Politique
Un gouvernement incapable de faire respecter la loi devant le musée du Louvre pouvait-il assurer la sécurité de milliers de supporters devant le Stade de France ?
Un communiqué de l’UEFA censuré ? Selon RMC Sport qui reprend une information publiée par le Daily Mail, les autorités françaises auraient fait pression sur
Toute ressemblance avec la situation actuelle serait purement fortuite. Mais notre Histoire constitutionnelle, malgré ses cohérences majoritaires bien huilées, recèle tout de même quelques situations de crise.
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Depuis plusieurs années, une partie de la France dite périphérique se réveille. Le département de l’Aisne, notamment, a voté à près de 60 % (59,9 %) en faveur de la candidate RN au second tour des élections présidentielles. Que s’est-il passé ?
Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
Du rêve au cauchemar pour ce couple qui a tout payé et se retrouve à la porte de chez lui, empêché par des gens qui n’ont pas le droit d’être et dans la maison et en France.
Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et – contrairement aux policiers – n’a sans doute entendu siffler de sa vie d’autres balles que celles d’un terrain de pétanque.
Annoncer que l’on crée 200 brigades de gendarmerie est une mystification et une désinformation de la part d’Emmanuel Macron afin de masquer la misère d’une politique sécuritaire erratique depuis vingt ans.
A-t-on entendu Darmanin dire « J’assume en totalité la responsabilité de la gestion politique de ce désastre » ?
Chez Reconquête, Maylis Perrot pense que les électeurs ont voté Le Pen en se tournant vers un nom qu’ils connaissent ; maintenant, aux législatives, ce sera aux candidats de faire la différence.
Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement PISA.
Des candidats issus de la vie civile, novices en politique, ont décidé de se lancer dans l’arène. Avec des étiquettes (très) lourdes à porter et des chances (très) incertaines. Tout à perdre, rien à gagner. Masochistes ? Non, amoureux de la France,
En résumé : on peut laisser tout le temps du monde à la gauche pour changer, il y a deux choses qu’elle ne saura jamais faire : compter la tête froide et dire la vérité.
Le 84ème département de France (le Vaucluse) est un véritable laboratoire de l’union des droites. Dans les cinq circonscriptions du département, ils sont nombreux à porter la voix de la droite au sens large.
Cette campagne pour les élections législatives, quoique peu suivie par une majorité de nos compatriotes, est décidément un délice quotidien. Surtout quand un événement a
La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.
En des temps voulant qu’on aboutisse aux simplifications administratives et à tailler dans le mille-feuilles bureaucratique, il n’est pas sûr qu’y surajouter une énième couche de ronds-de-cuir puisse faire figure d’initiative intelligible par le commun.
Devant la photo des douze candidats investis par la NUPES en Seine Saint-Denis, Yassine Belattar blêmit : une seule personne semble issue de la diversité.
Saturer l’actualité médiatique avec des propositions à l’emporte-pièce qui s’apparentent davantage à des slogans qu’à des politiques élaborées, capables de répondre à la situation de la France.
Bien que n’ayant hérité d’aucun portefeuille ministériel, Christian Estrosi continue à assurer le service après-vente de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron, et la sienne.
Personne, ou presque, ne croit un seul instant que Jean-Luc Mélenchon sera Premier ministre, mais ce n’est pas grave : plus c’est gros, plus ça passe.
Le Rhône arrivait de la droite, la Marne ne l’a pas vu venir. Tout s’est mélangé. En réalité, la candidate est victime d’un dégât des eaux.
La « nouvelle méthode » que vient de dévoiler le président de la République montre que, du haut de son Olympe, tel un illusionniste, il continue de jouer à faire semblant.
L’hiver a été froid et l’été va être chaud, qu’elle dit, car elle a travaillé ses dossiers…
La défaite de Manuel Valls est peut-être la première note d’une petite musique, alimentée par certains sondages : plusieurs autres figures de la Macronie seraient en difficulté.
Les accusations de « désordre » et de « soumission» n’étaient pas les mieux choisies par Emmanuel Macron et risquent de lui revenir en boomerang.
Ce dont ont besoin ces quartiers, c’est une vraie volonté politique d’en finir avec le clientélisme et l’achat de la paix sociale.
