Education
Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.
Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.
« Ces personnes veulent que leurs progénitures sachent lire, écrire et compter, au lieu d’apprendre qu’un petit garçon peut devenir une petite fille et vice-versa », affirme Antoine Ardant.
Tout le climat anxiogène et culpabilisant a déjà placé notre jeunesse dans un syndrome d’impuissance acquise.
L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.
Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.
C’est « très clairement » une des priorités de son ministère. Pap Ndiaye s’attaque à la mixité sociale, avec les établissements privés dans le viseur.
Il faut avouer que, cette fois-ci, l’heure est grave.
Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.
Ce sera un « Conseil des ministres inversé », peut-on lire dans La Croix : « Ce sont eux qui présenteront des projets de réforme à une brochette de ministres. » C’est follement drôle, qu’est-ce qu’on s’amuse.
Pourquoi ce pays hait-il à ce point ses enfants ?
Comment le groupe Bayard (ex-Bayard Presse) prépare ses jeunes lecteurs à devenir de futurs activistes gauchistes biberonnés aux valeurs wokistes.
Juché sur ce champ de ruines, l’homme de la démolition de l’Éducation nationale pouvait en effet se permettre un dernier cours, une petite leçon d’histoire manipulée à Gabrielle Cluzel.
L’École privée d’enseignement supérieur cofondée par Marion Maréchal a organisé son deuxième gala annuel, réunissant plus de 400 personnes venues applaudir les étudiants diplômés.
On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio…
La vidéo s’est, bien sûr, retrouvée sur les réseaux sociaux, avec sous-titrage en langue vernaculaire, et les commentaires de la jeune fille : « Elle va voir ce qu’Allah va lui faire. »
Ce qui compte, ce n’est pas ce que les élèves ont sur le dos, c’est ce qu’ils ont dans la tête.
Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.
À l’uniforme, cet ancien inspecteur de l’Éducation nationale suggère également d’ajouter un rétablissement de l’autorité au sein des établissements scolaires.
La grande mosquée de Paris aura beau affirmer son attachement à la laïcité, des prédicateurs salafistes continueront toujours d’encourager avec succès une frange de plus en plus importante de la jeunesse musulmane.
Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.
Il était temps que le ministre de l’Éducation nationale prenne la parole sur la laïcité. C’est un peu un passage obligé quand on est à ce poste.
Deux ans plus tard, alors que nous commémorerons son assassinat ce samedi, on peut raisonnablement se demander si sa mort tragique a été suivie d’effets…
L’islam radical gagne du terrain : le port du voile semble très répandu dans cet établissement, où nous nous sommes rendus à l’heure de la sortie des cours, ce 12 octobre.
Désormais, le super-héros mondialement connu laisse place à son fils, John Kent, un personnage bisexuel qui défile pour le climat et se bat pour les réfugiés.
Seul dans une chambre ! Livré aux dinosaures en matière plastique ! Faut-il ne pas avoir de cœur pour infliger un tel supplice à son enfant !
Encore une illustration du désastre de l’enseignement supérieur en France, plus prompt à plonger dans les délires wokistes qu’à améliorer son organisation et son efficacité.
Nos collectivités, qui investissent plus de 36 milliards d’euros dans le système éducatif français, ont la légitimité démocratique et les moyens pour faire échec au « Grand Endoctrinement ».
Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.
Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.
« Ces personnes veulent que leurs progénitures sachent lire, écrire et compter, au lieu d’apprendre qu’un petit garçon peut devenir une petite fille et vice-versa », affirme Antoine Ardant.
Tout le climat anxiogène et culpabilisant a déjà placé notre jeunesse dans un syndrome d’impuissance acquise.
L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.
Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.
C’est « très clairement » une des priorités de son ministère. Pap Ndiaye s’attaque à la mixité sociale, avec les établissements privés dans le viseur.
Il faut avouer que, cette fois-ci, l’heure est grave.
Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.
Ce sera un « Conseil des ministres inversé », peut-on lire dans La Croix : « Ce sont eux qui présenteront des projets de réforme à une brochette de ministres. » C’est follement drôle, qu’est-ce qu’on s’amuse.
Pourquoi ce pays hait-il à ce point ses enfants ?
Comment le groupe Bayard (ex-Bayard Presse) prépare ses jeunes lecteurs à devenir de futurs activistes gauchistes biberonnés aux valeurs wokistes.
Juché sur ce champ de ruines, l’homme de la démolition de l’Éducation nationale pouvait en effet se permettre un dernier cours, une petite leçon d’histoire manipulée à Gabrielle Cluzel.
L’École privée d’enseignement supérieur cofondée par Marion Maréchal a organisé son deuxième gala annuel, réunissant plus de 400 personnes venues applaudir les étudiants diplômés.
On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio…
La vidéo s’est, bien sûr, retrouvée sur les réseaux sociaux, avec sous-titrage en langue vernaculaire, et les commentaires de la jeune fille : « Elle va voir ce qu’Allah va lui faire. »
Ce qui compte, ce n’est pas ce que les élèves ont sur le dos, c’est ce qu’ils ont dans la tête.
Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.
À l’uniforme, cet ancien inspecteur de l’Éducation nationale suggère également d’ajouter un rétablissement de l’autorité au sein des établissements scolaires.
La grande mosquée de Paris aura beau affirmer son attachement à la laïcité, des prédicateurs salafistes continueront toujours d’encourager avec succès une frange de plus en plus importante de la jeunesse musulmane.
Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.
Il était temps que le ministre de l’Éducation nationale prenne la parole sur la laïcité. C’est un peu un passage obligé quand on est à ce poste.
Deux ans plus tard, alors que nous commémorerons son assassinat ce samedi, on peut raisonnablement se demander si sa mort tragique a été suivie d’effets…
L’islam radical gagne du terrain : le port du voile semble très répandu dans cet établissement, où nous nous sommes rendus à l’heure de la sortie des cours, ce 12 octobre.
Désormais, le super-héros mondialement connu laisse place à son fils, John Kent, un personnage bisexuel qui défile pour le climat et se bat pour les réfugiés.
Seul dans une chambre ! Livré aux dinosaures en matière plastique ! Faut-il ne pas avoir de cœur pour infliger un tel supplice à son enfant !
Encore une illustration du désastre de l’enseignement supérieur en France, plus prompt à plonger dans les délires wokistes qu’à améliorer son organisation et son efficacité.
Nos collectivités, qui investissent plus de 36 milliards d’euros dans le système éducatif français, ont la légitimité démocratique et les moyens pour faire échec au « Grand Endoctrinement ».
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