Education

Mona Ozouf affirmait, dans L’École, l’Église et la République, que l’école est le meilleur moyen de « peser sur les générations montantes ». Vincent Peillon ne

On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.

Le ministre de l’Éducation nationale adopte des « micro-mesures gadgets » et tente de pallier l’effondrement du niveau scolaire par un « bougisme politique », dénonce cet ancien inspecteur général de l’Éducation nationale.

L’auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique.

L’enseignant est-il au service de ce qu’il croit être la vérité ou est-il au service de la réussite – scolaire, sociale… – de ses élèves ?

Plusieurs élus conservateurs, aux États-Unis, ont décidé de sonner la fin de la grande récréation LGBT et, partant, de restreindre les spectacles des drag-queens, tout simplement en les interdisant aux enfants.

Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.

Pour Agnès Marion, porte-parole de Parents vigilants, il n’y a pas de témoignages de parents ou d’enfants qui ne soient anecdotiques : « Ces signaux faibles nous intéressent parce qu’en réalité, ils sont des faits de société ».

Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?

Au programme de la classe de 5e, nous avons « le roman d’aventures ». Je décide donc d’étudier un texte de Mark Twain, extrait des

Il est incontestable que certains IEP semblent s’inscrire durablement dans une démarche propagandiste.

Par quelle suite effarante de renoncements, de lâchetés, de compromissions et de mensonges peut-on laisser le ver manger tout le fruit ?

« Si la dignité et le respect sont de rigueur, Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale, à trop chercher la consensualité, tombe dans le déni…»

La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.

Peut-être serait-il, d’ailleurs, plus économique et plus formateur de rendre également l’internat obligatoire : ça apprend la vie en collectivité et on diminue les temps de trajet, donc l’empreinte carbone. Non ?

En deux ans d’existence, Le Poing levé a réussi à s’imposer au sein des conseils centraux.

Le sénateur Les Républicains et ancien inspecteur de l’Éducation nationale Max Brisson réagit pour BV au meurtre du professeur d’espagnol du lycée privé Saint-Thomas-d’Aquin de

Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.

Un de mes maîtres m’avait dit un jour que le travail d’un enseignant était justifié par la gratitude d’un seul élève.

Pap Ndiaye, idéologue woke dépourvu de charisme et de compétence, est complètement dépassé par la situation.

Pour les enseignants, c’est le supplice de Sisyphe…

Auparavant, les diplômes conjuguaient valeurs morale et technique à leurs titulaires. Avec leur généralisation, il apparaît qu’intelligence, capacité de réflexion et niveau de diplômes sont démembrés.

Chez nos élèves, ce fut une frénésie patriote et jamais on ne les avait autant entendus parler de géographie.

Cette décision signe donc à la fois l’échec patent du modèle éducatif français, l’échec patent de son système judiciaire… et l’utilisation un peu hasardeuse des derniers moyens disponibles pour faire illusion…

Interrogé sur le sens du mot « mérite », le Larousse en ligne indique : c’est « ce qui rend quelqu’un (ou sa conduite) digne d’estime, de récompense, eu égard aux difficultés surmontées ».

Mais le niveau des élèves ? Il attendra car, mercredi matin, le ministre est pris : il officie pour l’introduction du Programme national de formation consacré à la prévention des LGBTphobies en milieu scolaire.

Sur deux heures prévues en présence de ce Grand Satan énergétique, les étudiants avaient obtenu de la direction de réduire le temps de l’exposé à trois quarts d’heure, le reste était dévolu aux échanges d’idées. C’était trop.

Comme les élèves, c’est avec une joie franche que j’ai entendu la sonnerie retentir.

Mona Ozouf affirmait, dans L’École, l’Église et la République, que l’école est le meilleur moyen de « peser sur les générations montantes ». Vincent Peillon ne

On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.

Le ministre de l’Éducation nationale adopte des « micro-mesures gadgets » et tente de pallier l’effondrement du niveau scolaire par un « bougisme politique », dénonce cet ancien inspecteur général de l’Éducation nationale.

L’auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique.

L’enseignant est-il au service de ce qu’il croit être la vérité ou est-il au service de la réussite – scolaire, sociale… – de ses élèves ?

Plusieurs élus conservateurs, aux États-Unis, ont décidé de sonner la fin de la grande récréation LGBT et, partant, de restreindre les spectacles des drag-queens, tout simplement en les interdisant aux enfants.

Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.

Pour Agnès Marion, porte-parole de Parents vigilants, il n’y a pas de témoignages de parents ou d’enfants qui ne soient anecdotiques : « Ces signaux faibles nous intéressent parce qu’en réalité, ils sont des faits de société ».

Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?

Au programme de la classe de 5e, nous avons « le roman d’aventures ». Je décide donc d’étudier un texte de Mark Twain, extrait des

Il est incontestable que certains IEP semblent s’inscrire durablement dans une démarche propagandiste.

Par quelle suite effarante de renoncements, de lâchetés, de compromissions et de mensonges peut-on laisser le ver manger tout le fruit ?

« Si la dignité et le respect sont de rigueur, Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale, à trop chercher la consensualité, tombe dans le déni…»

La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.

Peut-être serait-il, d’ailleurs, plus économique et plus formateur de rendre également l’internat obligatoire : ça apprend la vie en collectivité et on diminue les temps de trajet, donc l’empreinte carbone. Non ?

En deux ans d’existence, Le Poing levé a réussi à s’imposer au sein des conseils centraux.

Le sénateur Les Républicains et ancien inspecteur de l’Éducation nationale Max Brisson réagit pour BV au meurtre du professeur d’espagnol du lycée privé Saint-Thomas-d’Aquin de

Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.

Un de mes maîtres m’avait dit un jour que le travail d’un enseignant était justifié par la gratitude d’un seul élève.

Pap Ndiaye, idéologue woke dépourvu de charisme et de compétence, est complètement dépassé par la situation.

Pour les enseignants, c’est le supplice de Sisyphe…

Auparavant, les diplômes conjuguaient valeurs morale et technique à leurs titulaires. Avec leur généralisation, il apparaît qu’intelligence, capacité de réflexion et niveau de diplômes sont démembrés.

Chez nos élèves, ce fut une frénésie patriote et jamais on ne les avait autant entendus parler de géographie.

Cette décision signe donc à la fois l’échec patent du modèle éducatif français, l’échec patent de son système judiciaire… et l’utilisation un peu hasardeuse des derniers moyens disponibles pour faire illusion…

Interrogé sur le sens du mot « mérite », le Larousse en ligne indique : c’est « ce qui rend quelqu’un (ou sa conduite) digne d’estime, de récompense, eu égard aux difficultés surmontées ».

Mais le niveau des élèves ? Il attendra car, mercredi matin, le ministre est pris : il officie pour l’introduction du Programme national de formation consacré à la prévention des LGBTphobies en milieu scolaire.

Sur deux heures prévues en présence de ce Grand Satan énergétique, les étudiants avaient obtenu de la direction de réduire le temps de l’exposé à trois quarts d’heure, le reste était dévolu aux échanges d’idées. C’était trop.

Comme les élèves, c’est avec une joie franche que j’ai entendu la sonnerie retentir.
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