Education
Si certains cherchent encore la latitude et la longitude de l’Absurdistan, le GPS les conduira tout droit rue de Grenelle.
À l’appel de plusieurs syndicats, des étudiants ont manifesté, le 20 janvier, à Paris et dans d’autres villes en France, afin de faire entendre leur
Et si, au lieu de nous isoler dans la détresse, la soumission et l’acceptation de notre sort dont ne peuvent résulter que ces actes désespérés, nous nous unissions dans la lutte ?
On a l’impression qu’à l’université aussi, lieu de la réflexion, de la critique et, souvent, de la révolte, ce virus, avec le matraquage permanent et le chantage au « care », a anesthésié tout sursaut vital.
Vivement l’Apocalypse !
Alors que je leur montre une image avec Louis XVI décapité, certains poussent des exclamations ravies : « C’est stylé, c’est comme Daech, on dirait la Syrie ! »
Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?
Depuis que VGE s’est pris pour JFK, que DSK se voyait Président gaulois après passage au FMI et que notre ancestrale Sorbonne se considère comme filiale de Berkeley ou de Yale, il serait peut-être un peu temps de reconsidérer nos positions.
Certains expliquent ne plus s’habiller le matin et travailler depuis leur lit, d’autres ne peuvent se payer qu’un repas par jour…
Ceux des vieux mâles blancs hétérosexuels de plus de cinquante ans, genre Dominique Strauss-Kahn, alors défendu du temps de ses bévues ancillaires new-yorkaises par le même Olivier Duhamel, se trouvent maintenant démonétisés par plus « antiracistes » qu’eux.
En tête des maux qui ont traversé l’Atlantique et bouleversé en profondeur nos sociétés : la tyrannie du politiquement correct et ses corollaires que sont les théories du genre et les délires raciaux.
Un mouvement de grève a débuté, lundi 4 janvier, dans le collège des Battières, à Lyon 5e (Rhône). Les enseignants comptent ainsi montrer leur soutien à un de leur collègues, agressé par un parent.
Celui qui filme la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux encourage les agresseurs : « Sur le coran, ça part en c******, nique-lui sa race… »
Je pense que certains cadres font n’importe quoi, mais je continue à croire à l’école publique.
Traités comme des enfants irresponsables, les adultes sont eux-mêmes soumis à l’impératif « Sois sage, c’est la guerre » dans tous les actes désormais régentés de la vie quotidienne.
Il est surprenant que l’Éducation nationale, dont le principe essentiel de fonctionnement est le célèbre « Pas de vagues », se soit ainsi fourvoyée dans une affaire pareille et, surtout, s’y soit tant obstinée.
L’État devrait commencer par supprimer ses subventions aux organisations qui s’accointent avec le communautarisme.
Notre ambition est de faire des esprits sains dans des corps sains, parce qu’enracinés dans l’amour de l’effort, l’esprit de travail et une ambition d’excellence.
Déconstruire nos gosses pour construire le genre…
Tout juste deux mois après l’assassinat de Samuel Paty, le procédé qui consiste à dénoncer publiquement et à révéler l’identité des enseignants soupçonnés d’islamophobie semble persister de manière inquiétante.
J’ai appris à lire, au CP, dans Le Voyage de Macoco. Je le confesse : j’adorais Macoco ; je rêvais de son village, ses cases, ses baobabs…
Puis vint l’été et son déconfinement progressif. Et avec la rentrée, les bonnes résolutions et la découverte de nouveaux virus : l’islamisme, le séparatisme, le complotisme ou le non-respect des principes républicains…
Les conséquences de cette mesure seront sans doute faibles, quelques contaminations évitées. Il n’est même pas sûr qu’elle sauve une seule vie ! Par contre, les heures perdues vont handicaper quelque peu la scolarité des petits Français, car si la moitié d’une classe est absente, on ne verra rien de nouveau en cours.
Il est étonnant de voir comme le culte de l’effort est salué, vanté, aimé à l’unanimité quand il s’agit de sport ; mais dénigré, dépassé, démodé quand il s’agit de l’école.
Avec Najat Vallaud-Belkacem, nous ne vivons pas dans le même monde, et le séparatisme n’est pour elle qu’un concept élastique, réversible à l’infini, comme la pâte à modeler qu’on lui a appris à malaxer à Sciences Po ou au PS…
Nous payons la politique qui consiste à toujours retarder d’un niveau l’apprentissage des opérations, l’addition passant en CE1, la division en CM2 quand elle n’est tout simplement pas éludée et renvoyée au collège.
Pour lutter contre le « séparatisme », le gouvernement envisage d’interdire l’instruction des enfants à la maison. Devant la levée de boucliers, le gouvernement a
L’enquête internationale TIMSS le révèle : les écoliers français de CM1 à la 4e sont les avant-derniers du classement des pays de l’OCDE. Comment expliquer
Si certains cherchent encore la latitude et la longitude de l’Absurdistan, le GPS les conduira tout droit rue de Grenelle.
