Education
Pap Ndiaye, idéologue woke dépourvu de charisme et de compétence, est complètement dépassé par la situation.
Pour les enseignants, c’est le supplice de Sisyphe…
Auparavant, les diplômes conjuguaient valeurs morale et technique à leurs titulaires. Avec leur généralisation, il apparaît qu’intelligence, capacité de réflexion et niveau de diplômes sont démembrés.
Chez nos élèves, ce fut une frénésie patriote et jamais on ne les avait autant entendus parler de géographie.
Cette décision signe donc à la fois l’échec patent du modèle éducatif français, l’échec patent de son système judiciaire… et l’utilisation un peu hasardeuse des derniers moyens disponibles pour faire illusion…
Interrogé sur le sens du mot « mérite », le Larousse en ligne indique : c’est « ce qui rend quelqu’un (ou sa conduite) digne d’estime, de récompense, eu égard aux difficultés surmontées ».
Mais le niveau des élèves ? Il attendra car, mercredi matin, le ministre est pris : il officie pour l’introduction du Programme national de formation consacré à la prévention des LGBTphobies en milieu scolaire.
Sur deux heures prévues en présence de ce Grand Satan énergétique, les étudiants avaient obtenu de la direction de réduire le temps de l’exposé à trois quarts d’heure, le reste était dévolu aux échanges d’idées. C’était trop.
Comme les élèves, c’est avec une joie franche que j’ai entendu la sonnerie retentir.
C’est encore « l’extrême droite » qui a donné l’alerte, agi, prouvé, mobilisé. Et mobilisé tellement de monde que maire, préfet, ministre ont cédé. Exemplaire.
Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.
Faut-il vraiment que l’université soit devenue, en toute impunité, le temple du sectarisme gauchiste ?
Ils ont 13-14 ans et sont d’une inculture crasse, tellement profonde qu’ils ne comprennent rien au monde qui les entoure.
En une demi-heure, seuls quelques élèves furent en mesure d’écrire un embryon de texte.
Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.
L’enseignement, « le plus beau métier du monde », devient un enfer.
La semaine avait été calme. Nous avions juste traité les dossiers ordinaires : un chalumeau et un couteau amenés dans la cour de récréation, une bagarre, quelques insultes…
Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !
En 25 ans de carrière dans l’éducation, je ne compte plus le nombre d’injonctions ministérielles qui n’ont eu aucune efficience pour les élèves français.
Les étudiants strasbourgeois en proie à la grande caillante de janvier seraient bien inspirés de méditer ce qui peut s’apparenter à un véritable scandale d’État.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Que pourrait-on interdire encore ?
L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.
La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.
Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.
Si la radicalisation reste (encore) une exception, l’islamisme, lui, séduit de plus en plus les adolescents.
Caroline Parmentier a fait de la protection de l’enfance un enjeu principal de son mandat.
En ligne de mire, la politique menée par le ministère au nom de « la lutte contre les inégalités de genre à l’école ».
Pap Ndiaye, idéologue woke dépourvu de charisme et de compétence, est complètement dépassé par la situation.
Pour les enseignants, c’est le supplice de Sisyphe…
Auparavant, les diplômes conjuguaient valeurs morale et technique à leurs titulaires. Avec leur généralisation, il apparaît qu’intelligence, capacité de réflexion et niveau de diplômes sont démembrés.
Chez nos élèves, ce fut une frénésie patriote et jamais on ne les avait autant entendus parler de géographie.
Cette décision signe donc à la fois l’échec patent du modèle éducatif français, l’échec patent de son système judiciaire… et l’utilisation un peu hasardeuse des derniers moyens disponibles pour faire illusion…
Interrogé sur le sens du mot « mérite », le Larousse en ligne indique : c’est « ce qui rend quelqu’un (ou sa conduite) digne d’estime, de récompense, eu égard aux difficultés surmontées ».
Mais le niveau des élèves ? Il attendra car, mercredi matin, le ministre est pris : il officie pour l’introduction du Programme national de formation consacré à la prévention des LGBTphobies en milieu scolaire.
Sur deux heures prévues en présence de ce Grand Satan énergétique, les étudiants avaient obtenu de la direction de réduire le temps de l’exposé à trois quarts d’heure, le reste était dévolu aux échanges d’idées. C’était trop.
Comme les élèves, c’est avec une joie franche que j’ai entendu la sonnerie retentir.
C’est encore « l’extrême droite » qui a donné l’alerte, agi, prouvé, mobilisé. Et mobilisé tellement de monde que maire, préfet, ministre ont cédé. Exemplaire.
Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.
Faut-il vraiment que l’université soit devenue, en toute impunité, le temple du sectarisme gauchiste ?
Ils ont 13-14 ans et sont d’une inculture crasse, tellement profonde qu’ils ne comprennent rien au monde qui les entoure.
En une demi-heure, seuls quelques élèves furent en mesure d’écrire un embryon de texte.
Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.
L’enseignement, « le plus beau métier du monde », devient un enfer.
La semaine avait été calme. Nous avions juste traité les dossiers ordinaires : un chalumeau et un couteau amenés dans la cour de récréation, une bagarre, quelques insultes…
Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !
En 25 ans de carrière dans l’éducation, je ne compte plus le nombre d’injonctions ministérielles qui n’ont eu aucune efficience pour les élèves français.
Les étudiants strasbourgeois en proie à la grande caillante de janvier seraient bien inspirés de méditer ce qui peut s’apparenter à un véritable scandale d’État.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Que pourrait-on interdire encore ?
L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.
La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.
Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.
Si la radicalisation reste (encore) une exception, l’islamisme, lui, séduit de plus en plus les adolescents.
Caroline Parmentier a fait de la protection de l’enfance un enjeu principal de son mandat.
En ligne de mire, la politique menée par le ministère au nom de « la lutte contre les inégalités de genre à l’école ».
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