Politique
Rappelons qu’Éric Coquerel nie formellement les faits qui lui sont reprochés.
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
La cancel culture basse intensité, c’est aussi cela.
Narcisse ne connaît pas la culpabilité.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
Le traitement politique et médiatique de l’évolution de la guerre en Ukraine offre, de nos jours, un parfait exemple de dissonance cognitive.
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Le procès médiatique et la dictature émotionnelle ont eu raison de ses prises de position. Voilà ce qu’il en coûte de soutenir Emmanuel Macron.
Combien de temps LFI restera-t-elle le petit frisson bourgeois qui permet aux CSP++ de s’encanailler aux côtés des islamistes radicaux, des zadistes et des revendicailleurs de tout poil ?
Cette rumeur de nomination de Montchalin tombe bien mal, quelques mois à peine après qu’Emmanuel Macron a supprimé le corps diplomatique…
Suspendus et sans revenus, ces milliers de travailleurs de la santé ont les yeux braqués sur l’Assemblée et espèrent encore un revirement.
Et puis est arrivé le fiasco du Stade de France, assumé totalement par le préfet qui a, une fois de plus, accepté de jouer les fusibles pour le ministre de l’Intérieur.
À peine un mois après le résultat des élections législatives, la NUPES a annoncé, mercredi dernier, vouloir déposer une motion de censure à l’Assemblée nationale afin de faire tomber le gouvernement d’Élisabeth Borne.
Alors qu’ils buvaient un verre en terrasse à Bordeaux, l’ancien candidat aux législatives du RN et une poignée de camarades ont subi l’assaut de dizaines de militants venus en découdre.
Objectif caché qu’il s’agit aujourd’hui de révéler aux yeux de l’ensemble des Français et de déchirer lorsque la représentation nationale, désormais plus légitime, devra s’emparer de la question.
Emmanuel Macron ne pourra pas se représenter et sa « pensée complexe » ne trouve, c’est bien normal, pas d’incarnation évidente chez l’un de ses subordonnés…
On exhibe sa volonté de dialogue, mais on se fiche éperdument, dans les sphères du pouvoir, de ce que pensent la majorité des Français.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.
La nouvelle vague qu’il va devoir enrayer, maintenant, est plutôt celle du ridicule
Une fois encore, Olivier Véran a évoqué l’intention d’Emmanuel Macron et du gouvernement de « travailler et gouverner avec toutes celles et ceux qui sont dans l’arc républicain »…
Au lendemain des deux scrutins présidentiel et législatifs, les mairies ont rangé leurs urnes, isoloirs et panneaux d’affichage. Il est peut-être temps de réfléchir à
Sur le plateau de BFM TV, Marine Le Pen a, en quelque sorte, dit « Chiche ! » à Gérald Darmanin…
C’est une sorte de gouvernement par défaut que M. Macron a nommé. À défaut de mieux. À défaut, surtout, de l’adhésion des Français.
Son slogan « God, family, country » (ou « Dieu, la famille, la nation ») n’avait pas pour projet de parler aux modérés, loin s’en faut, mais plutôt de raviver les valeurs traditionnelles des électeurs.
Désormais, l’opposition est majoritaire au Parlement en ses deux chambres et pourrait donc imposer un projet de loi référendaire.
Ce jeudi 7 juillet, le gouvernement a présenté en Conseil des ministres le projet de loi pour le pouvoir d’achat. Le projet sera débattu à
Boris Vallaud serait bien inspiré d’étudier un peu l’histoire de son parti avant de donner des leçons aux autres formations politiques.
La classe politique a fini par accepter avec résignation la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Rappelons qu’Éric Coquerel nie formellement les faits qui lui sont reprochés.
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
La cancel culture basse intensité, c’est aussi cela.
Narcisse ne connaît pas la culpabilité.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
Le traitement politique et médiatique de l’évolution de la guerre en Ukraine offre, de nos jours, un parfait exemple de dissonance cognitive.
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Le procès médiatique et la dictature émotionnelle ont eu raison de ses prises de position. Voilà ce qu’il en coûte de soutenir Emmanuel Macron.
Combien de temps LFI restera-t-elle le petit frisson bourgeois qui permet aux CSP++ de s’encanailler aux côtés des islamistes radicaux, des zadistes et des revendicailleurs de tout poil ?
Cette rumeur de nomination de Montchalin tombe bien mal, quelques mois à peine après qu’Emmanuel Macron a supprimé le corps diplomatique…
Suspendus et sans revenus, ces milliers de travailleurs de la santé ont les yeux braqués sur l’Assemblée et espèrent encore un revirement.
Et puis est arrivé le fiasco du Stade de France, assumé totalement par le préfet qui a, une fois de plus, accepté de jouer les fusibles pour le ministre de l’Intérieur.
À peine un mois après le résultat des élections législatives, la NUPES a annoncé, mercredi dernier, vouloir déposer une motion de censure à l’Assemblée nationale afin de faire tomber le gouvernement d’Élisabeth Borne.
Alors qu’ils buvaient un verre en terrasse à Bordeaux, l’ancien candidat aux législatives du RN et une poignée de camarades ont subi l’assaut de dizaines de militants venus en découdre.
Objectif caché qu’il s’agit aujourd’hui de révéler aux yeux de l’ensemble des Français et de déchirer lorsque la représentation nationale, désormais plus légitime, devra s’emparer de la question.
Emmanuel Macron ne pourra pas se représenter et sa « pensée complexe » ne trouve, c’est bien normal, pas d’incarnation évidente chez l’un de ses subordonnés…
On exhibe sa volonté de dialogue, mais on se fiche éperdument, dans les sphères du pouvoir, de ce que pensent la majorité des Français.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.
La nouvelle vague qu’il va devoir enrayer, maintenant, est plutôt celle du ridicule
Une fois encore, Olivier Véran a évoqué l’intention d’Emmanuel Macron et du gouvernement de « travailler et gouverner avec toutes celles et ceux qui sont dans l’arc républicain »…
Au lendemain des deux scrutins présidentiel et législatifs, les mairies ont rangé leurs urnes, isoloirs et panneaux d’affichage. Il est peut-être temps de réfléchir à
Sur le plateau de BFM TV, Marine Le Pen a, en quelque sorte, dit « Chiche ! » à Gérald Darmanin…
C’est une sorte de gouvernement par défaut que M. Macron a nommé. À défaut de mieux. À défaut, surtout, de l’adhésion des Français.
Son slogan « God, family, country » (ou « Dieu, la famille, la nation ») n’avait pas pour projet de parler aux modérés, loin s’en faut, mais plutôt de raviver les valeurs traditionnelles des électeurs.
Désormais, l’opposition est majoritaire au Parlement en ses deux chambres et pourrait donc imposer un projet de loi référendaire.
Ce jeudi 7 juillet, le gouvernement a présenté en Conseil des ministres le projet de loi pour le pouvoir d’achat. Le projet sera débattu à
Boris Vallaud serait bien inspiré d’étudier un peu l’histoire de son parti avant de donner des leçons aux autres formations politiques.
La classe politique a fini par accepter avec résignation la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.