Education
Les rapporteurs proposent une vingtaine de mesures, dont la « masculinisation des métiers de la petite enfance ». Trop de femmes pour s’occuper des gosses, faut que ça change !
Alors que tout le monde s’accorde à faire le constat tragique d’une école en perdition, le sujet est peu abordé dans la campagne électorale. L’Éducation
À l’occasion de la sortie de son livre L’École à la maison. Une liberté fondamentale, Jean-Baptiste Maillard explique en quoi le séparatisme n’est qu’un prétexte
Rappelez-vous, c’était il y a seulement une semaine, les spécialistes tiraient la sonnette d’alarme : « Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l’« enfant transgenre »
En cette rentrée, les éditeurs qui connaissent ce tropisme idéologique d’une grande partie des enseignants et du gouvernement ont de nouveau répondu à l’appel.
La candidate socialiste Anne Hidalgo à l’élection présidentielle juge possible, pendant un quinquennat, de « multiplier par deux au moins » le salaire des enseignants.
L’annonce d’Anne Hidalgo de multiplier par deux leur salaire est si irréaliste, si électoraliste, si démagogique qu’on ne peut la prendre au sérieux.
On s’inquiète pour l’avenir de la médecine si elle venait à être pratiquée par des praticiens incapables de convaincre leur patientèle de ne pas consommer une drogue qu’ils ne pourraient s’empêcher de consommer eux-mêmes.
Il est plus simple de brûler des livres que d’en écrire…
Scandale sanitaire en vue, d’autant plus révoltant qu’il s’agit de nos enfants.
Pauvre gamin ! Voilà qu’il est pris en otage par la propagande écologisto-féministe et qu’il va devoir troquer ses gants de gardien pour des gants de jardinier…
Une fracture française qui vient s’ajouter à celles, sociale, géographique, identitaire et culturelle, que ce quinquennat s’est acharné à creuser.
La laïcité, ce n’est pas réunir des personnes, c’est fondamentalement séparer ce qui relève du sacré, du religieux, de ce qui concerne le civil, la cité.
On continue d’empiler les cautères sur une jambe de bois…
Quel est l’élève qui accepte de perdre des heures de cours même s’il n’est pas malade, hypothéquant sa réussite scolaire ?
Il fallait une victime pour expier les incapacités du pouvoir dans sa lutte contre le séparatisme. Ce sera donc la famille.
Seuls les plus forts, les plus débrouillards, les moins isolés s’en sortent, ceux dont la famille a constitué depuis dix-huit mois l’ancrage essentiel, le soutien moral, affectif et souvent financier. Que deviendront les autres ?
Il est vrai qu’il faut aussi de la place pour l’écologisme, l’antiracisme, le vivrensemble et bientôt le wokisme, et que les journées n’ont que 24 heures…
Jean-Paul Brighelli réagit aux annonces de Jean-Michel Blanquer concernant la mise en application du passe sanitaire dans les collèges et les lycées. Il dénonces des
Évincer, selon le Petit Robert, c’est : 1) Déposséder juridiquement 2) Déposséder quelqu’un par intrigue d’une affaire, d’une place (chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure).
Jean Castex avait rappelé qu’il n’instaurerait pas l’obligation vaccinale pour les enseignants. Mais au train où vont les reniements de la parole gouvernementale sur ces questions, rien n’est exclu dans les semaines qui viennent.
Qui aurait imaginé les veillées « dans le respect des règles sanitaires », distanciation et masque obligatoires ?
Au-delà du baccalauréat, le ministre s’interroge sur la possibilité d’étendre les « règles de mixité sociale et scolaire […] mises en place dans les lycées [parisiens] ». Comme si la mixité était la panacée pour relever le niveau de l’enseignement.
Dans la série « Destruction d’une culture commune à tous les Français », il faut y rajouter, en cette funeste semaine, l’épisode de l’introduction de la discrimination positive dans les grandes écoles.
C’est merveilleux.
Le niveau est en chute libre, mais c’est compréhensible. Si le dernier admis au CAPES de mathématiques a une note de 5/20, si la moyenne des admis est de 8/20, comment espérer des miracles ?
Et l’on voit le niveau des élèves qu’on récupère ensuite dans le supérieur. Ils ne possèdent pour la plupart aucune base, dans aucun domaine…
Le mammouth applique sans broncher toutes les consignes gouvernementales.
