Education
La Pologne, la Hongrie avaient donc raison de résister à l’oukase de Bruxelles concernant la promotion sexuelle à l’école primaire.
Force est de constater que la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l’école et les comités Théodule sur la défense des sempiternelles valeurs républicaines n’ont pas empêché les tensions identitaires…
En effet, un amendement, qui n’a finalement pas été retenu, proposait qu’« une information consacrée au respect de l’orientation sexuelle, de l’identité de genre et de leurs expressions [soit] dispensée à tous les stades de la scolarité. »
Le très haut taux de démission des enseignants en cours de formation ou en début de carrière depuis quelques années est aussi un indicateur du désespoir des professeurs.
Violences à l’école ? Il y a belle lurette qu’autorités administratives et morales ont cessé de faire le compte. Le 20 janvier 2006, Libération constatait, il
Face à cette polémique, la commission formation et vie universitaire (CFVU) de l’UBO a réagi en rappelant qu’elle rejette « les stigmatisations et les dénigrements quels qu’ils soient… »
Étonnamment, dans la presse, les chiffres sont là, la tendance est décrite comme « inquiétante », mais c’est avec des pincettes que l’on va analyser les causes.
Le latin et le grec sont moribonds, les moyens pour les enseigner insuffisants, la volonté politique inexistante. Dans ces conditions, Jean-Michel Blanquer risque fort de rester au stade des incantations.
Jean-Michel Blanquer réussit le tour de force de placer cette initiative de fin de règne sous le signe de la lutte contre le « wokisme » tout en parlant « inclusif ».
Ce n’est pas seulement un réseau de propagande qui se déploie, mais aussi un système de surveillance, de délation et de répression pénale.
Souhaitons longue vie à cette libération de la parole !
Après Pierrelatte, dans la Drôme, il y a deux jours, voilà que c’est à Roanne, dans la Loire, qu’un professeur a violemment été agressé à coups d’extincteur par un individu cagoulé.
Alors passée l’indignation, on s’interroge et on multiplie çà et là, auprès des parents et de leurs enfants, les campagnes d’information et les ateliers de sensibilisation…
Les départements et régions d’outre-mer sont cités comme s’il s’agissait de pays. Pourtant, les Antilles sont devenues françaises avant Nice ou la Corse.
Nous n’avons plus le choix : parler correctement le français est une priorité pour l’emploi. Apprendre le b.a.-ba, lire, écrire, compter est une question de survie.
Le secret médical est gravé dans le marbre du Code déontologique et issu du serment d’Hippocrate. Une véritable philosophie de la place de l’homme, à protéger de l’absorption par un collectif que tous les totalitarismes tenteront « d’hégémoniser ».
J’apprécie au plus haut point votre façon de vous imposer lors de ces débats : vous savez exposer vos pensées par un vocabulaire châtié et néanmoins compréhensible par le plus grand nombre d’entre nous.
Même la FCPE, classée à gauche, se met à tirer la sonnette d’alarme.
Ces chercheurs ont, à l’égard de la religion musulmane, une indulgence et une compréhension qu’ils ne montrent pas toujours pour d’autres religions.
« Cette soumission à l’idéologie woke » largement dénoncée donc dans la presse par le syndicat étudiant de droite a contraint la direction de l’établissement à clarifier la situation et démentir les faits.
Il est urgent d’arrêter notre soumission à l’islam conquérant au nom d’une laïcité dévoyée.
Un miracle, en somme, le mot n’est pas trop fort. Où Vidal passe, l’islamo-gauchisme trépasse. Il n’y a qu’à demander.
Pas une minute de silence, pas une heure de cours consacrée à la mémoire de notre collègue. Rien. À la hauteur ? Dans mon établissement, ce fut la hauteur du néant.
L’institution est prise au piège. On ne peut pas, d’un côté, prôner le respect de la liberté de conscience et bafouer avec violence, lors de débats, la conscience des élèves sur ce sujet si intime qu’est leur religion.
Pour mieux lutter contre les discriminations et les stéréotypes de genre, le fabriquant va cesser de classer les jouets en fonction du sexe des enfants.
Au total, 63 écoles ont été fermées, contre 43 ouvertures.
Ouvrir les dortoirs de donzelles aux garçons… pourvu (encore fallait-il y penser) qu’ils se déclarent filles dans leurs têtes.
Seize supports sont proposés au choix des professeurs, accompagnés de propositions d’activités « en lien avec la défense de la liberté d’expression, des valeurs de la République et du rôle de l’École ».