À l’appel de plusieurs syndicats, des étudiants ont manifesté, le 20 janvier, à Paris et dans d’autres villes en France, afin de faire entendre leur
Et si, au lieu de nous isoler dans la détresse, la soumission et l’acceptation de notre sort dont ne peuvent résulter que ces actes désespérés, nous nous unissions dans la lutte ?
On a l’impression qu’à l’université aussi, lieu de la réflexion, de la critique et, souvent, de la révolte, ce virus, avec le matraquage permanent et le chantage au « care », a anesthésié tout sursaut vital.
Vivement l’Apocalypse !
Alors que je leur montre une image avec Louis XVI décapité, certains poussent des exclamations ravies : « C’est stylé, c’est comme Daech, on dirait la Syrie ! »
Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?
Depuis que VGE s’est pris pour JFK, que DSK se voyait Président gaulois après passage au FMI et que notre ancestrale Sorbonne se considère comme filiale de Berkeley ou de Yale, il serait peut-être un peu temps de reconsidérer nos positions.
Certains expliquent ne plus s’habiller le matin et travailler depuis leur lit, d’autres ne peuvent se payer qu’un repas par jour…
Ceux des vieux mâles blancs hétérosexuels de plus de cinquante ans, genre Dominique Strauss-Kahn, alors défendu du temps de ses bévues ancillaires new-yorkaises par le même Olivier Duhamel, se trouvent maintenant démonétisés par plus « antiracistes » qu’eux.
En tête des maux qui ont traversé l’Atlantique et bouleversé en profondeur nos sociétés : la tyrannie du politiquement correct et ses corollaires que sont les théories du genre et les délires raciaux.
Un mouvement de grève a débuté, lundi 4 janvier, dans le collège des Battières, à Lyon 5e (Rhône). Les enseignants comptent ainsi montrer leur soutien à un de leur collègues, agressé par un parent.
Celui qui filme la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux encourage les agresseurs : « Sur le coran, ça part en c******, nique-lui sa race… »
Je pense que certains cadres font n’importe quoi, mais je continue à croire à l’école publique.
Traités comme des enfants irresponsables, les adultes sont eux-mêmes soumis à l’impératif « Sois sage, c’est la guerre » dans tous les actes désormais régentés de la vie quotidienne.
Il est surprenant que l’Éducation nationale, dont le principe essentiel de fonctionnement est le célèbre « Pas de vagues », se soit ainsi fourvoyée dans une affaire pareille et, surtout, s’y soit tant obstinée.
L’État devrait commencer par supprimer ses subventions aux organisations qui s’accointent avec le communautarisme.
Notre ambition est de faire des esprits sains dans des corps sains, parce qu’enracinés dans l’amour de l’effort, l’esprit de travail et une ambition d’excellence.
Déconstruire nos gosses pour construire le genre…
Tout juste deux mois après l’assassinat de Samuel Paty, le procédé qui consiste à dénoncer publiquement et à révéler l’identité des enseignants soupçonnés d’islamophobie semble persister de manière inquiétante.
J’ai appris à lire, au CP, dans Le Voyage de Macoco. Je le confesse : j’adorais Macoco ; je rêvais de son village, ses cases, ses baobabs…
Puis vint l’été et son déconfinement progressif. Et avec la rentrée, les bonnes résolutions et la découverte de nouveaux virus : l’islamisme, le séparatisme, le complotisme ou le non-respect des principes républicains…
Les conséquences de cette mesure seront sans doute faibles, quelques contaminations évitées. Il n’est même pas sûr qu’elle sauve une seule vie ! Par contre, les heures perdues vont handicaper quelque peu la scolarité des petits Français, car si la moitié d’une classe est absente, on ne verra rien de nouveau en cours.
Il est étonnant de voir comme le culte de l’effort est salué, vanté, aimé à l’unanimité quand il s’agit de sport ; mais dénigré, dépassé, démodé quand il s’agit de l’école.
Avec Najat Vallaud-Belkacem, nous ne vivons pas dans le même monde, et le séparatisme n’est pour elle qu’un concept élastique, réversible à l’infini, comme la pâte à modeler qu’on lui a appris à malaxer à Sciences Po ou au PS…
Nous payons la politique qui consiste à toujours retarder d’un niveau l’apprentissage des opérations, l’addition passant en CE1, la division en CM2 quand elle n’est tout simplement pas éludée et renvoyée au collège.
Pour lutter contre le « séparatisme », le gouvernement envisage d’interdire l’instruction des enfants à la maison. Devant la levée de boucliers, le gouvernement a
L’enquête internationale TIMSS le révèle : les écoliers français de CM1 à la 4e sont les avant-derniers du classement des pays de l’OCDE. Comment expliquer
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées