Politique
Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.
On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !
La mauvaise nouvelle, c’est qu’il n’a pas l’air d’avoir envie de raccrocher. La bonne, c’est qu’aucun de ses seconds couteaux , incultes et vulgaires, ne semble prêt à reprendre le flambeau.
Le problème, c’est qu’ils ne sont pas tous d’accord sur le contenu de cette rupture.
Stéphane Wilmotte, maire UDI de Hautmont, dans le département du Nord, a refusé de célébrer, samedi 3 septembre, l’union d’un Algérien et d’une Française, rapporte
Les propos clientélistes contradictoires qu’il a tenus sont profondément néfastes ; nous avons trop souffert de la duplicité et du cynisme aves lesquels De Gaulle a traité le dossier algérien pour accepter le « en même temps ».
Devant le retour au premier plan de réalités douloureuses, les délires de la NUPES et l’imposture du macronisme, le RN et tout ce qui s’en approche ont de beaux jours devant eux.
C’est à chaque fois la même rhétorique : le bon musulman, propagateur de paix, face à l’État français qui ne voudrait que son mal.
Du vent. Ce qui reste quand on n’a plus ni électricité ni gaz ni boussole.
Autant dire que ce n’est pas la montagne qui accouche d’une souris mais plutôt la taupinière qui enfante un lombric.
La République fait parfois des miracles.
L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration.
Tous repartiront les poches remplies de petits fours mi-figue mi-raisin…
Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.
C’est l’histoire d’un homme ayant contribué à faire l’Histoire avant que cette dernière ne l’emporte, cœur et âme, corps et biens.
La chef du groupe RN à l’Assemblée demande la reprise des travaux parlementaires dès septembre pour débattre des « mesures à prendre pour protéger les Français de la crise énergétique ».
Au début du premier mandat d’Emmanuel Macron, il fallait « penser printemps ». Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui nous disent, avec la même assurance, qu’il va falloir penser, non pas hiver, mais à l’hiver qui vient…
Le Service central du renseignement territorial (SCRT) confirme l’influence majeure des militants islamistes dans l’orientation du « vote musulman » en faveur de Jean-Luc Mélenchon.
Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.
Son refus d’une hypothétique « union des droites » n’empêche visiblement pas Marine Le Pen d’engranger de plus en plus de suffrages chez ces mêmes électeurs de droite.
Dans le Tarn, le député des Alpes-Maritimes s’est engagé à rompre avec la politique menée par la droite depuis dix ans et à retrouver l’essence du parti, une vraie droite gaulliste.
Il est grand temps de sortir des slogans politico-sécuritaires que l’on nous sert depuis trop longtemps, pour élaborer une vraie politique nationale de sécurité.
Du côté des concessions françaises, elles se précisent. Et, comme d’habitude, c’est la vanne migratoire qui a été rouverte !
L’affaire de l’Observatoire s’est jouée sans morts, sans effusion de sang, sans procès et sans véritable enquête. Elle s’est noyée dans la politique.
L’étude révèle que les Français n’adhèrent pas au discours déroulé par Emmanuel Macron et son gouvernement.
Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…
Le 18 novembre 1959, au terme d’une intense préparation d’artillerie de la presse amie, Mitterrand joue son avenir face à ses pairs du Sénat.
Hassan Iquioussen se souvient de cette soirée avec le ministre et raconte : « On a passé une très belle soirée. C’était très positif, on s’est mis d’accord sur 99,9 % des sujets de conversation. »
Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.
On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !
La mauvaise nouvelle, c’est qu’il n’a pas l’air d’avoir envie de raccrocher. La bonne, c’est qu’aucun de ses seconds couteaux , incultes et vulgaires, ne semble prêt à reprendre le flambeau.
Le problème, c’est qu’ils ne sont pas tous d’accord sur le contenu de cette rupture.
Stéphane Wilmotte, maire UDI de Hautmont, dans le département du Nord, a refusé de célébrer, samedi 3 septembre, l’union d’un Algérien et d’une Française, rapporte
Les propos clientélistes contradictoires qu’il a tenus sont profondément néfastes ; nous avons trop souffert de la duplicité et du cynisme aves lesquels De Gaulle a traité le dossier algérien pour accepter le « en même temps ».
Devant le retour au premier plan de réalités douloureuses, les délires de la NUPES et l’imposture du macronisme, le RN et tout ce qui s’en approche ont de beaux jours devant eux.
C’est à chaque fois la même rhétorique : le bon musulman, propagateur de paix, face à l’État français qui ne voudrait que son mal.
Du vent. Ce qui reste quand on n’a plus ni électricité ni gaz ni boussole.
Autant dire que ce n’est pas la montagne qui accouche d’une souris mais plutôt la taupinière qui enfante un lombric.
La République fait parfois des miracles.
L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration.
Tous repartiront les poches remplies de petits fours mi-figue mi-raisin…
Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.
C’est l’histoire d’un homme ayant contribué à faire l’Histoire avant que cette dernière ne l’emporte, cœur et âme, corps et biens.
La chef du groupe RN à l’Assemblée demande la reprise des travaux parlementaires dès septembre pour débattre des « mesures à prendre pour protéger les Français de la crise énergétique ».
Au début du premier mandat d’Emmanuel Macron, il fallait « penser printemps ». Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui nous disent, avec la même assurance, qu’il va falloir penser, non pas hiver, mais à l’hiver qui vient…
Le Service central du renseignement territorial (SCRT) confirme l’influence majeure des militants islamistes dans l’orientation du « vote musulman » en faveur de Jean-Luc Mélenchon.
Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.
Son refus d’une hypothétique « union des droites » n’empêche visiblement pas Marine Le Pen d’engranger de plus en plus de suffrages chez ces mêmes électeurs de droite.
Dans le Tarn, le député des Alpes-Maritimes s’est engagé à rompre avec la politique menée par la droite depuis dix ans et à retrouver l’essence du parti, une vraie droite gaulliste.
Il est grand temps de sortir des slogans politico-sécuritaires que l’on nous sert depuis trop longtemps, pour élaborer une vraie politique nationale de sécurité.
Du côté des concessions françaises, elles se précisent. Et, comme d’habitude, c’est la vanne migratoire qui a été rouverte !
L’affaire de l’Observatoire s’est jouée sans morts, sans effusion de sang, sans procès et sans véritable enquête. Elle s’est noyée dans la politique.
L’étude révèle que les Français n’adhèrent pas au discours déroulé par Emmanuel Macron et son gouvernement.
Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…
Le 18 novembre 1959, au terme d’une intense préparation d’artillerie de la presse amie, Mitterrand joue son avenir face à ses pairs du Sénat.
Hassan Iquioussen se souvient de cette soirée avec le ministre et raconte : « On a passé une très belle soirée. C’était très positif, on s’est mis d’accord sur 99,9 % des sujets de conversation. »