Politique
La démarche de l’Union est complètement immorale. On ne peut pas relativiser des crimes de guerre d’un côté et les condamner d’un autre.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Ce qui était présenté jusqu’à hier comme un plan du gouvernement français pour anticiper une crise énergétique provoquée par une action diplomatique des plus hasardeuses ressort en réalité du plan de la Commission européenne présenté le 20 juillet à Bruxelles.
L’en même temps, c’est le rien. C’est l’ambiguïté insaisissable. Oui et non. Couci-couça.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Quand Rémy Rebeyrotte voudra lutter contre le sexisme, il n’aura donc plus qu’à pincer les fesses de Sandrine Rousseau.
Bordeaux n’est évidemment qu’un exemple. Peut-être d’autant plus frappant du fait de son raffinement, jadis.
Très critiquée aux États-Unis, la rencontre entre Joe Biden et Mohammed ben Salmane n’a donc débouché sur rien.
Il faut donc rappeler à Sandrine Rousseau et aux NUPES qui l’applaudissent à tout rompre sur les bancs de l’Assemblée nationale que la France taxe déjà les riches.
« On entre dans le dur », déclarait Élisabeth Borne, en début d’après-midi.
Provocatrice certainement, la décision de Darmanin ne devrait, on l’espère, pas amplifier plus encore le climat anti-flic qui règne dans l’Hexagone.
Si vous vouliez avoir raison, vous n’aviez qu’à être d’extrême gauche.
Comment en effet, à un tel niveau de responsabilités, peut-on encore ignorer le b.a.-ba du parler politiquement correct ?
David Lisnard, au moins, creuse son propre chemin. Bien droit et solidement tracé.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
À quoi Macron a-t-il servi, une fois de plus ? En quoi s’est-il attaché à corriger les discours réducteurs, en quoi a-t-il été particulièrement « offensif » sur la question de l’antisémitisme ?
Personne, ou presque, ne serait capable du reste de donner l’intitulé de son ministère.
Le suspect est un réfugié politique soudanais déjà connu de la police.
Comme souvent, c’est du côté de la NUPES qu’il faut chercher les pires indignités…
Si l’affaire Panot permettait d’arrêter enfin l’instrumentalisation des « heures sombres », ce serait une bonne nouvelle. Pour la vérité historique. pour le respect des victimes et de leurs familles. Et pour le débat politique actuel.
Cela vous permettra de vous engager sur le chemin de la « sobriété » dans la joie et la bonne humeur mais, pendant ce temps-là, dans les coulisses, c’est plutôt panique à bord.
Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.
Il n’a pu contenir un laid rictus d’autosatisfaction : ça y est, on en parle. Et puis, tout de suite, évidemment, une fausse humilité, tellement surfaite, surjouée, pénible.
Olivier Marleix a raison d’enfoncer le clou dans le cercueil des arrogances sanitaires de Macron 1.
Le sujet n’est ni médical ni social. Il est politique et François Braun, par sa volte-face, le démontre.
Rappelons qu’Éric Coquerel nie formellement les faits qui lui sont reprochés.
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
La cancel culture basse intensité, c’est aussi cela.
La démarche de l’Union est complètement immorale. On ne peut pas relativiser des crimes de guerre d’un côté et les condamner d’un autre.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Ce qui était présenté jusqu’à hier comme un plan du gouvernement français pour anticiper une crise énergétique provoquée par une action diplomatique des plus hasardeuses ressort en réalité du plan de la Commission européenne présenté le 20 juillet à Bruxelles.
L’en même temps, c’est le rien. C’est l’ambiguïté insaisissable. Oui et non. Couci-couça.
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Quand Rémy Rebeyrotte voudra lutter contre le sexisme, il n’aura donc plus qu’à pincer les fesses de Sandrine Rousseau.
Bordeaux n’est évidemment qu’un exemple. Peut-être d’autant plus frappant du fait de son raffinement, jadis.
Très critiquée aux États-Unis, la rencontre entre Joe Biden et Mohammed ben Salmane n’a donc débouché sur rien.
Il faut donc rappeler à Sandrine Rousseau et aux NUPES qui l’applaudissent à tout rompre sur les bancs de l’Assemblée nationale que la France taxe déjà les riches.
« On entre dans le dur », déclarait Élisabeth Borne, en début d’après-midi.
Provocatrice certainement, la décision de Darmanin ne devrait, on l’espère, pas amplifier plus encore le climat anti-flic qui règne dans l’Hexagone.
Si vous vouliez avoir raison, vous n’aviez qu’à être d’extrême gauche.
Comment en effet, à un tel niveau de responsabilités, peut-on encore ignorer le b.a.-ba du parler politiquement correct ?
David Lisnard, au moins, creuse son propre chemin. Bien droit et solidement tracé.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
À quoi Macron a-t-il servi, une fois de plus ? En quoi s’est-il attaché à corriger les discours réducteurs, en quoi a-t-il été particulièrement « offensif » sur la question de l’antisémitisme ?
Personne, ou presque, ne serait capable du reste de donner l’intitulé de son ministère.
Le suspect est un réfugié politique soudanais déjà connu de la police.
Comme souvent, c’est du côté de la NUPES qu’il faut chercher les pires indignités…
Si l’affaire Panot permettait d’arrêter enfin l’instrumentalisation des « heures sombres », ce serait une bonne nouvelle. Pour la vérité historique. pour le respect des victimes et de leurs familles. Et pour le débat politique actuel.
Cela vous permettra de vous engager sur le chemin de la « sobriété » dans la joie et la bonne humeur mais, pendant ce temps-là, dans les coulisses, c’est plutôt panique à bord.
Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.
Il n’a pu contenir un laid rictus d’autosatisfaction : ça y est, on en parle. Et puis, tout de suite, évidemment, une fausse humilité, tellement surfaite, surjouée, pénible.
Olivier Marleix a raison d’enfoncer le clou dans le cercueil des arrogances sanitaires de Macron 1.
Le sujet n’est ni médical ni social. Il est politique et François Braun, par sa volte-face, le démontre.
Rappelons qu’Éric Coquerel nie formellement les faits qui lui sont reprochés.
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
La cancel culture basse intensité, c’est aussi cela.