Education

C’est encore « l’extrême droite » qui a donné l’alerte, agi, prouvé, mobilisé. Et mobilisé tellement de monde que maire, préfet, ministre ont cédé. Exemplaire.

Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.

Faut-il vraiment que l’université soit devenue, en toute impunité, le temple du sectarisme gauchiste ?

Ils ont 13-14 ans et sont d’une inculture crasse, tellement profonde qu’ils ne comprennent rien au monde qui les entoure.

En une demi-heure, seuls quelques élèves furent en mesure d’écrire un embryon de texte.

Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.

L’enseignement, « le plus beau métier du monde », devient un enfer.

La semaine avait été calme. Nous avions juste traité les dossiers ordinaires : un chalumeau et un couteau amenés dans la cour de récréation, une bagarre, quelques insultes…

Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !

En 25 ans de carrière dans l’éducation, je ne compte plus le nombre d’injonctions ministérielles qui n’ont eu aucune efficience pour les élèves français.

Les étudiants strasbourgeois en proie à la grande caillante de janvier seraient bien inspirés de méditer ce qui peut s’apparenter à un véritable scandale d’État.

Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.

Que pourrait-on interdire encore ?

L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.

La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.

Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.

Si la radicalisation reste (encore) une exception, l’islamisme, lui, séduit de plus en plus les adolescents.

Caroline Parmentier a fait de la protection de l’enfance un enjeu principal de son mandat.

En ligne de mire, la politique menée par le ministère au nom de « la lutte contre les inégalités de genre à l’école ».

Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.

Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.

« Ces personnes veulent que leurs progénitures sachent lire, écrire et compter, au lieu d’apprendre qu’un petit garçon peut devenir une petite fille et vice-versa », affirme Antoine Ardant.

Tout le climat anxiogène et culpabilisant a déjà placé notre jeunesse dans un syndrome d’impuissance acquise.

L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.

Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.

C’est « très clairement » une des priorités de son ministère. Pap Ndiaye s’attaque à la mixité sociale, avec les établissements privés dans le viseur.

Il faut avouer que, cette fois-ci, l’heure est grave.

Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.

C’est encore « l’extrême droite » qui a donné l’alerte, agi, prouvé, mobilisé. Et mobilisé tellement de monde que maire, préfet, ministre ont cédé. Exemplaire.

Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.

Faut-il vraiment que l’université soit devenue, en toute impunité, le temple du sectarisme gauchiste ?

Ils ont 13-14 ans et sont d’une inculture crasse, tellement profonde qu’ils ne comprennent rien au monde qui les entoure.

En une demi-heure, seuls quelques élèves furent en mesure d’écrire un embryon de texte.

Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l’insécurité en France.

L’enseignement, « le plus beau métier du monde », devient un enfer.

La semaine avait été calme. Nous avions juste traité les dossiers ordinaires : un chalumeau et un couteau amenés dans la cour de récréation, une bagarre, quelques insultes…

Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !

En 25 ans de carrière dans l’éducation, je ne compte plus le nombre d’injonctions ministérielles qui n’ont eu aucune efficience pour les élèves français.

Les étudiants strasbourgeois en proie à la grande caillante de janvier seraient bien inspirés de méditer ce qui peut s’apparenter à un véritable scandale d’État.

Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.

Que pourrait-on interdire encore ?

L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.

La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.

Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.

Si la radicalisation reste (encore) une exception, l’islamisme, lui, séduit de plus en plus les adolescents.

Caroline Parmentier a fait de la protection de l’enfance un enjeu principal de son mandat.

En ligne de mire, la politique menée par le ministère au nom de « la lutte contre les inégalités de genre à l’école ».

Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.

Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.

« Ces personnes veulent que leurs progénitures sachent lire, écrire et compter, au lieu d’apprendre qu’un petit garçon peut devenir une petite fille et vice-versa », affirme Antoine Ardant.

Tout le climat anxiogène et culpabilisant a déjà placé notre jeunesse dans un syndrome d’impuissance acquise.

L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.

Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.

C’est « très clairement » une des priorités de son ministère. Pap Ndiaye s’attaque à la mixité sociale, avec les établissements privés dans le viseur.

Il faut avouer que, cette fois-ci, l’heure est grave.

Honni pendant des dizaines d’années, on découvre aujourd’hui à l’uniforme, à raison, mille vertus.
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