Les rapporteurs proposent une vingtaine de mesures, dont la « masculinisation des métiers de la petite enfance ». Trop de femmes pour s’occuper des gosses, faut que ça change !
Alors que tout le monde s’accorde à faire le constat tragique d’une école en perdition, le sujet est peu abordé dans la campagne électorale. L’Éducation
À l’occasion de la sortie de son livre L’École à la maison. Une liberté fondamentale, Jean-Baptiste Maillard explique en quoi le séparatisme n’est qu’un prétexte
Rappelez-vous, c’était il y a seulement une semaine, les spécialistes tiraient la sonnette d’alarme : « Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l’« enfant transgenre »
En cette rentrée, les éditeurs qui connaissent ce tropisme idéologique d’une grande partie des enseignants et du gouvernement ont de nouveau répondu à l’appel.
La candidate socialiste Anne Hidalgo à l’élection présidentielle juge possible, pendant un quinquennat, de « multiplier par deux au moins » le salaire des enseignants.
L’annonce d’Anne Hidalgo de multiplier par deux leur salaire est si irréaliste, si électoraliste, si démagogique qu’on ne peut la prendre au sérieux.
On s’inquiète pour l’avenir de la médecine si elle venait à être pratiquée par des praticiens incapables de convaincre leur patientèle de ne pas consommer une drogue qu’ils ne pourraient s’empêcher de consommer eux-mêmes.
Il est plus simple de brûler des livres que d’en écrire…
Scandale sanitaire en vue, d’autant plus révoltant qu’il s’agit de nos enfants.
Pauvre gamin ! Voilà qu’il est pris en otage par la propagande écologisto-féministe et qu’il va devoir troquer ses gants de gardien pour des gants de jardinier…
Une fracture française qui vient s’ajouter à celles, sociale, géographique, identitaire et culturelle, que ce quinquennat s’est acharné à creuser.
La laïcité, ce n’est pas réunir des personnes, c’est fondamentalement séparer ce qui relève du sacré, du religieux, de ce qui concerne le civil, la cité.
On continue d’empiler les cautères sur une jambe de bois…
Quel est l’élève qui accepte de perdre des heures de cours même s’il n’est pas malade, hypothéquant sa réussite scolaire ?
Il fallait une victime pour expier les incapacités du pouvoir dans sa lutte contre le séparatisme. Ce sera donc la famille.
Seuls les plus forts, les plus débrouillards, les moins isolés s’en sortent, ceux dont la famille a constitué depuis dix-huit mois l’ancrage essentiel, le soutien moral, affectif et souvent financier. Que deviendront les autres ?
Il est vrai qu’il faut aussi de la place pour l’écologisme, l’antiracisme, le vivrensemble et bientôt le wokisme, et que les journées n’ont que 24 heures…
Jean-Paul Brighelli réagit aux annonces de Jean-Michel Blanquer concernant la mise en application du passe sanitaire dans les collèges et les lycées. Il dénonces des
Évincer, selon le Petit Robert, c’est : 1) Déposséder juridiquement 2) Déposséder quelqu’un par intrigue d’une affaire, d’une place (chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure).
Jean Castex avait rappelé qu’il n’instaurerait pas l’obligation vaccinale pour les enseignants. Mais au train où vont les reniements de la parole gouvernementale sur ces questions, rien n’est exclu dans les semaines qui viennent.
Qui aurait imaginé les veillées « dans le respect des règles sanitaires », distanciation et masque obligatoires ?
Au-delà du baccalauréat, le ministre s’interroge sur la possibilité d’étendre les « règles de mixité sociale et scolaire […] mises en place dans les lycées [parisiens] ». Comme si la mixité était la panacée pour relever le niveau de l’enseignement.
Dans la série « Destruction d’une culture commune à tous les Français », il faut y rajouter, en cette funeste semaine, l’épisode de l’introduction de la discrimination positive dans les grandes écoles.
C’est merveilleux.
Le niveau est en chute libre, mais c’est compréhensible. Si le dernier admis au CAPES de mathématiques a une note de 5/20, si la moyenne des admis est de 8/20, comment espérer des miracles ?
Et l’on voit le niveau des élèves qu’on récupère ensuite dans le supérieur. Ils ne possèdent pour la plupart aucune base, dans aucun domaine…
Le mammouth applique sans broncher toutes les consignes gouvernementales.
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