Un gouvernement incapable de faire respecter la loi devant le musée du Louvre pouvait-il assurer la sécurité de milliers de supporters devant le Stade de France ?
Un communiqué de l’UEFA censuré ? Selon RMC Sport qui reprend une information publiée par le Daily Mail, les autorités françaises auraient fait pression sur
Toute ressemblance avec la situation actuelle serait purement fortuite. Mais notre Histoire constitutionnelle, malgré ses cohérences majoritaires bien huilées, recèle tout de même quelques situations de crise.
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Depuis plusieurs années, une partie de la France dite périphérique se réveille. Le département de l’Aisne, notamment, a voté à près de 60 % (59,9 %) en faveur de la candidate RN au second tour des élections présidentielles. Que s’est-il passé ?
Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
Du rêve au cauchemar pour ce couple qui a tout payé et se retrouve à la porte de chez lui, empêché par des gens qui n’ont pas le droit d’être et dans la maison et en France.
Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et – contrairement aux policiers – n’a sans doute entendu siffler de sa vie d’autres balles que celles d’un terrain de pétanque.
Annoncer que l’on crée 200 brigades de gendarmerie est une mystification et une désinformation de la part d’Emmanuel Macron afin de masquer la misère d’une politique sécuritaire erratique depuis vingt ans.
A-t-on entendu Darmanin dire « J’assume en totalité la responsabilité de la gestion politique de ce désastre » ?
Chez Reconquête, Maylis Perrot pense que les électeurs ont voté Le Pen en se tournant vers un nom qu’ils connaissent ; maintenant, aux législatives, ce sera aux candidats de faire la différence.
Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement PISA.
Des candidats issus de la vie civile, novices en politique, ont décidé de se lancer dans l’arène. Avec des étiquettes (très) lourdes à porter et des chances (très) incertaines. Tout à perdre, rien à gagner. Masochistes ? Non, amoureux de la France,
En résumé : on peut laisser tout le temps du monde à la gauche pour changer, il y a deux choses qu’elle ne saura jamais faire : compter la tête froide et dire la vérité.
Le 84ème département de France (le Vaucluse) est un véritable laboratoire de l’union des droites. Dans les cinq circonscriptions du département, ils sont nombreux à porter la voix de la droite au sens large.
Cette campagne pour les élections législatives, quoique peu suivie par une majorité de nos compatriotes, est décidément un délice quotidien. Surtout quand un événement a
La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.
En des temps voulant qu’on aboutisse aux simplifications administratives et à tailler dans le mille-feuilles bureaucratique, il n’est pas sûr qu’y surajouter une énième couche de ronds-de-cuir puisse faire figure d’initiative intelligible par le commun.
Devant la photo des douze candidats investis par la NUPES en Seine Saint-Denis, Yassine Belattar blêmit : une seule personne semble issue de la diversité.
Saturer l’actualité médiatique avec des propositions à l’emporte-pièce qui s’apparentent davantage à des slogans qu’à des politiques élaborées, capables de répondre à la situation de la France.
Bien que n’ayant hérité d’aucun portefeuille ministériel, Christian Estrosi continue à assurer le service après-vente de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron, et la sienne.
Personne, ou presque, ne croit un seul instant que Jean-Luc Mélenchon sera Premier ministre, mais ce n’est pas grave : plus c’est gros, plus ça passe.
Le Rhône arrivait de la droite, la Marne ne l’a pas vu venir. Tout s’est mélangé. En réalité, la candidate est victime d’un dégât des eaux.
La « nouvelle méthode » que vient de dévoiler le président de la République montre que, du haut de son Olympe, tel un illusionniste, il continue de jouer à faire semblant.
L’hiver a été froid et l’été va être chaud, qu’elle dit, car elle a travaillé ses dossiers…
La défaite de Manuel Valls est peut-être la première note d’une petite musique, alimentée par certains sondages : plusieurs autres figures de la Macronie seraient en difficulté.
Les accusations de « désordre » et de « soumission» n’étaient pas les mieux choisies par Emmanuel Macron et risquent de lui revenir en boomerang.
Ce dont ont besoin ces quartiers, c’est une vraie volonté politique d’en finir avec le clientélisme et l’achat de la paix sociale.