S’interroger sur les conséquences prévisibles de l’arrivée massive d’une population étrangère issue de pays dont les mœurs, les relations entre les sexes, la place de la femme, les rapports sociaux et familiaux sont si différents des nôtres était leur devoir.
L’ancien candidat à la présidentielle veut désormais renommer chaque « attaque de Français par un immigré en francocide ».
Ce dimanche 11 septembre, Reconquête! clôturait sa première université d’été dans le Var. Le jeune parti a réussi à créer la surprise en réunissant 7 000 militants suspendus au discours d’Eric Zemmour.
Mélenchon parle à ceux pour qui la France n’est plus qu’une vache à lait : mondialistes, wokistes ou de culture étrangère. Roussel tente de récupérer les autres, ceux qui ont le culot de vouloir vivre en Français en France…
Décidément, tout fout le camp. Rome n’est plus dans Rome et la Fête de l’Humanité n’est même plus à La Courneuve.
Les « Démocrates de Suède » deviennent ainsi le deuxième parti politique du pays, derrière celui, historique, des « Sociaux-démocrates ».
Dans une prochaine interview, Agnès Pannier-Runacher traitera de l’hibernation du propriétaire de Tesla en milieu macronien.