La Pologne, la Hongrie avaient donc raison de résister à l’oukase de Bruxelles concernant la promotion sexuelle à l’école primaire.
Force est de constater que la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l’école et les comités Théodule sur la défense des sempiternelles valeurs républicaines n’ont pas empêché les tensions identitaires…
En effet, un amendement, qui n’a finalement pas été retenu, proposait qu’« une information consacrée au respect de l’orientation sexuelle, de l’identité de genre et de leurs expressions [soit] dispensée à tous les stades de la scolarité. »
Le très haut taux de démission des enseignants en cours de formation ou en début de carrière depuis quelques années est aussi un indicateur du désespoir des professeurs.
Violences à l’école ? Il y a belle lurette qu’autorités administratives et morales ont cessé de faire le compte. Le 20 janvier 2006, Libération constatait, il
Face à cette polémique, la commission formation et vie universitaire (CFVU) de l’UBO a réagi en rappelant qu’elle rejette « les stigmatisations et les dénigrements quels qu’ils soient… »
Étonnamment, dans la presse, les chiffres sont là, la tendance est décrite comme « inquiétante », mais c’est avec des pincettes que l’on va analyser les causes.
Le latin et le grec sont moribonds, les moyens pour les enseigner insuffisants, la volonté politique inexistante. Dans ces conditions, Jean-Michel Blanquer risque fort de rester au stade des incantations.
Jean-Michel Blanquer réussit le tour de force de placer cette initiative de fin de règne sous le signe de la lutte contre le « wokisme » tout en parlant « inclusif ».
Ce n’est pas seulement un réseau de propagande qui se déploie, mais aussi un système de surveillance, de délation et de répression pénale.
Souhaitons longue vie à cette libération de la parole !
Après Pierrelatte, dans la Drôme, il y a deux jours, voilà que c’est à Roanne, dans la Loire, qu’un professeur a violemment été agressé à coups d’extincteur par un individu cagoulé.
Alors passée l’indignation, on s’interroge et on multiplie çà et là, auprès des parents et de leurs enfants, les campagnes d’information et les ateliers de sensibilisation…
Les départements et régions d’outre-mer sont cités comme s’il s’agissait de pays. Pourtant, les Antilles sont devenues françaises avant Nice ou la Corse.
Nous n’avons plus le choix : parler correctement le français est une priorité pour l’emploi. Apprendre le b.a.-ba, lire, écrire, compter est une question de survie.
Le secret médical est gravé dans le marbre du Code déontologique et issu du serment d’Hippocrate. Une véritable philosophie de la place de l’homme, à protéger de l’absorption par un collectif que tous les totalitarismes tenteront « d’hégémoniser ».
J’apprécie au plus haut point votre façon de vous imposer lors de ces débats : vous savez exposer vos pensées par un vocabulaire châtié et néanmoins compréhensible par le plus grand nombre d’entre nous.
Même la FCPE, classée à gauche, se met à tirer la sonnette d’alarme.
Ces chercheurs ont, à l’égard de la religion musulmane, une indulgence et une compréhension qu’ils ne montrent pas toujours pour d’autres religions.
« Cette soumission à l’idéologie woke » largement dénoncée donc dans la presse par le syndicat étudiant de droite a contraint la direction de l’établissement à clarifier la situation et démentir les faits.
Il est urgent d’arrêter notre soumission à l’islam conquérant au nom d’une laïcité dévoyée.
Un miracle, en somme, le mot n’est pas trop fort. Où Vidal passe, l’islamo-gauchisme trépasse. Il n’y a qu’à demander.
Pas une minute de silence, pas une heure de cours consacrée à la mémoire de notre collègue. Rien. À la hauteur ? Dans mon établissement, ce fut la hauteur du néant.
L’institution est prise au piège. On ne peut pas, d’un côté, prôner le respect de la liberté de conscience et bafouer avec violence, lors de débats, la conscience des élèves sur ce sujet si intime qu’est leur religion.
Pour mieux lutter contre les discriminations et les stéréotypes de genre, le fabriquant va cesser de classer les jouets en fonction du sexe des enfants.
Au total, 63 écoles ont été fermées, contre 43 ouvertures.
Ouvrir les dortoirs de donzelles aux garçons… pourvu (encore fallait-il y penser) qu’ils se déclarent filles dans leurs têtes.
Seize supports sont proposés au choix des professeurs, accompagnés de propositions d’activités « en lien avec la défense de la liberté d’expression, des valeurs de la République et du rôle de l’École ».
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